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06 novembre 2013

Charte UDI*MODEM - P. BERTA et Y. LACHAUD réagissent

Au lendemain de la signature de la proposition de Charte entre l'UDI et le MoDem, les deux leaders de ces mouvements dans le GARD ont réagi dans la presse.

Voici leur réaction parue dans "Objectif Gard" du 6 Novembre 2013.

05 novembre 2013

UDI * MODEM "l'alternative" - La Charte

 

mouvement démocrate,bayrou,politique

Nous, responsables des forces du Centre, Présidents du MoDem (Mouvement Démocrate) et de l’UDI (Union des Démocrates et Indépendants), proposons à nos formations de se rassembler.



L’URGENCE

L’état réel de la France, économique, social, civique et moral est préoccupant. L’échec éducatif, le chômage de masse, les difficultés de notre cohésion sociale et de l’intégration en sont les signes les plus frappants.

Le désarroi et la colère gagnent une part croissante de la société française. La France est malheureusement guidée par la peur au lieu d’être guidée par l’espoir et la confiance en l’avenir. Les Français, désabusés par les alternances, n’aperçoivent plus de solution politique au point qu’ils sont tentés par un extrémisme qui conduirait au chaos. Face à cette situation, des signes de fragilité se multiplient, au sein même de certains courants républicains.

Il y a urgence. Cette urgence appelle une réaction civique.

Nous prenons nos responsabilités. Nous décidons de nous rassembler pour créer une force dont la mission sera de faire face à cette crise. C’est la condition pour que notre pays retrouve un cap, une espérance et des perspectives, et que nous soyons les acteurs centraux de la reconstruction intellectuelle et politique dont la France a besoin.

NOTRE IDENTITÉ

Nos idées nous unissent. Nos valeurs n’ont jamais cessé d’être les mêmes, nos convictions aussi, même si nous avons été séparés par la bipolarisation de la vie électorale, que nous jugeons excessive et que nous voulons réduire par un changement des institutions. Pendant cette période, chacun de nos mouvements a eu son histoire et son chemin qui mérite notre respect. Aujourd'hui, la gravité de la situation nous oblige au rassemblement.

Nous sommes des humanistes. Nous croyons que la satisfaction des besoins matériels et l’épanouissement moral, culturel, philosophique et spirituel des femmes et des hommes est le but de l’organisation de la société.

Nous sommes Républicains et Démocrates. L’humanisme en politique se nomme République. La République n’est pas seulement une forme de gouvernement, elle est un corps de valeurs. Ces valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité, nous avons pour mission de les faire vivre chez nous et de les proposer au monde. Il n’y a pas de République sans Démocratie. Nous croyons que le développement de la conscience et de la responsabilité des citoyens est le fondement du contrat civique.

Nous sommes des réformistes, conscients que le progrès de la société est davantage affaire d’efforts continus et progressifs que de ruptures brutales. Nous n’avons pas peur de l’avenir, que nous considérons porteur de chances multiples pour notre pays.

Nous sommes des Européens. L’Union européenne est la seule voie disponible pour que la France ait accès, en la partageant au sein de l’Union, à une réelle souveraineté dans certains domaines qui dépassent le cadre national. L’Union doit désormais fixer les priorités de son action dans des domaines stratégiques essentiels : l’emploi et la compétitivité des entreprises, l’Europe sociale par une convergence vers le haut, la régulation financière et la lutte contre les paradis fiscaux, les grandes infrastructures européennes, les grands enjeux climatiques et environnementaux, les nouveaux espaces de souveraineté du 21ème siècle, comme le numérique et le cyberespace, ainsi que la défense civile et militaire des populations. Elle doit se réformer pour être plus efficace, compréhensible et accessible aux citoyens, donc plus démocratique.

Nous sommes les porteurs de l’exigence de développement durable. Nos objectifs sont la protection de la biodiversité, la croissance verte, la défense ainsi que la valorisation de la mer et des océans, la transition énergétique et un grand programme Justice-Énergie Afrique-Europe.

Les drames nés des déplacements de population appellent une politique nationale et européenne. L’effort de maîtrise des flux migratoires est nécessaire. Mais aucune solution dans le long terme ne pourra être mise en place sans un programme de co-développement avec les pays vulnérables.

