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24 mai 2012

Le MoDem du GARD aux LÉGISLATIVES

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18 mai 2012

Philippe BERTA candidat sur 6ème du GARD

 

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Philippe BERTA, Président du Mouvement Démocrate du GARD, avec Joëlle PELLISSIER (ex-Conseillère Générale du GARD) comme suppléante, se présente sous l'étiquette "LE CENTRE POUR LA FRANCE" sur la 6ème Circonscription du GARD.

14 candidats sont en compétition.

10 mai 2012

LE CENTRE POUR LA FRANCE

 

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Des femmes et des hommes non pas d'un camp,

mais d'un pays et d'un peuple

 

 L’élection présidentielle a livré son verdict. François Hollande a été élu, et Nicolas Sarkozy a organisé la transition comme elle devait l’être. Les Français ont apprécié ce moment républicain, ce qui prouve qu’il y a dans notre pays aujourd’hui un grand besoin d’apaisement.

J'ai pris mes responsabilités....

Dans cette élection, j’ai pris mes responsabilités. Pour moi, la vie, cela consiste à prendre ses responsabilités. Je l’ai fait, est-il besoin de le dire, sans aucune idée d’intérêt, sans aucune sorte de marchandage. On me dit : "vous avez pris des risques ! On va vous le faire payer et vous désigner comme cible". Je l’accepte. J’assume cela. J’ai pris cette décision, parce que je considérais que l’essentiel se trouvait en jeu, qu’au bout du compte, malgré mes réserves sur bien des points, l’alternance offrirait une chance nouvelle au pays.

Et notre marque de fabrique, à nous, c’est que nous ne faisons pas de la politique comme un marchandage : nous faisons de la politique comme un engagement. Et nous pensons que le courage est nécessaire à l’engagement. Or l’engagement, et le courage, c’est précisément ce qu’il faut à la France. Pas le sectarisme. Car la période que nous allons vivre va être la plus rude, la plus exigeante, que la France ait traversée depuis longtemps.

La crise vient plus vite, plus dure....

Je veux vous dire solennellement ceci : la crise vient, plus vite et plus dure qu’on ne l’imaginait ! L’étincelle part de Grèce, mais c’est dans les États endettés de la zone euro, et au premier chef chez nous en France, que l’incendie risque de s’allumer.

Voilà la dure réalité. Cette crise est celle des États surendettés de la zone euro. En finançant à crédit leur train de vie, en dépensant pour le courant et pas assez pour l’investissement, ces pays, et le nôtre, se sont placés dans une situation invivable. La crise qui vient sera la plus rude de celles que notre pays aura traversées depuis la guerre, parce que cette crise risque de menacer d’abord notre modèle social et de services publics.

J’espère que des démarches de croissance seront acceptées par les autorités de l’Union européenne. Mais c’est à l’horizon de plusieurs années. Et elles ne seront acceptées que si, en même temps, les pays cessent de s’endetter, et cela c’est à court terme. Et comme dans toute crise, ce sont les catégories les plus fragiles qui risquent d’être les premières atteintes. Il est très important que les gouvernants aient cela à l’esprit.

Il n'y aura pas de répit....

Et cela a deux conséquences. Il n’y aura pas de répit. Il y aura peut-être un court état de grâce politique, mais pas d’état de grâce économique et social. Et deuxième conséquence : on ne sortira pas de cette crise par les solutions politiques classiques !

François Hollande a un atout : il n’est pas ressenti comme un homme d’affrontements. Je crois, pour ma part, que c’est authentique, il est nouveau, il a un certain crédit dans l’appareil d’État. Surtout, il a obtenu le soutien des catégories populaires les plus fragiles. Mais son programme économique devra être repris en profondeur, à la mesure de la crise, et ce sera un rude exercice de vérité, d’abord dans sa majorité.

S’il trouve en face de lui une opposition agressive et systématique, qui fera feu de tout bois, a fortiori une cohabitation de blocage, il n’existe aucune chance que le pays puisse se redresser. Je suis persuadé que les Français ne veulent pas d’une opposition frontale et systématique pour la période qui s’ouvre. Ils ont envie de gens, même différents, mais réunis qui fassent avancer les choses. C’est dans cette volonté que nous nous inscrivons. Il faut au Parlement un courant politique nouveau qui soit à la fois indépendant et positif. Il faut un courant politique qui dise non à la participation complaisante, non à l’opposition de principe, et oui à l’esprit de responsabilité et d’unité nationale.

