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07 juin 2010

L'ANTI-BAYROUISME PRIMAIRE du NOUVEAU CENTRE

Le MoDem raille l'anti-bayrouisme du NC

Le Secrétaire Général du Mouvement Démocrate (MoDem)Marc FESNEAUa dénoncé lundi "l'anti-bayrouisme primaire" du porte-parole du Nouveau Centre, Philippe Vigier, selon qui le patron du MoDem aurait opéré "un virage à 180 degrés" vis-à-vis de Nicolas Sarkozy. Le député NC avait en effet dénoncé samedi "le spectacle pathétique auquel se livre François Bayrou" en rappelant que ce dernier "n'avait pas de mots assez durs il y a quelques semaines encore" à l'égard du chef de l'Etat.

"Avec le zèle des convertis, avec le zèle de celui qui ne peut accepter de voir certains résister là où il a succombé, Monsieur Vigier et nombre de responsables du Nouveau Centre se livrent au seul jeu dont ils sont capables : l'auto-justification, l'auto-satisfaction et l'anti-bayrouisme primaire", a rétorqué Marc Fesneau dans un communiqué. "On comprend bien leur désarroi de constater que, après trois années seulement, leur stratégie d'inféodation à l'UMP a échoué au point qu'à quelques jours d'un congrès Monsieur Vigier et ses amis aient besoin et soient en peine de justifier de leur utilité dans le paysage politique français", poursuit le responsable démocrate.

Dénonçant le vote par le NC de textes "en rupture totale avec la pensée humaniste : bouclier fiscal, budgets en déséquilibre et injustes, travail dominical, loi sur les jeux d'argent...", le secrétaire général du MoDem estime que "c'est sur les actes qu'il faut juger".

 

LE FIGARO du 6 JUIN 2010

02 juin 2010

À PROPOS DE RUMEURS ET GOUVERNANCE

TRIBUNE LIBRE
François VAN DE VILLE a publié un billet "À PROPOS DE RUMEURS ET GOUVERNANCE". Quand les moyens d'état sont utilisés dans les affaires privées. L'erreur et les dérives du quinquennat. Le pouvoir personnel. La double gouvernance. Est-ce que cela peut durer ?

11 mai 2010

François BAYROU..., ringard ?

François_Bayrou.jpgPendant la campagne présidentielle de 2007, François BAYROU était le seul à dénoncer déjà l’endettement galopant, alors que d’autres rasaient gratis.

 

Pendant cette même campagne présidentielle, il dénonçait la puissance de l’argent et voulait imposer la taxe “Tobin” en Europe

 

Au début de la crise, il y a plusieurs mois de cela, François BAYROU a été le premier à dire qu’il fallait un grand emprunt européen. Réponse de ceux qui, à l’époque “savaient” : “CE N'EST PAS POSSIBLE !”.

 

Au cœur de la crise, François BAYROU exigeait l’entrée de l’état au capital des banques qui étaient recapitalisées grâce à l’argent public.

 

Aujourd’hui, tout le monde découvre que l’endettement et les déficits budgétaires sont une plaie.

 

Aujourd’hui, tout le monde parle d’une taxe sur les mouvements financiers mondiaux, y compris le Président O’BAMA.

 

Aujourd’hui, tout le monde menace les banques et la finance internationale (après avoir notamment découvert que les banques, grâce à l’argent public, ont démultiplié leurs bénéfices et remboursé par anticipation les “avances” publiques).

 

Aujourd’hui, un grand emprunt européen est (soudain !) devenu "possible" et soutenu par tout le monde.

 

Et il s'en trouve encore, pour certains esprits "éclairés" à la seule "bonne parole" venue d'en-haut, d'affirmer que François BAYROU est “ringard” ?

 

Ben, voyons !

 

(Extrait inspiré d'une note écrite par notre excellent ami Philippe MEYNARD, Maire de Barsac, Conseiller Régional d'Aquitaine, sur son site FaceBook)

01 avril 2010

La T.N.T. : QUID ?

