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10 mars 2024

COMPOSITION & RÉGLEMENTATION

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Composition des Instances Territoriales (Fédération du Mouvement Démocrate-MoDem du GARD) à l'issue de la Convention Territoriale du 10 Mars 2024 :

 

 BUREAU TERRITORIAL :

 

PRÉSIDENT TERRITORIAL :

       Aurélien COLSON - Redessan

 

VICE-PRÉSIDENT TERRITORIAL :

            nomination en cours

 

DÉLÉGUÉE TERRITORIALE :

Sylvie BERTHIOT - Nîmes

 

SECRÉTAIRE GÉNÉRAL TERRITORIAL :

nomination en cours

 

JEUNES DÉMOCRATES :

délégué territorial en cours de nomination par le Président National des JD

 

TRÉSORIÉRE TERRITORIALE :

             LAVILLE Emmanuelle - Nîmes

 

MEMBRES DE DROIT DU BUREAU TERRITORIAL :

             Philippe BERTA - Conseiller National - Député du GARD

 

CONSEIL TERRITORIAL :

 

MEMBRES TERRITORIAUX ÉLUS : (ordre alphabétique)

Bernadette BANDLER - Avocate/Médiatrice

Nathalie BENESSIANO - Juriste

Philippe BERTA - Professeur d'Université - Député du Gard

Florence BERTA-NOUVEL - Médecin Généraliste

Patrice BILGORAI - Responsable National LICRA

Aurélien COLSON - Enseignant-Chercheur - Député Suppléant 6° Circonscription du Gard

Ludovic DUMAS - Manager Industrie Electrique

Christophe MARCO - Responsable Technique

Joêlle PELLISSIER - Orthophoniste

Elisabeth ROSELLO - Aide-Soignante

Bruno ROSTELLO - Ingénieur Industrie Nucléaire

 

MEMBRE TERRITORIAL SUPPLEANT :

Bruno LAVILLE - Collaborateur Parlementaire

 

ADRESSE MAIL :

modem-alternative-gard@sfr.fr

 

SITE INTERNET :

http://lemouvementdemocratedugard.hautetfort.com/

 

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RÈGLEMENT INTÉRIEUR

                          TERRITORIAL

 

en cours de réécriture suite au Congrès de Blois de Mars 2024

 

15 mars 2018

80 Km/H : L'ARNAQUE !

TRIBUNE LIBRE

80 Km/H : L'ARNAQUE !

Politique, Mouvement Démocrate, BayrouOn peut s’étonner qu’une mesure limitant, à partir du 1er Juillet prochain, la vitesse à 80 Km/H sur toutes nos routes (hormis les autoroutes) soulève un tel émoi : ne répond-elle pas pourtant aux meilleures intentions du monde, à savoir de réduire le nombre de décès dus à la circulation qui, même s’ils sont en baisse constante depuis plusieurs années, sont toujours trop élevés ? Même si l’on pouvait ne sauver qu’une seule vie, cela se justifierait déjà largement.

Hélas, une grande majorité d’usagers de la route reste très sceptique sur la portée réelle de cette mesure. Et on peut les comprendre.

Le gouvernement lui-même aide peu pour convaincre les contestataires : on nous dit que des tests ont eu lieu sur des zones « accidentogènes ». Mais on entoure aussitôt leurs résultats d’un silence total : curieux ! Mais, comme tout finit par se savoir, on découvre « sous le tapis » que ces tests sont très loin d’être probants : pire, ils sont plus que décevants pour convaincre les sceptiques par rapport aux gênes nouvelles des contraintes imposées lors de ces essais.

Mais, comme nos gouvernants actuels ne veulent pas faillir à leur réputation de vouloir « tout changer », (il y a des « images de marque » à préserver à tout prix !) on s’est dirigé vers les solutions les moins coûteuses. Mieux vers celles susceptibles qui peuvent ramener quelques recettes supplémentaires par le biais de contraventions qui, elles, ne cessent d’augmenter, contrairement au nombre de morts à déplorer sur nos routes.

En vérité, on prend le problème  à l’envers : ce n’est pas nouveau.