Nous prenons en charge le long terme. En matière de finances publiques, comme dans l’organisation de la société, nous croyons que nous devons être non seulement soucieux du présent, mais aussi les garants des générations à venir. Le premier devoir à l’égard de ces générations est l’éducation. Aujourd’hui, ce devoir n’est pas rempli et il exigera, pour l’être, une mobilisation non seulement de la communauté éducative, mais de la nation tout entière.

Nous croyons à l’économie de liberté et au contrat social. La créativité des hommes est plus fructueuse, dans la plupart des domaines, quand elle est fondée sur la liberté plutôt que sur le dirigisme. Mais nous affirmons que le progrès économique est vain s’il n’entraîne pas le progrès social. Nous refusons de laisser des concitoyens sur le bord de la route. Nous sommes conscients que la richesse d'un pays réside dans ses ressources humaines.

Nous croyons à l’autonomie de la société, à la légitimité des corps intermédiaires, à la vitalité des cultures régionales et la pleine capacité reconnue aux entreprises et aux familles, associations et syndicats.

Nous défendons l'autonomie des collectivités locales, qui sont, y compris dans les plus petites communes, un extraordinaire réservoir d’engagement au service des citoyens. Nous savons qu’il est temps de mettre un terme à l’empilement et à la confusion des missions des différents acteurs publics, source de coûts et d’inefficacité.

NOS BUTS

Nous nous regroupons pour renouveler la vie politique de notre pays. La France a besoin d’une vision nouvelle, d’un renouvellement intellectuel qui dépasse les idéologies usées, et les controverses systématiques. Nous croyons qu’ensemble, en raison de nos expériences et de nos parcours, nous pouvons porter ce renouveau.

Nous condamnons la politique suivie par la majorité actuelle et le gouvernement, qui accumulent les échecs parce qu’ils demeurent prisonniers d’une vision du monde dépassée, refusant les réformes en profondeur, et sont donc condamnés à la fuite en avant, notamment dans le domaine de la fiscalité.

Nous sommes dans l'opposition mais celle-ci sera constructive, déterminée et non manichéenne.

Nous nous engageons ensemble pour protéger notre pays de toute tentation ou de toute dérive en direction des extrêmes.

Nous revendiquons notre liberté, mais nous ne changerons pas la France seuls. L'alliance avec le PS et les appareils de la coalition au pouvoir est impossible. En ce qu’elle respecte les valeurs humanistes, la droite républicaine est naturellement notre partenaire politique. Pour autant nous considérons que le pays a besoin d’une large majorité réformiste, allant non seulement de la droite républicaine au Centre mais jusqu’aux sensibilités écologistes et sociales-démocrates. Dans cette majorité à construire, la volonté d’émancipation, de respect des personnes, et de solidarité effective a toute sa place.

Notre rassemblement s’adresse aux Français de toute sensibilité, du Centre bien sûr, de droite républicaine et aussi de sensibilité sociale et même de gauche déçus par la fermeture et l’impuissance de la majorité au pouvoir.

NOTRE ORGANISATION

Notre organisation sera coopérative. Nous sommes persuadés qu’il existe une forme politique nouvelle à inventer, qui respecte et fédère des sensibilités différentes, les fasse travailler efficacement ensemble, et s’ouvre à de puissants réseaux de volontaires et de sympathisants actifs.

Nous nous présenterons ensemble à toutes les élections nationales, régionales et européennes.

Les élections locales sont très importantes pour notre famille politique. Elles obéissent à une logique de territoire, tout en s’inscrivant dans une cohérence nationale. Nous en tiendrons compte en examinant ensemble la situation ville par ville.

Nous délibérerons ensemble des grands choix politiques et de notre projet. Nous nous rassemblons pour que les Français se voient proposer une alternative et pas seulement une alternance. Notre candidate ou notre candidat à l’élection présidentielle sera désigné(e) en commun par une procédure démocratique.

L’organe de coordination politique sera composé du comité exécutif de l’UDI et de l’équipe dirigeante du MoDem. Tous les parlementaires nationaux et européens du Modem et de l’Udi en seront membres. Un bureau exécutif restreint sera désigné d’un commun accord.