Il faut un courant politique qui ne cherche pas l’échec des gouvernants, mais le succès de la France dans les immenses difficultés qu’elle va rencontrer. Des gens qui ne s’en laissent pas compter, qui ne se laissent pas influencer par les intérêts partisans. Et cette force ne peut être qu’au Centre.

Je dis au centre....

Pour la première fois, un vrai centre peut exister. Jusqu’à maintenant, le centre ne se concevait qu’à droite. Jamais, depuis des années, il n’avait pu faire la preuve d’une vraie indépendance, d’une vraie liberté de décision, fondée non pas sur des arrière-pensées, mais sur le plus profond de son engagement.

Or pour qu’un vrai centre existe, il faut qu’il réunisse des femmes et des hommes qui assument leur diversité et ne soient pas toujours du même côté de cette barrière imaginaire qui séparerait les Français.

J’ai beaucoup d’amis qui ont voté Sarkozy et appelé à voter pour lui. Je considère qu’ils en avaient le droit. J’ai des amis qui ont voté blanc. Je considère qu’ils en avaient le droit. Beaucoup d’entre nous aussi ont voté Hollande et moi avec eux.

Ils n’ont pas à être accusés de leur vote. Ils en avaient le droit élémentaire comme citoyens. Aucun contrat, aucune dépendance ne doit empêcher un citoyen d’émettre le vote qu’il considère juste.

Et c’est en acceptant cette diversité, en réunissant ceux qui ont fait des choix de deuxième tour différents, et heureusement, que nous créerons le pôle central libre dont la France a besoin. C’est un grand changement.

La création d'une force centrale....

La création d’une force centrale et libre dans la vie politique française, là est la seule nouveauté, et le seul changement possible. Et cette force centrale qui accepte et veut voir réunies les sensibilités différentes du centre, ceux qui ont voté d’un côté et ceux qui ont voté de l’autre, un pôle qui non seulement accepte la diversité mais la souhaite, c’est la garantie que pour la première fois, un courant refusera le sectarisme, les réflexes de clan, tout pour ou tout contre, toujours pour ou toujours contre !

Au travers des candidats de cette force centrale, pourront s’exprimer tous ceux qui éprouvent un malaise devant la volonté de monopole de l’UMP et du PS. Et je les ai rencontrés, les gaullistes, les sociaux démocrates, les sensibilités sociales de la droite républicaine, les écologistes réalistes. Tous ceux qui n’aiment pas que triomphent les seules logiques d’appareil. Tous ceux qui en ont marre des sectaires d’un bord ou de l’autre.

Quand les décisions seront bonnes et courageuses, le pôle central soutiendra les orientations du gouvernement. Quand elles seront risquées, il le dira clairement. En toutes circonstances, il cherchera à influencer les décisions prises dans le sens du courage, du réalisme, et de l’attention à porter à la vie quotidienne. Il défendra une vision pour le pays, autant que le souci de la vie de tous les jours. Il sera humaniste, pas seulement dans les mots, mais dans les actes. Devant la crise, il défendra l’intérêt national et donc l’unité nationale.

"Le Centre pour la France"

Les candidats de ce pôle central qui auront signé une charte d’engagement se présenteront sous l’étiquette : "Le Centre pour la France".

Ces candidats auront un mot d’ordre : "Nous voulons être utiles à la France, pour qu’elle échappe à ses divisions". Ils ne seront pas les hommes et les femmes d’un camp, mais les hommes et les femmes d’un pays et d’un peuple.

François BAYROU

24 avril 2012

LETTRE de Philippe BERTA

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Chers amis,

Ce que nous savons être juste n’a pas gagné ce week-end.

Oui, il est difficile dans une période de crise morale, de crise socio-économique, de crise culturelle voire intellectuelle, de faire triompher les mots rigueur, travail, solidarité, lutte contre les déficits, morale politique, éducation, production...

Nous le savions. Mais nous savons aussi que le bipartisme qui oppose les Français les uns contre les autres, et qui a aussi pour objet d’assurer les émoluments de tel ou tel politique, même si vainqueur aujourd’hui, il ne pourra plus tenir très longtemps : il est soumis à la double pression de la dureté des temps et à celle des mouvements extrémistes qui font leur lit de la désespérance et de la colère de nos concitoyens.