La T.N.T. : c'est la Télévision Numérique Terrestre

 

Elle arrive maintenant partout ! Dès Novembre 2011, elle va s'imposer à tous : tous les émetteurs de télévision auront basculé en numérique. Nos téléviseurs les plus anciens, sauf ceux branchés sur le cable ou sur satellite, ne recevront plus la télévision terrestre classique. Leur écran deviendra noir.

 

Pour vous aider à cette transformation, il existe, en fonction des ressources, des aides pour s'équiper : l'État propose des aides à l'achat d'un téléviseur, ou d'un boîtier T.N.T.. Et même à la pose d'une antenne.

 

La demande doit concerner la résidence principale et il ne peut-être accordé plus d'une aide par foyer.

 

Ludovic BOUIX, Conseiller Municipal de LA GRAND'COMBE et Vice-Président du MoDem du GARD, animera une réunion d'information le SAMEDI 3 AVRIL à 11h. au Siège du "Réveil Grand-Combien" (22, rue Pasteur à La Grand-Combe) pour présenter à la fois ces différentes aides, en précisant leur nature, leur montant, mais aussi pour indiquer la procédure à suivre afin de faire les démarches nécessaires pour obtenir ces aides publiques.

29 mars 2010

MILITANT DU MODEM, OUVRE LES YEUX

"MARIANNE" reprend dans ses colonnes le contenu d'un papier diffusé sur le blog "L'Hérétique".


C'est une analyse particulièrement pertinente de notre Mouvement après la déconvenue des régionales.


Nous vous en recommandons vivement la lecture.

 

À bientôt.

22 mars 2010

À PROPOS DE LA 3ème VOIE....

....OU ANALYSE D’UN SCRUTIN (Tribune Libre)

Le second tour des élections régionales - ce 21 Mars 2010 - ne laisse personne indifférent.

D’aucuns souligneront d’abord, avec un étonnement feint, le retour en force du Front National : c’est ce qui marque sans doute le plus les esprits parce que cela dérange tous les partis politiques, quels qu’ils soient, y compris, bien sur, celui dit “majoritaire” qui prétendait l’avoir éradiqué définitivement du paysage français. Mais ses idées ont fait, depuis 10 ans, leur chemin, tant à droite qu'à gauche, et ce parti n'est plus l'épouvantail qu'il était il y a dix ans. Débat sur "l'identité nationale" oblige vraisemblablement aussi.

Cependant, ce scrutin appelle aussi d’autres enseignements, plus intéressants.

 

LE RETOUR EN FORCE D'UNE NOUVELLE GAUCHE

En prélude, le fait marquant de ce second tour est bien le retour en force d’une certaine nouvelle gauche devenue majoritaire. Il n’y a, à ce propos, aucune ambiguïté, aucune contestation possibles.

Nouvelle gauche, car c’est une nouvelle et vaste alliance rose-verte-rouge, et non plus celle plus concentrée autour du PS comme dans le programme commun mitterrandien. Mme Aubry a été bien inspirée d'avoir le triomphe modeste le soir du 2ème tour car la distribution des cartes a bien changé depuis 1981. Mais une gauche majoritaire quand même, avec plus de 54% des suffrages. Mais ceci, surtout, au détriment des partis dits "de droite" comme cela fait près de 30 ans qu’on ne l’avait vu, avec leurs 35% de voix. Un précédent historique dans la Vème République.

Enfin, autre fait marquant, c’est le taux d’abstention : 49%. Tous le déplorent à l’unisson. Avec raison.

 

L'ABSTENTION : UN VOTE PUISSANT, UN MESSAGE FORT

Mais, au-delà des chagrins de circonstance, ces 49% ne sont pas une simple abstention par indifférence mais sont bien un vote. Un vote puissant, porteur d’un message fort, et que nul responsable politique ne peut plus, aujourd’hui, ignorer.