Le parc automobile en France :
• ce parc était, il y a 40 ans, de l’ordre de 20 millions de véhicules. En 2017, il a presque doublé : près de 40 millions, dont près de 83% de véhicules particuliers. Mais alors que la circulation automobile a augmenté de ±80 %, le nombre de tués, lui, a été divisé par 2. Il n’y a aucune relation entre, d’une part, le développement du nombre de véhicules en circulation et, d’autre part, le nombre d’accidents : le rapport est même totalement inverse.

La cause des accidents mortels :
• vu  d’un cadre général, un rapport officiel récemment publié, dit : « Les causes profondes des accidents sont dues au temps du trajet domicile<>travail et aux routes empruntées » pour s’y rendre. De la vitesse, il n’en est pas question du tout.

Mais examinons cependant quelques autres chiffres.

Les rapports établissent que 50% des accidents mortels sont dus aux infrastructures, dont :
• 40% aux virages mal dessinés
• 30% aux obstacles sur accotements
• 19% aux carrefours non giratoires
• 6% aux accès des riverains ou centres commerciaux non aménagés

Pour les autres causes de mortalité, on cite encore l’alcool (28%), la distraction au volant (18%), la fatigue (9%), et autres usages de stupéfiants. De la vitesse (classée à 26% seulement de ces « autres causes » de mortalité), on constate donc qu’elle reste bien loin derrière toutes les autres citées précédemment.
Non pas que la vitesse soit négligeable pour autant, mais de-là à en faire la cause principale de mortalité, c’est vraiment se moquer du monde.

Pour sourire un peu dans ce constat très technique, je relève que le premier accident automobile a eu lieu vers  l’année 1770 : la vitesse incriminée de ce « bolide » (mis en cause par cet accident devenu « historique ») était, au moment du heurt fatal, de 4 Km/H ! Beaucoup plus tard, fin du 18° siècle, on n’hésitait pas à accuser la circulation de véhicules hippomobiles en cause des nombreux accidents croissants ou par chocs entr’eux, ou avec des passants ou autres montures cavalières. Plus tard encore, à la fin du 19° siècle, lorsque sont apparus les premiers véhicules automobiles plus « modernes » et prometteurs d’autres performances, on a salué aussitôt le « grand progrès » de ces nouveaux moyens de locomotion qui, roulant un peu plus vite que les précédents, mettaient désormais leurs passagers à l’abri des agresseurs (ou autres égorgeurs ou détrousseurs) pour qui l’absence de vitesse les exposait alors à la portée tous qui pouvaient facilement monter à bord des véhicules pour commettre leurs méfaits  quand ceux-ci cheminaient tranquillement. La « vitesse » était donc devenue soudain, pour nos grands parents, source de progrès et de sécurité pour les usagers de nos routes, en ville comme en campagne ! Les temps ont bien changé depuis. Les vitesses atteintes aussi.

Revenons-en donc aux causes réelles des décès actuels sur les routes.

Largement en tête de ceux-ci, on trouve d’abord les « infrastructures » de nos routes. Il est vrai que depuis l’époque des calèches ou autres diligences, le développement du nombre de véhicules maintenant en circulation (qui a notamment doublé depuis 40 ans) et leurs performances, les normes de conception de nos routes, que ce soit en zone rurale ou en milieu urbain, a peu changé depuis plus d’un siècle :  • la largeur des voies sont restées approximativement les mêmes qu’à la « belle époque », le croisement des véhicules (ou grands gabarits) roulant en sens opposés impose qu’ils se frôlent souvent de trop près, le doublement des véhicules plus lents (poids lourds, cars, véhicules agricoles) par ceux plus légers qui ne peuvent les suivre longuement sans devoir les doubler, relèvent de paris toujours audacieux • la conception des carrefours et autres raccordements de voies secondaires sur celles principales est restée très « classique » et sans trop se soucier de la nécessaire visibilité pour s’y glisser en toute sécurité • nombre de greffes pour l’accès aux zones d’activité se sont multipliées au long de nos routes sans trop se soucier davantage des moyens d’y accéder ou d‘en sortir. On pourrait ici multiplier les exemples.