Notre mouvement est jeune : 5 ans. S’il ne comporte pratiquement pas d'élus, il réussit pourtant, à son 1er coup d'essai pour les présidentielles, à asseoir un socle proche des 10%, tout en souffrant du fameux "vote utile" parfaitement servi dès l’origine par les médias.

Ceci confirme donc qu'il y a réellement une existence et une place pour un parti centriste, un parti central dans l’échiquier politique français.

Nous avons ouvert la voie : nous pouvons en être fiers. François Bayrou nous a guidés et nous allons continuer cette route en rassemblant des acteurs qui, comme nous, viennent d’horizons politiques variés. Cette diversité là, c’est une richesse qui constituera la force d’avenir dont notre pays a tant besoin.

Notre département du Gard, déjà marqué par un taux de chômage record, un niveau de revenus des plus bas, un niveau de formation insuffisant, une insécurité forte, par son absence d’attractivité, a aujourd’hui, de surcroit, le déshonneur d’être le seul à avoir porté le Front National en première position. Belle image pour d’éventuels investisseurs ou de potentiels touristes ! Le seul front acceptable aujourd’hui est bien un front démocrate qui sera vite le seul apte à défendre jusqu’à des fondamentaux que nous pensions un peu vite définitivement acquis, tels la paix et la liberté. Il doit se composer autour de valeurs communes sans compromis aucun et sans se limiter à l’addition d’existants, à la reconduite d’acteurs du passé. L’enjeu est désormais crucial et les politiques qui le composeront se devront d’être exemplaires. Nous savons que nous pouvons faire confiance à François Bayrou pour en dessiner les contours.

Comme vous l’avez certainement entendu, dans les jours à venir, François Bayrou, dont la majorité des observateurs avisés de la vie politique ont su reconnaître les qualités de la vision et du projet, présentera le socle des thèmes qu’il considère fondamentaux aux deux candidats qualifiés au second tour. Il en écoutera les réponses et nous témoignera par la suite de son choix. Je serai respectueux de ce choix.

Mais comment ne pas revenir sur cette campagne, soit au démarrage bien difficile, mais pour laquelle malgré nos faibles moyens, nous avons su répondre présents, sur le terrain, dans les meetings ou encore dans les bureaux de vote.

Vous avez été, les uns les autres, en fonction de vos possibilités, de vos disponibilités, de merveilleux acteurs, nous laissant encore de grands souvenirs. Vous avez encore su donner un sens au mot "engagement", et je sais, nous savons, compter sur vous pour les combats futurs.

Merci, merci à vous tous. Merci pour votre sincérité que je suis sûr, peu de mouvements politiques ont la chance de connaître. Nous savons qu’installer une force politique nouvelle et innovante n’est point chose facile, mais nous savons qu’au regard de l’enjeu, nous ne renoncerons pas.

Très amicalement.

Philippe BERTA
Président du Mouvement Démocrate du GARD

22 avril 2012

RÉSULTAT des ÉLECTIONS du 22 Avril (1er tour Présidentielles)

RÉSULTAT des ÉLECTIONS du 22 AVRIL - 1er tour des Présidentielles :

(Chiffres publiés par le Ministère de l'Intérieur à 22 heures)

François Hollande : 27,90%
Nicolas Sarkozy : 26,68%
Marine Le Pen : 19,30% des voix
Jean-Luc Mélenchon : 10,84%
François Bayrou : 9,19%
Eva Joly : 2,11%
Nicolas Dupont-Aignan : 1,88%
Philippe Poutou : 1,24%
Nathalie Arthaud : 0,62%
Jacques Cheminade : 0,25%

20 avril 2012

JE VOTERAI pour François BAYROU

TRIBUNE LIBRE

Chers ami(e)s,

Dimanche prochain je voterai pour François Bayrou. Voici quelques mots pour vous convaincre de faire comme moi.

Je crois qu'il faut donner nos voix à François Bayrou car c'est le seul qui, loin du populisme ambiant, a des jugements équilibrés en phase avec la réalité. Je pense qu'il est temps de donner de la voix à celui qui nous dit la vérité depuis des années. Je suis convaincu qu'il est temps de mettre à la tête de l'Etat celui qui ose dire que chacun devra retrousser ses manches pour que la France retrouve les couleurs qu'elle n'aurait jamais dû perdre. Il faut aligner dans les urnes la confiance que les Français disent faire à François Bayrou. En tous cas, il ne faut surtout pas céder aux sirènes des démagogues.