Ce vote est l’expression d’un dépit, d’une déception des partis “traditionnels”, d’une lassitude de leurs slogans ritournelles, de leurs éternelles promesses trop rarement tenues, de leurs archaïsmes, cachant souvent mal, de surcroit, certaines ambitions personnelles. Ces 49%, c’est le vote du refus de la moitié du corps électoral français de voir tout cela se perpétuer. C’est le vote du premier parti de France, même si celui-ci est totalement composite et insaisissable. C’est là un des traits les plus significatifs de ce 21 Mars 2010.

Déjà, sitôt le 1er tour, après les déclarations officielles de (fausse) indifférence émanant de l’Élysée face à un désastre annoncé, des voix ont vite commencé à s’élever des rangs de l'UMP et de ses alliés. Après Copé demandant un “retour aux fondamentaux”, ou celle du très chiraquien Baroin ou encore d’un Raffarin demandant un "ralentissement des réformes", ou d’un Morin (NC) dénonçant l’erreur de stratégie du parti unique imposé par Mr Sarkozy (après le 1er tour, il était bien temps de s'en apercevoir !), voici que, déjà, Mr De Villepin prend rang et annonce la constitution d’un nouveau mouvement national de la droite "républicaine et gaulliste", hors le giron sarkozien et face à lui. De son côté, Mr Cohn-Bendit, lui, aspire, dans un “appel du 22 Mars”, à la création d’un parti écologique moderne, (en opposition ?) avec les "vieux" verts.

Avant même, donc, le 2ème tour, c’était déjà la cacophonie, un peu partout. C'est pis aujourd'hui.

 

NAISSANCE D'UNE TROISIÈME VOIE

Ce qui frappe dans ce 2ème tour, c’est que chaque fois que les électeurs ont eu la possibilité de choisir en dehors de la bipolarisation UMP-PS (et de leurs alliés) telle que souhaitée et organisée par Mr Sarkozy - cas des triangulaires ou des quadrangulaires - ces électeurs ont voté en grand nombre pour une sorte de 3ème voie, c’est-à-dire hors des binones habituels : toutes les listes qui n’étaient ni UMP, ni PS, ont progressé fortement au 2ème tour. C'est le fait le plus marquant de tous.

Ceci a bénéficié largement au Front National qui a progressé significativement dans les 12 régions où il était présent. C’est le cas du MoDem en Aquitaine avec l’atypique Jean Lassale qui passe de 10 à 16% des voix, C’est le cas de l’alliance PCF-PG-NPA (cas unique en France) dans le Limousin, passant de 13 à 19%. C’est le cas de la liste Europe-Écologie en Bretagne, la seule qui avait refusé de faire alliance avec le PS. C’est le cas des nationalistes en Corse qui y bloquent même aujourd'hui la constitution d’une réelle majorité PS. Dans une moindre mesure, c’est aussi le cas de Georges Frêche, dans le Languedoc-Roussillon, dont une grande part du succès est due à sa dissidence face aux diktats des états-majors parisiens.

Bref, il doit y avoir en France au moins un homme heureux : c’est François Bayrou dont le message a toujours été de s’élever avec force contre la bipolarisation rêvée par Mr Sarkozy. La lassitude du binone UMP-PS est flagrante. Malgré les échecs apparents de Mr Bayrou dans un scrutin qui ne pouvait lui être favorable, ses idées triomphent donc sur le terrain. Et grace à cette pertinence contre vents et marées, tous les espoirs lui restent donc permis. Malgré les apparences du moment.

 

L'ERREUR DE Mme AUBRY

Du côté du PS,  Mme Aubry a fait une grossière erreur de casting entre les 2 tours. Même si cette erreur a pris toutes les apparences d’un succès inespéré.

Je reprends, pour m’en expliquer, volontiers cette réaction de Daniel Cohn-Bendit au soir du 2ème tour quand il annonce que "les difficultés pour la gauche sont devant elle". Il a raison.