Nous agirons ensemble sous la dénomination :

UDI * MODEM
l’alternative


Jean-Louis BORLOO & François BAYROU

Le 5 Novembre 2013

MESSAGE de François BAYROU....

....avant la conférence de presse avec Jean-Louis BORLOO


À tous les cadres et militants,

Cet après-midi, nous officialiserons la proposition de rapprochement que Jean-Louis Borloo et moi-même, en tant que présidents de l'UDI et du MoDem, ferons à nos mouvements.

Vous pourrez suivre cet événement en direct en vidéo sur notre site internet et sur les chaînes de télévision LCP AN, LCI et BFM TV.

Le texte de cette charte a été négocié avec grand soin, de manière à prendre en compte le plus largement possible toutes les attentes exprimées, au sein des deux mouvements.

Car, évidemment, il s'agit d'un rapprochement, d'une entente, d'une coopération, et pas d'une fusion. Chacun des deux mouvements, le MoDem et l'Udi, garde ses structures et sa vie interne : nous avons choisi un rapprochement qui nous entraîne à travailler ensemble pour relever les défis si impressionnants de la situation de notre pays.

Tel quel, ce texte répond à deux impératifs : d'abord vaincre l'isolement qui empêche d'être entendu. Le PS au pouvoir a obstinément refusé toute évolution de nos institutions qui était la condition d'un changement de la pratique politique. Dès lors, il s'est enfermé dans des appareils politiques porteurs d'une vision du monde fausse et dépassée, et les décisions qu'il a prises, aussi bien que les décisions qu'il a refusé de prendre, conduisent la France à l'échec et les Français à la désespérance. Ce désenchantement est devenu si profond qu'un grand nombre de Français en est réduit à tourner ses regards vers l'extrémisme ! Découragement et montée de l'extrémisme, cette dérive, que rien de paraît devoir enrayer, nous ne devons pas et ne pouvons pas l'accepter. Pour cela, il faut que les mouvements dont les idées sont proches se rassemblent et avancent ensemble pour offrir une alternative.

Ensuite, il fallait que l'histoire et la pleine responsabilité de chacun de nos deux mouvements soit prise en compte et consacrée, au sein de la construction commune. Dans ses valeurs, dans ses idées, dans son ADN.

Vous jugerez le texte qui vous sera soumis et, étant donné le soin que nous avons mis à le rédiger, je ne doute pas que vous lui apporterez votre soutien. Vous pourrez aussi vérifier que les inquiétudes exprimées ici ou là étaient vaines. C'est un texte de bonne foi et qui respecte nos valeurs.

Nous aurons un Conseil national qui examinera ce texte d'ici à la fin du mois de novembre et nous aurons aussi notre congrès ordinaire au mois de janvier.

Rarement, dans ce contexte de rejet et de véritable sécession, la responsabilité des femmes et hommes politiques aura été aussi grande. Il leur appartient de tourner le dos aux rancunes et aux incompréhensions pour construire ensemble et éviter les dérives. Il est vrai que cela demande une certaine abnégation, un dépassement de soi. Cela demande de tourner la page sur des incompréhensions et des frustrations. Mais cet effort est nécessaire et il montre notre bonne foi. Et les Français le comprennent. Je vous rappelle que dans le dernier sondage publié, 70 % des sympathisants des deux mouvements approuvent leur rapprochement, et que l'UDI et le MoDem ont désormais, et de loin, la meilleure image de tous les mouvements politiques français. C'est un encouragement à bouger, et non pas à se replier sur soi.

Je vous adresserai le texte de la Charte que nous proposons dès ce soir, bien entendu.

Je n'ai aucun doute sur le chemin que nous devons suivre pour que la France retrouve la confiance perdue. Et que nous devenions les acteurs centraux de sa reconstruction.

Je vous dis mon amitié et mon engagement à vos côtés.

François BAYROU

10 octobre 2013

COMMUNIQUÉ de Philippe BERTA

Philippe BERTA, Président du Mouvement Démocrate du GARD, communique.

28 septembre 2013

L'UDI, le MoDEM : une union nécessaire ?