Pourquoi notre situation économique est-elle déplorable alors que l'Europe du Nord traverse si bien la crise ? C'est l'UMP et le PS qui nous ont mis dans cette situation. Aucun des deux partis n'a jamais voulu voir la vérité en face, la dire aux Français, réformer quand il en était temps. Depuis des décennies, ils ont emprunté sans arrêt pour pouvoir nous tenir en dehors des réalités. Et pourtant ces deux-là nous font encore miroiter des promesses qu'ils savent ne pas pouvoir tenir.

Pour François Bayrou, les efforts de redressement doivent être portés par tous (à commencer par la classe politique). Il ne laisse pas croire que seuls ceux de l'autre camp auront à faire les frais de la crise. Taxer les riches ne suffira pas à redresser l'économie ; et il n'y a plus moyen d'augmenter les effectifs de la fonction publique. Dire le contraire comme Hollande est mensonge.  A contrario, les finances de l'Etat ne peuvent s'équilibrer par une simple réduction du nombre des fonctionnaires. Il est irresponsable de laisser croire le contraire comme le fait Sarkozy.

Hollande ne pourra pas réformer en profondeur ; ses alliés l'en empêcheront. Et s'il décide d'agir contre leur avis, la droite s'y opposera par principe. Sarkozy a montré qu'il mène des réformes sans dialogue ni écoute, puis s'arrête au milieu du gué quand la pression de la rue devient trop forte. Par exemple : la réforme des retraites, qui maintient les régimes spéciaux et n'a pas permis une équité entre les emplois publics et privés.

La solution est entre les deux. Pour avancer, il faut une union nationale autour de valeurs communes. François Bayrou supprimera la ligne de fracture entre les électeurs, qui sont obligés jusqu'à présent de choisir entre un bloc de gauche et un bloc de droite. Il y aura désormais le bloc des démocrates. Les extrêmes perdront une partie de leur influence, alors qu'ils font l'arbitrage électoral aujourd'hui, et que chacun des grands partis s'ingénie à les séduire avec des compromis contre nature.

Je voterai donc pour François Bayrou parce qu'il saura fédérer les Français autour d'un grand projet commun en portant les couleurs qui font notre pays : l'égalité des citoyens, la priorité à l'éducation, un pays innovant, un Etat droit, un rayonnement culturel, l'appartenance à une Europe porteuse de valeurs démocratiques, le maintien des services publics - une société solidaire bâtie sur une économie au service de l'homme.

Simon SUBTIL (Uzès)

RENVOYONS-LES CHEZ EUX !

Plus de 60% des français sont mécontents du choix Hollande - Sarkozy que leur imposent les médias et les milieux financiers qui les possèdent :

LES FRANÇAIS ONT RAISON !

À moins de 48 heures du vote, ils sont encore près de 40 % à hésiter :

ON LES COMPREND !

Quand l'un dit que la crise est derrière nous….

….quand l'autre dit qu'on peut dépenser à tout va :


ILS NOUS MENTENT TOUS LES DEUX !

RENVOYONS-LES CHEZ EUX !

14 avril 2012

La VISITE de François BAYROU à NÎMES

mouvement démocrate,bayrou,politiqueFrançois BAYROU, vous l'avez appris par la presse, a passé quelques heures à NÎMES, le Mercredi 11 Avril, pour rencontrer des acteurs de la vie civile touchant au monde de l'entreprise, des quartiers, de la formation et de l'apprentissage, ceci dans le cadre de la préparation d'une prise de position sur l'emploi qu'il devait rendre publique dès le lendemain lors d'une conférence de presse à PARIS.

Quelques-uns ne nous ont pas caché qu'ils auraient souhaité pouvoir approcher, ne serait-ce que brièvement, notre candidat lors de cette visite.

Nous comprenons parfaitement leur sentiment. Mais les impératifs de la campagne - qui voulaient essentiellement consacrer ces quelques heures à cette seule thématique - ont empêché cette rencontre avec nos adhérents et sympathisants comme nous l'espérions nous-mêmes.

Le Président BERTA a fait paraître, dès la fin de cette visite, un communiqué à ce propos où il expose les nombreux aléas rencontrés lors de la préparation de cette visite et il nous dit comme les choses n'ont pas été simples.