Bref, nos nationales ou départementales sont conçues avec soin et même parfois avec un certain talent, sauf celui de pouvoir y accueillir les nouveaux moyens de circulation, faire face à leur nombre accru qui ne sont plus les mêmes que jadis. Et pourtant pas grand chose a changé depuis, sauf l’apparition d’innombrables panneaux d’interdictions les plus diverses et variées qui se multiplient à un rythme effréné et… les radars pour assurer de nouvelles et confortables recettes à l’état propriétaire.

Je passerai aussi sous silence l’entretien des routes en général : il est devenu le parent pauvre des budgets chargés de les entretenir et, le plus souvent, le moyen d’ajustement de ceux-ci quand il faut faire place à d’autres priorités. Je n’évoquerai pas pour exemple les innombrables « nids de poule », les accotements mal entretenus, les « gendarmes couchés » à des emplacements souvent inadaptés, etc… : on pourrait croire, si j’allongeais trop la liste, que je voudrais dresser ici un tableau apocalyptique de l’état de nos routes. Mais cependant on ne peut le taire tout-à-fait.

Voilà pour les causes les plus fréquentes d’accidents mortels : et la vitesse n’y occupe toujours, il faut honnêtement le constater, qu’une très modeste place.

Pour preuve encore de ce faux débat, si la vitesse était en cause de la plupart des accidents, nos autoroutes – où on y roule généralement à 130 Km/H – seraient de véritables hécatombes. Or celles-ci qui accueillent en France ±15% des kilomètres parcourus, le nombre de tués n’y est que de 4%. La vitesse tue ?

Autre preuve encore que j’ai recueillie récemment : chacun sait que le département du Nord, véritable carrefour européen dont la circulation est l’une des plus denses d’Europe (liaison obligée entre le Sud, l’Ouest, la péninsule ibérique, Paris avec la Grande Bretagne, le Benelux, le port d’Anvers – premier port d’Europe – les régions Nord de l’Allemagne et les pays scandinaves), ce département du Nord est celui où le maillage autoroutier est l’un des plus denses de France (et de surcroît, il est entièrement gratuit d’accès !). Ce département vient de publier la statistique suivante : on y roule presque partout sur les grands axes routiers à 110 Km/H. Il y avait, il y a 40 ans (en 1978) 316 tués de la route et, aujourd’hui (en 2017), on n’y dénombre que 64 accidents mortels, soit ±80% de baisse. La vitesse tue ?

Trop de constatations, toutes aussi convergentes les unes que les autres, prouvent que la vitesse n’est pas la principale cause du taux d’accidentologie routière. C’est un mensonge éhonté que de prétendre le contraire.

Ceci ne veut pas dire pour autant qu’il faut rester les bras croisés : diminuer un peu plus encore ce taux d’accidentologie est une nécessité, voire devenir une priorité nationale. Mais l’effort ne consiste pas de se trouver les moyens de dresser plus de contraventions mais d’adapter prioritairement notre réseau routier aux nouvelles exigences qu’exige notre siècle en plein développement. L’écologie bien pensée, c’est aussi cela.

Il est parfaitement idiot d’imposer, depuis des bureaux parisiens, une vitesse universelle pour toutes les routes de France, quelle que soit la typologie des terrains qu’elles desservent. On fait aujourd’hui la même erreur que François Mitterrand imposant pour toutes les entreprises de France les 35 heures, même là où cette mesure désorganisait les services nécessaires, hôpitaux compris. On sait la suite dont on paye encore aujourd’hui les graves conséquences.

Revenons à la raison. Oui, il existe en France nombre de routes où la vitesse souhaitable ne doit pas dépasser les 80 Km/H, certaines même encore en dessous dans certaines zones rendues difficiles par leur configuration. Mais il n’appartient pas aux ministères parisiens d’en décider uniformément : seuls les pratiquants du terrain, ceux qui parcourent journellement leur région et la connaissent parfaitement, peuvent déterminer là où les 80 Km/H s’imposent, mais surtout détecter les améliorations à apporter à nos infrastructures routières. Il faut ouvrir les yeux. Oui il faut faire de ce vaste chantier une priorité nationale pour sauver d’autres vies.