Le BILLET de François VAN DE VILLE

Un document de réflexion à l'heure d'un tournant décisif.

04 septembre 2013

MESSAGE de Philippe BERTA

RASSEMBLER LE CENTRE, C'EST MAINTENANT

Dans un courrier qu'il a adressé en date du 4 Septembre aux adhérents et sympathisants du Mouvement Démocrate du GARD, le Président Philippe BERTA a fait part d'une étape essentielle qui marque un retour vers un rassemblement du centre qui se dessine déjà dans les faits.

Ci-joint ce courrier dont on peut mesurer l'importance.

19 août 2013

LE TRAVAIL DE RECONSTRUCTION N'EST PAS FAIT

Dans une interview au journal La Croix, François BAYROU a affirmé que le travail de reconstruction du pays n'est pas fait par le gouvernement.

Voir l'article

07 juillet 2013

RÉUNION du CONSEIL NATIONAL des 21 & 22 JUIN 2013 à PARIS

Le VENDREDI 21 JUIN en soirée, François BAYROU réunissait séparément, au siège du Mouvement, les Présidents et Délégués des Fédérations Départementales venues à Paris pour participer, le lendemain matin, avec les autres conseillers au Conseil National. Ce fut, pour François BAYROU, et devant cette assemblée plus restreinte, de délivrer quelques messages plus intimistes.

Nous remercions Philippe BERTA, notre Président gardois, dans un style très concis qui lui est propre, d’avoir pris quelques notes qu’il nous a transmises et desquelles nous nous efforçons de transmettre ici les messages principaux.

À propos des municipales, il a été rappelé qu’il s’agit “d’élections locales, à enjeux locaux, appuyés sur une stratégie locale”. (Il est donc nécessaire de) présenter un “projet d’équipe sortant du champ partisan”, projet mené par un “chef de projet” pour “répondre à des attentes concrètes”.

Il convient (d’axer notre action) sur le “besoin de renouvellement”, et (réaffirmer) “notre indépendance” pour “permettre le dialogue républicain”. (Nécessité de) “proposer une charte d’exigence prenant en compte l’économie et la préservation des services publics”.

Et François BAYROU de commenter : “On assiste à la fin d’un cycle politique”, (le moment se présentant de) “faire un travail de ressources humaines basé (uniquement sur la) qualité” (des projets). Il faut “être ouvert, mais ne pas céder aux enchères". Nous (devons) être “capables de parler, de travailler avec des gens respectables, mais pas avec des marginaux”.

Et de présenter ensuite les documents de campagne qui seront proposés au cours de la future campagne.

Il informe enfin que l’Université de Rentrée aura lieu les 27, 28 & 29 Septembre de nouveau à Guidel (Morbihan).



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Le SAMEDI MATIN 22 JUIN, en présence, en outre, des Conseillers Départementaux, avait lieu le Conseil National à l’Hôtel Marriott. Sur le même style, Philippe BERTA nous transmis ses notes dont voici la synthèse par les principaux intervenants.

*J.J. JEGOU - Approbation des Comptes du Mouvement

Jean-Jacques JEGOU a fait part de son sentiment d’une certaine “injustice dans l’établissement de l’attribution de l’argent public aux partis politiques”, car il n’est pas “pris en compte l’élection présidentielle” (qui est pourtant la) “seule campagne qui intéresse encore les français” : 1M€ pour le MoDem, 60 M€ pour le P.S. ! (Et d’affirmer que tout) “électeur est aussi un contribuable”.

Malgré ce handicap, les comptes du Mouvement sont équilibrés et celui-ci n’a aucune dette, ce qui n’est pas le cas d’autres partis (pour exemple, l’UMP a une dette située entre 60 et 80 M€). Nous, pour atteindre cet objectif, nous avons loué, dans le cadre d’un bail précaire de 5 ans, un des étages de notre siège à un Cabinet d’Experts Comptables, le loyer de 1,5 M€ ayant été payé en une seule fois.

Par ailleurs, notre Mouvement constate une augmentation des cotisations rentrées.