Pour former en effet une majorité de gauche, Mme Aubry s’est tournée vers les courants les plus archaïques de celle-ci : elle a fait alliance avec le vieux PC bancal, pas l'autre de Mélenchon, puis avec les "Verts historiques" les plus outranciers. Or ce n’est pas faire mystère qu’une telle alliance a peu de chances de résister face à ses contradictions idéologiques internes. Tout sépare en effet le PS de ses partenaires de circonstance dès lors qu’ils devront aborder la politique des énergies, ou celle des transports en commun, pour ne citer que ces deux exemples. Les uns sont partisans du maintien, sinon du développement, de l’énergie nucléaire de base, quand d’autres y sont viscéralement hostiles. Les uns veulent le développement des lignes à grande vitesse pour rapprocher les régions et les marchés, les autres s’y opposent fermement. Par idéologie. C’est ingérable.

Mme Aubry aurait donc pu mieux choisir ses partenaires. Peut-être l’a-t-elle fait par habileté, ou pure stratégie, pour mieux dominer ceux-ci lors des débats que la réalité des faits devra nécessairement ramener à la raison ? Mais que de divisions à surmonter d’ici là ?

 

QUELLE MAJORITÉ DEMAIN ? POUR QUOI FAIRE ?

Quant à la majorité parlementaire réunie autour de Mr Sarkozy - peut-on encore parler de “majorité présidentielle” puisque celle-ci n'est plus que son ombre ? - outre les voix déjà entendues entre les deux tours (ou sitôt après), il est fort à parier que bien des réformes vont être remises en cause par des députés inquiets de la tournure de événements en perspective de leur réélection.

D’abord, cette "taxe carbone" franco-française que les foyers et les entreprises françaises devront durement supporter, seuls, face à des partenaires économiques indifférents qui en profiteront pour prospérer sur notre dos. J’ai déjà dénoncé l'imbécilité de cette taxe (voir mon billet du 14/9/2009) qui, si elle ne concerne pas l’immense majorité des pays développés à l'échelle mondiale, n’a aucun sens. Même si cela affecte politiquement les effets de notre ambitieux “Grenelle de l’environnement”.

La réforme judiciaire ? Les français sont bien conscients qu’elle porte une grave atteinte à l’indépendance judiciaire. Alors que, déjà, le Parlement avait voté une loi réformatrice qu’il suffisait d’appliquer pour éviter les déplorables errements du type "Outreau".

Et ne parlons plus de ces inutiles débats ravageurs du style “identité nationale” qui n’ont servi qu’à cristalliser l’opinion française et la diviser là où il fallait la rassembler. On a vu le résultat.

Mr Sarkozy, à qui ses partisans prêtent volontiers le statut du dogme de l’infaillibilité politique, a montré les limites de son jugement. Même face à une gauche faussement victorieuse, il ne peut plus se permettre ces trains de réformes à tout va, sitôt abandonnées dès qu’abordées (à quand donc les décrets d’application de celles déjà votées dès 2007 et qui sont, depuis, dans les tiroirs ?). Même si des réformes sont indispensables, le rythme imposé a conduit à les rendre indigeste à des français qui en ont perdu tous leurs repères.

Finie aussi la tactique du parti unique. L’alliance forcée “union-fusion” UMP-Centristes (compatibles) a atteint ses limites et a porté les fruits que l’on sait. C’est une erreur fatale de stratégie.

Mr Sarkozy n’est plus roi en son royaume. Même si ses adversaires sont et demeurent enfermés dans un fragile assemblage de circonstance dont les limites sont fort étroites.

Ainsi va la vie politique.

 

François VAN DE VILLE

17 mars 2010

APPEL SOLENNEL

APPEL SOLENNEL

 

de Jean-Marie VANLERENBERGHE

 

Sénateur-Maire d'ARRAS, Vice-Président du Mouvement Démocrate


vanle.jpgComme sénateur du Pas-de-Calais et Maire d'ARRAS, la plus importante ville MoDem de la région, j'ai soutenu Corinne LEPAGE aux élections européennes, acceptant de lui offrir un mandat que méritaient bien des élus et des militants de notre région.