Tout le reste n’est que beaux discours (même si empreints de volonté ou de sincérité), poudre aux yeux et véritables arnaques potentielles.

Un peu plus de réalisme courageux, s'il vous plait, dans les décisions à prendre, même si celles-ci vont parfois à contre-courant des opinions populistes : voilà ce dont la France a grand besoin aujourd’hui.

                                                  François VAN DE VILLE
                                                          Nîmes

28 janvier 2018

Philippe BERTA, Député MoDem du GARD s'exprime....

Philippe BERTA, Député de la 6ème Circonscription du GARD

vous invite à l'exposé qu'il fera sur son action au Parlement le VENDREDI 2 FÉVRIER 2018 à 18h30, au Restaurant "Les Alizées", Boulevard Victor Hugo (face au Lycée Alphonse Daudet - Station Tram-Bus "Arènes") à NÎMES.

Il sera heureux de pouvoir vous rencontrer à cette occasion et échanger avec vous.

À très bientôt.BERTA.jpg

08 avril 2017

COMMUNIQUÉ du MoDem du GARD

cardènes stéphane.jpgMr Stéphane CARDÈNES, Maire de LIRAC, après s'être mis il y a quelques mois, et sur sa demande, en congé du Mouvement Démocrate du GARD, y a repris la plénitude de ses fonctions antérieures.

Bienvenue à lui et à sa riche expérience d'élu et d'urbaniste dont chacun sait les nombreuses et heureuses initiatives sur sa commune.

02 avril 2015

HOMMAGE à Mme Monique COISSON

Aujourd'hui, Jeudi 2 Avril 2015, sont célébrées à La Calmette, puis au crématorium de NÎMES, les obsèques de Mme Monique COISSON, une merveilleuse amie à nous tous, et particulièrement aux membres du Conseil Départemental du Mouvement Démocrate du GARD (MoDem) dont elle était l'élue fidèle et dévouée (et tout récemment réélue à cette fonction). Elle est disparue à l'âge de 65 ans après un long combat contre la maladie. Elle était la compagne de Mr Jacques BOLLÈGUE, Maire de La Calmette. Elle était conseil en droit social et ressources humaines en entreprises, ancien juge prud'homal. 

Le Professeur Philippe BERTA, Conseiller National du Modem et ancien Président Départemental de notre mouvement dans le GARD, dont il était très proche tant il savait pouvoir compter sur elle, nous a transmis un courrier pour dire son émotion.

Voici le texte de l'hommage de Philippe BERTA :

Je voudrais ici partager une pensée pour Monique Coisson.

Monique, après un dur combat, nous a quittés.

Je ne peux laisser silencieux ce départ, tant Monique était une femme remarquable à tous points de vue. Intelligente, drôle, dynamique, elle était la vie. Et c’est sans compter qu’elle se donnait aux autres. Fidèle parmi les fidèles, engagée elle est toujours restée, un engagement caractérisé par la rectitude de ses croyances et de ses actions, par son humanité, avec ce ton libre sans compromis, toujours à la recherche de l’intérêt général.

De son Nord d’origine qu’elle nous fit partager lors d’un congrès à Arras,- - et quel moment ce fut ! - en passant par l’Ardèche, ces dernières années la virent se fixer à La Calmette dans le Gard auprès de Jacques, maire de la commune. Nous pensons aussi à lui, qui dut, en particulier ces derniers mois, lutter auprès de Monique tout en gérant l’une des pires catastrophes naturelles qui soit dans sa commune.

Je suis sûr que François Bayrou et Marc Fesneau se joignent à moi dans cet hommage, tant Monique, qui les a toujours suivis, s’inscrivait dans la lignée des femmes et des hommes libres, aux convictions inébranlables, toute entière au service de l’autre.

Monique, tu nous manques déjà. Mais je veux te remercier de nous avoir donné la chance de côtoyer quelqu’un comme toi, quelqu’un qui restera pour toujours un exemple à suivre.

Philippe BERTA

27 mars 2015

2ème TOUR des DÉPARTEMENTALES du GARD

 

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COMMUNIQUÉ

 

     Nous souhaitons d’abord féliciter et remercier nos candidats et tous ceux qui les ont accompagnés sur le terrain. Les liens qui ont su se créer entr'eux et les populations qu'ils ont rencontrées au cours de la campagne porteront nécessairement leurs fruits, un jour qu'on espère proche. C'est une chance pour nous tous.