Voici le message de Philippe BERTA, Président du Mouvement Démocrate du GARD :

Chers adhérent(e)s, cher(e)s soutiens, cher(e)s ami(e)s,

Vous avez probablement appris la venue de notre Président, François BAYROU, ce mercredi 11 avril par la presse et ceci mérite pour le moins un point d’explication.

Contacté (moi-même) il y a longue date, il fut longtemps question d’un meeting à NÎMES. Mais la perspective d’un meeting marseillais a fini par avoir raison de cette proposition.

Nous avons alors travaillé selon différents axes pour une visite thématique (viticulture, tourisme, quartiers etc.). Les thèmes, les uns après les autres qui pouvaient convenir, ne convenaient plus ; puis la visite elle-même est devenue matière à débat.

Ce n’est que la semaine dernière que la visite devait commencer à se confirmer. Il nous a été demandé, par souci de "timing" et "d’efficacité", de ne pas intégrer une rencontre militante, alors que nous avions au préalable programmé un petit déjeuner à l’Ever’In avec vous, puis, en dépit de cause, un accueil à l’aéroport. Rien n’a été négociable et je (nous) en sommes (tous) totalement désolés (voire au-delà !).

Le thème final, la composition même de la journée ont été adoptés le 10 au soir, après que nous ayons résisté à une tentative ultime de changement qui devenait techniquement impossible.

C’est à ce moment que l’intégration, dans une visite de 3 heures au total, du tournage du prochain clip de campagne a été exigée et dans un premier temps à.... Salins de Giraud !

Nous avons résisté à cette demande irréaliste en termes de durée de déplacement, pour imposer un tournage aux Bois des Espeisses à Nîmes, à 10 minutes du point de réunion que nous voulions à tout prix sauver en raison, entre autres, du travail réalisé par les équipes de l’Institut VATEL.

Nous avons pris la liberté d’intégrer nos responsables de Circonscription et quelques cadres du Mouvement, ainsi que quelques membres d’associations du Quartier Valdegour qui travaillaient avec certains d’entre vous, et cela depuis quinze jours à cette venue.

Le résultat semble avoir convenu, les retours presse sont conséquents et c’était là l’objectif. Notre secrétaire national, Marc FESNEAU, nous a félicités hier soir et (il) tient à vous présenter ses excuses, n’ayant pas eu le choix lui-même.

Je vous ai résumé une longue histoire de dizaines et de dizaines de coups de fil….

En quelques mots, je reste à votre disposition pour de légitimes questions complémentaires.

Il nous faut regarder désormais devant nous dans cette dernière ligne droite, et ceci sans état d’âme.

Je sais compter sur vous. François BAYROU sait compter sur vous. Il nous faut quadriller le terrain (affichage, tractage) et nous retrouver le plus nombreux possible au meeting de MARSEILLE ce dimanche, point fort de la campagne.

Je sais compter sur votre compréhension, et vous pouvez compter sur mon amitié.

Philippe BERTA

04 avril 2012

RÉUNION de la SECTION d'ALÈS-CÉVENNES du MoDem du GARD

Dans le cadre de la campagne de François BAYROU, la Section MoDem du Grand Alès et Cévennes organise en relation avec la fédération du MoDem du Gard une réunion publique destinée à présenter les grandes lignes de son programme, de répondre aux questions qu'il soulève et  de préciser les solutions proposées  pour notre pays.

Cette réunion aura lieu le MARDI 10 AVRIL 2012 à partir de 18h30 en présence de Philippe BERTA, Président de la Fédération du MoDem du Gard.

Lieu : Café GAMBRINUS, Place Gabriel Péri à ALÈS

Informations : Votre Contact  06 49 87 91 38

03 avril 2012

PROJET DE LOI DE MORALISATION DE LA VIE PUBLIQUE

François BAYROU propose aux français de fixer par référendum, dès le 10 JUIN, un certain nombre de règles moralisant la vie publique, règles simples mais fortes dont certaines sont en projet depuis des décennies mais qu'aucun pouvoir n'a jamais décidé qu'elles fussent adoptées tant elles bousculent le confort de certains de nos élus.

Voici, dans le lien ci-dessous, le texte qui sera proposé aux français le 10 Juin prochain pour mise en application immédiate.

Moralisation-FINAL.pdf