Avec l'ensemble des militants de la circonscription Nord-Ouest, nous l'avons fait élire Députée Européenne.

Dès la minute où elle a été élue, elle s'est mise à critiquer notre Mouvement et à relayer sciemment les plus violentes attaques de nos adversaires.

Cette attitude déloyale est allée crescendo jusqu'au premier tour des élections régionales, où elle a soutenu ouvertement des listes concurrentes, trahissant ainsi ses amis.

Madame LEPAGE a, enfin, décidé de quitter le Mouvement Démocrate.

Je lui demande solennellement de démissionner du mandat de Députée Européenne qu'elle a obtenu grâce aux voix du Mouvement Démocrate : c'est une question de diginité, si ce mot a encore un sens pour elle.


Jean-Marie VANLERENBERGHE

17 février 2010

L'HEURE DES COMPTES A SONNÉ POUR MARC DUFOUR

MD.jpgMarc DUFOUR va devoir maintenant rendre des comptes pour les raisons de son échec pitoyable en Languedoc-Roussillon, face aux adhérents et leurs responsables élus, face aux citoyens qui attendaient toute autre chose et qui voient tous leurs espoirs déçus.

 

L'exemple même de tout ce qu'il ne fallait pas faire.


Ci-joint un article du MIDI LIBRE

....et un autre de LA MARSEILLAISE


Çà ne fait que commencer....

 

Qui est donc véritablement Marc DUFOUR ?

Mr Marc DUFOUR RÉCIDIVE....

dufour.jpgDéjà certaines de ses anciennes déclarations révélaient son penchant, sinon son amitié, en faveur de Mr Georges FRÊCHE, Président sortant de la région Languedoc-Roussillon. Il était soutenu en cela par son proche ami, Mr NAVARRO, leader local du P.S..

On aurait pu croire que la rivalité qui oppose désormais Mr FRÊCHE à la Maire de Montpellier, Mme MANDROUX, aurait rendu Mr DUFOUR un peu plus discret : en effet, ne doit-il pas à Mme MANDROUX la confiance qu’elle lui a accordée en faisant de lui l’un de ses Adjoints ? Et bien non ! Dans une déclaration à la presse, Mr DUFOUR a recommandé, voici quelques heures, à ses auditeurs de voter, dès le 1er tour, en faveur de Mr FRÊCHE.

On appelle çà cracher dans la soupe !

De surcroît, Mr DUFOUR, qui prétend être l’un des leaders régionaux du Mouvement Démocrate, lequel a bien donné consigne à l’unanimité de son Conseil National de ne pas se prononcer pour quelque parti que ce soit au 1er tour, Mr DUFOUR a maintenant ôté son grand manteau blanc d’oracle du parti - celui qui l’a porté au premier plan - pour satisfaire ses amitiés personnelles. Et il prétend, de surcroît, vouloir donner des leçons aux adhérents et aux dirigeants du Mouvement !

 

Mr DUFOUR crache, là encore, dans la soupe. C'est devenu chez lui une spécialité !

Ceci lui a valu ce mardi 16 Février un rappel à l’ordre très ferme du Bureau Exécutif national qui lui a rappelé la consigne arrêtée par l’instance suprême du Mouvement et a condamné fermement ses propos.

Mais qui est donc Mr DUFOUR ?

16 février 2010

UN GRAVE ÉCHEC DE LA DÉMOCRATIE

TRIBUNE LIBRE

Manen.jpgNotre excellent ami, Mickaël MANEN, membre du Bureau du Mouvement Démocrate du GARD en sa qualité de trésorier départemental, s'ouvre sur la récente crise qui a frappé notre Mouvement dans le Languedoc-Roussillon dans un article intitulé "UN GRAVE ÉCHEC DE LA DÉMOCRATIE".

 

Un article lucide et sans concessions, mais porteur d'un espoir raisonné.