(Rapport adopté à l’unanimité)

*Marc FESNEAU - Élections Municipales (-260 jours)

“Pas de logique partisane. Besoin de renouvellement, d’ouverture et de rassemblement. Assumer une démarche locale avec le sentiment d’une démarche nationale”.

“Charte d’exigence municipale à recevoir introduisant les éléments de moralisation, de démocratie locale avec rapprochement des échelles locales (dans un esprit de) simplification".

“Nos atouts : liberté, indépendance, avoir eu raison (sur un grand nombre de sujets) : institutions, moralisation, le “produire en France”, l’éducation, les comptes publics, etc..."

“Ne pas se  vendre pour n’importe quoi. Former des groupes d’action municipale".

“Les validations se feront à deux niveaux : “tête de liste” et “chef de file”, et ce selon la stratégie d’indépendance ou de travail avec des partenaires acceptables".

Et de rappeler que pour les communes de plus de 1.000 habitants, il y aura parallèlement sur le même bulletin l’élection des conseillers communautaires (agglos) et de communautés de communes. Et de souhaiter une “plus grande liberté pour ces conseillers élus”.

*Robert ROCHEFORT

“Nous sommes dans un monde globalisé, dur et violent. (Notre) pays recule de par la faute collective des “politiques” et d’une société avec ses systèmes protégés. La révolte gronde. Celle de Le Pen ne mène nulle part et elle est inacceptable (violences et retour en arrière). Hésitation entre révolte et/ou repli sur soi".

“Il faut réunir, et c’est un devoir de concilier solidarité et responsabilité. Pas de l’assistance. Et quant aux emplois aidés, ils sont pour les seules administrations".

*Yann WERHLING

“Quand on se dit 'politique', on n’est plus écouté. Il y a scission entre ceux qui veulent garder leurs acquits et les autres".

*Marielle DE SARNEZ

“Les politiques des deux partis majoritaires sont décrédibilisés, voire même disqualifiés : une UMP divisée, un P.S. absent au second tour d’élection. Désabusement, déception, rupture, 'renverser la table'. Il y aura toujours un populiste qui le fera mieux".

“Notre rôle est de tracer des perspectives de redressement national. Une voie d’espoir si les politiques se rassemblent, si l’Europe des peuples se construit".

*François BAYROU

“Si nous sommes sérieux et soudés, on aura besoin de nous  dans le paysage politique français qui va se trouver totalement remanié. Nous devons incarner la rupture : ce n’est pas dans le 'bocal' que se trouve la réponses".

“Côté Hollande : un peu plus républicain que son prédécesseur, mais décevant sur la vision. Ne fait que de petites choses : usine à gaz des emplois aidés, refondation illisible de l’éducation, etc... Il ressemble trop à ce que ses détracteurs craignaient, entretenant une ambiguïté constante (par ex. un Montebourg s’élevant contre les disciplines budgétaires avec un 100% de dettes !)".

“Côté opposition : explosée ! Et le pire est à venir entre sarkozystes et fillonnistes. Si l’UDI est au centre, il lui faudra revenir (sur ses pas)".

“FN : opposant universel, contre tout. Être contre tout est un avantage tactique qui ne débouche sur rien. Les solutions avancées sont irréalistes et dangereuses pour le France".

“Nous, nous nous trompons que peu. Restons cohérents, non marginaux, ouverts. (Hommes et femmes de) rupture".

“Nous devons être les contestataires de notre système politique, un système pourri au sens que plus rien de spontané ni de vrai ne s’y exprime. Outsiders, non insiders. Nous avons la capacité de récuser ce qui doit l’être et d’affronter les vagues. Ne soyons pas marginaux. (De Gaulle a déjà vécu cela dans les années 50)".

"Voici venu le temps des refondateurs/reconstructeurs. Si nous ne refondons pas, l’Europe est morte. Et si l’Europe est morte, alors nous sommes tous morts...."

09 avril 2013

APPEL POUR UN RÉFÉRENDUM

COMMUNIQUÉ DE PRESSE du

MODEM du GARD

 

 

Nîmes, le Mardi 9 Avril 2013

 

 

 

Appel à un référendum de moralisation de la vie publique : 42.000 signataires en 4 jours

 

Les militants et responsables du Mouvement Démocrate du Gard ont relayé ce week-end l'appel de François Bayrou à un référendum de moralisation de la vie publique, lors d'une vaste campagne via les réseaux sociaux ou des tractages. D'autres actions sont à suivre.