 

     Notre Mouvement a, en effet, été présent dans plus de 300 cantons, une partie en indépendants, autre partie en partenariat avec d'autres centristes ou des adhérents de l'UMP. Au- delà de la confusion créée pas ces formes diverses de participation, les observateurs estiment que le Mouvement Démocrate (MoDem) a apporté réellement entre 6 et 8% aux voix républicaines qui se sont exprimées dimanche dernier. L'étiquette "MoDem" se porte bien : ce constat, qui n'est ni une victoire, ni un aveuglement mais une simple réalité, est une bonne nouvelle pour nous.

 

     Le résultat du vote du 22 Mars, vous le connaissez déjà : il met fin au bipartisme traditionnel UMP/PS avec la montée en force d'une extrême droite conquérante dont le poids électoral a maintenant surpassé celui du P.S.. Ce même P.S. qui, par ses mensonges, ses erreurs, son manque de courage politique et son "laisser-aller" laxiste, ses gabegies ruineuses, a puissamment contribué à cette montée de la vague bleu-marine qui a bousculé bien des espérances.

 

     Nous avons donc désormais, face à nous, deux adversaires qu'il nous faut combattre également l'un comme l'autre :

• l'un, le P.S., parce qu'on le connait déjà et on constate les résultats dégradants qu'il apporte à la France et aux français.

• l'autre, le F.N., parce qu'il ne vaut guère mieux : ses promesses de "grand chamboulement" général sont autant de mensonges aussi illusoires que ceux de Mr Hollande depuis 2012, donc porteurs d'autres déceptions nouvelles dont la France n'a nul besoin.

 

     Dans le GARD, nous avons bâti, à l'occasion des élections départementales, une alliance des forces centristes et de la droite républicaine pour combattre l'un et l'autre.

 

     Mais peut-on, pour autant, mettre le F.N. et le P.S. sur le même pied d'égalité ? Non ! Tout stratège vous dira que, que face à deux adversaires, il faut d'abord combattre celui le plus dangereux et le plus nocif des deux. Or celui-là, sans conteste possible, c'est le F.N. : parce qu'il est surtout porteur, outre ses mensonges aussi irréalistes que ceux de Mr Hollande, de valeurs mortifiantes pour notre société et les nécessaires équilibres qu'elle doit impérativement retrouver, et dont les victimes seront les plus vulnérables.

 

     Même si nul parti politique n'est habilité à donner quelque consigne que ce soit à ses adhérents ou ses amis - chaque électeur devant rester libre de décider en toute conscience du bulletin qu'il déposera dans l'urne - tout parti responsable se doit d'informer et tenter d'éclairer ses adhérents sur les enjeux de leur choix.

 

Pour nous, MoDem, l'adversaire à combattre est donc, en priorité le F.N..

 

     Tels sont, dimanche 29, les enjeux de notre démocratie.

 

     Ils sont désormais entre vos mains.

 

Mouvement Démocrate "MoDem" du GARD

20 janvier 2015

NOMINATIONS au CONSEIL DÉPARTEMENTAL du MoDem du GARD

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Lors d'une réunion qui s'est tenue le 12 Décembre dernier à Nîmes, à l'issue des élections internes du 29 Novembre au cours desquelles ont été élus, notamment, les "représentants des adhérents" (qui constitueront l'un des trois collèges du futur Conseil Départemental), comme le nouveau Président de notre Fédération, Mr Bernard BON, ces membres, auxquels s'étaient joints les membres du "collège des élus" de collectivités publiques (qui feront aussi partie du futur Conseil Départemental), ont décidé (entr'autres mesures prioritaires préparatoires) de proposer à nos instances nationales la nomination et de notre futur Délégué Départemental, comme de notre futur Trésorier Départemental.

Sur proposition du Président, ils ont choisi pour remplir ces missions :

• en qualité de futur Délégué Départemental : Mr Arthur EDWARDS (Beauvoisin)

• en qualité de futur Trésorier Départemental : Mr Patrick DIEZ (Nîmes)

Ces propositions ont été immédiatement transmises à nos instances nationales pour recueillir leur avis officiel.