 

Le scandale Cahuzac, après tant d'autres scandales, a profondément choqué le pays. Dans une situation aussi grave, le président de la République et le gouvernement ont le devoir de réagir. C'est pourquoi François Bayrou a lancé un appel citoyen pour exiger un référendum de moralisation de la vie publique.

 

Les militants du Mouvement Démocrate du Gard ont relayé cet appel ce week-end, lors d'une vaste campagne de mobilisation. Au cœur de leurs revendications, cinq mesures trop longtemps reportées par nos gouvernants alors qu'elles recueillent un large consensus auprès de nos citoyens :


-       Mettre fin au mélange des intérêts financiers et politiques ;

 

-       Interdire le cumul des mandats dès les élections de 2014 ;

 

-       Réduire le nombre de parlementaires ;

 

-      Permettre la représentation de toutes les opinions, par l'introduction d'une dose de

proportionnelle aux élections ;

 

-       Renforcer le contrôle du financement des partis politiques.

 

Les premiers résultats sont là : en 4 jours, 42.000 citoyens ont signé cet appel sur le site internet http://www.moralisation.fr. Chaque heure, des dizaines de nouveaux signataires sont comptabilisés. Le Mouvement Démocrate du Gard poursuivra ses actions tout au long de la semaine.

 

Contact : BERTA Philippe, Président Modem Gard, p.berta@hotmail.fr, 06 09 16 60 83

27 janvier 2013

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 Mouvement Démocrate,Bayrou,Politique

MUNICIPALES 2014


LE MOUVEMENT DÉMOCRATE du GARD

EN ORDRE DE MARCHE


Le Conseil Départemental du Modem du GARD s’est réuni le 22 Janvier 2013.

Dans le cadre de son ordre du jour, il a mis en place le premier niveau d’organisation en vue de la préparation des municipales de 2014.

À cet effet, ont été élus :

• Vice-Président : Mr Patrick REVOL (Venejan), en charge de l’organisation des municipales sur le secteur du Gard Rhodanien

• Vice-Président : Mr le Docteur Henri FRANCÈS (St Christol les Alès), en charge de celles sur le secteur du Bassin Alèsien

• Vice-Président : Mr Mickaël MANEN (Aimargues) et

• Vice-Président : Mr Arthur EDWARDS (Beauvoisin) en charge conjointement de celles sur le secteur Ouest du département.


Mr Bernard BON (Bellegarde), Délégué Départemental, prendra en charge celles sur le secteur Sud du département.

Le Professeur Philippe BERTA (Nîmes), Président Départemental de notre Mouvement gardois, organisera, quant à lui, les municipales nîmoises. Ainsi, à NÎMES, un groupe de travail élargi à la société civile a été mis en place et sera en charge de l’élaboration d’un programme qui se veut innovant et fondé sur la base d’une démocratie participative, après une consultation élargie au plus grand nombre de citoyens nîmois qui y seront associés.

Le mode de mise en place de ces équipes a été rappelé à chacun : il sera le résultat et d’un principe et d’une volonté.

• le principe : il sera une préparation qui ne se fera pas sur une base politicienne fondée sur des étiquettes, quelles qu’elles soient, mais sur une démarche d’équipes et de majorités locales. Ce qui compte, pour toute commune comme pour une ville plus importante, ce n’est pas l’étiquette des candidats - le rejet massif que l’on constate d’ailleurs des “politiques” par la population conforte largement ce principe - mais leur projet et leurs qualités humaines. Le Mouvement Démocrate du Gard aura donc aux élections municipales une démarche claire dans laquelle seule prévaudra la qualité des femmes et des hommes et la qualité de leurs projets.

• la volonté : elle sera une volonté d’ouverture. Porter des idées concrètes issues du terrain, faire apparaître des visages nouveaux que les "vieux partis" traditionnels ne permettent plus de faire surgir.

L’urgence des situations locales que nous avons à affronter conforte cette exigence et cette nouvelle façon de faire vivre l’action politique.