Nous sommes informés ce jour que ces deux personnalités proposées par ce Conseil restreint du 12 Décembre - et qui siègeront de plein droit dans le futur Bureau exécutif à former - ont reçu l'accord national.

Le Président BON peut donc désormais élaborer l'ordre du jour de la première réunion plénière (comprenant les 3 collèges du Conseil Départemental, dont aussi celui des "Membres Associés"), au cours de laquelle seront proposées la composition du futur Bureau exécutif, l'organisation et le fonctionnement de notre Fédération, de ses commissions thématiques, etc....

Dès qu'une date pourra être dégagée (dans un calendrier actuellement surchargé par les différentes cérémonies traditionnelles de début de l'an, et la préparation en cours des futures élections départementales de Mars), les membres de ce Conseil réunis en Assemblée plénière seront avisés de la date et des coordonnées de leur première réunion de travail.

À bientôt.

François VAN DE VILLE

Secrétaire Général Départemental

19 janvier 2015

Ludovic DUMAS candidat suppléant aux Départementales du GARD

Ludovic-Dumas.jpgDans le cadre de la préparation des élections départementales des 22 et 29 Mars prochains et l'union à cette occasion entre l'UMP, l'UDI et le MoDem sous le sigle commun à ces 3 formations "Le Bon Sens Gardois", notre ami Ludovic DUMAS, personnalité bien connue des milieux sportifs régionaux, ancien Délégué Départemental des Jeunes Démocrates, Conseiller Municipal à ROUSSON, a été choisi comme candidat suppléant sur le canton de LA GRAND-COMBE dont les têtes de liste sont Mme Colette-Andrée MARTIN (UDI) et Mr Dominique PASSIEU (UMP).

B.Bon.jpgRappelons à cette occasion que notre Président MoDem Départemental - Mr Bernard BON (Bellegarde) - est tête de liste en association avec Mme Christelle HUGOUNENQ (UMP) sur le canton de BEAUCAIRE sous le même sigle "Le Bon Sens Gardois".

Toutes nos félicitations et nos encouragements à ces candidats.

08 janvier 2015

LE CRIME CONTRE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION

Charlie001.jpg

03 janvier 2015

RENCONTRE entre Yvan LACHAUD et Bernard BON

RENCONTRE CENTRISTE GARDOISE AU SOMMET

 

yvan.lachaud.jpgB.Bon - copie.jpgÉlu à la Présidence Départementale du Mouvement Démocrate du GARD depuis seulement un mois, le Président Bernard BON a tenu à réserver sa première visite "officielle" à son homologue centriste, le Président Départemental de l'UDI, Mr Yvan LACHAUD.

Les deux hommes se connaissaient déjà de longue date et avaient toujours entretenu des rapports très respectueux l'un de l'autre.

Mr Yvan LACHAUD, par ailleurs aussi Président de Nîmes-Métropole, était accompagné de son Directeur de Cabinet, Mr Julien DEVÈZE (et aussi Délégué Départemental du "Nouveau Centre", l'une des composantes de l'UDI), et le Président Bernard BON du Secrétaire Général du Mouvement Démocrate du GARD, Mr François VAN DE VILLE (et aussi Chargé de la Communication et porte-parole du Mouvement Démocrate gardois).

L'entretien, assez prolongé entre les deux Présidents, fut à la fois studieux et très chaleureux.

Un tour d'horizon sur l'implantation gardoise des deux mouvements centristes - alliés au sein de "l'Alternative UDI*MODEM" fondée il y a un peu plus d'un an par MMrs Jean-Louis BORLOO et François BAYROU - a permis de faire certaines approches en vue des prochaines échéances électorales pour une meilleure coordination entre nos deux familles centristes et leur assurer une plus forte présence dans les décisions politiques qui s'imposent actuellement à la France pour la redresser de la situation où elle se trouve.

De nouveaux contacts se sont promis entre les deux Présidents pour parfaire une ère de collaboration nouvelle en vue de faire du "centre" une force alternative crédible et constructive.