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20 octobre 2011

COMMUNIQUÉ DE PRESSE de Philippe BERTA

mouvement démocrate,bayrou,politiqueLe Mouvement Démocrate du GARD a pris connaissance de la décision du Juge des référés concernant la demande de suspension des travaux de la ligne TCSP A54/Arènes.

Nous comprenons l’objectif qui a été recherché par cette décision du Juge des référés qui est, en fait, le “gardien des deniers publics”.

Toutefois, il nous apparaît qu’une fois de plus les chiffres avancés par le Président de Nîmes-Métropole - Mr FOURNIER - ont été tronqués, mais surtout  il apparaît qu’aucune réponse concernant la viabilité même du projet n'a été apportée.

Le plus terrible dans cette affaire étant malgré tout de constater qu’une fois de plus le Président de Nîmes-Métropole, Sénateur-Maire de la Ville de Nîmes, veut tenter un passage en force afin d’imposer ses choix obscurs, alors même que des décisions de Justice sur le fond sont en cours.

La sagesse eut été, en bon gardien et gestionnaire des deniers publics, de patienter jusqu’à ce que la Justice ait fini son travail.

Nous ne pouvons qu’une fois de plus constater et dénoncer la légèreté des décideurs concernant la gestion de ces travaux, ainsi que l’absence de dialogue et de concertation en bonne intelligence.

Philippe BERTA

Président du Mouvement Démocrate du GARD

16 octobre 2011

LETTRE de Philippe BERTA

mouvement démocrate,bayrou,politiqueCher(ère) ami(e) démocrate,

Dans quelques mois, nous, citoyens français, aurons à nouveau la possibilité de choisir notre destin. Ne nous trompons pas, et agissons afin de sortir notre pays de l’ornière dans lequel il se trouve, du marasme économique actuel, de la déprime de notre pays, de cette crise qui ne dit pas son nom et que nous subirons toutes et tous.

François Bayrou a écrit un nouvel ouvrage « 2012 Etat d'urgence », édité en août dernier, dans lequel il fait un constat précis de la situation actuelle, mais dans lequel il pose les bases essentielles du programme qui nous permettra de sortir notre Nation du fossé profond dans lequel elle s'enfonce chaque jour un peu plus. Il le fait au travers de deux axes essentiels : « Produire, Instruire».

Le 18 septembre dernier, en clôture de l'Université de rentrée du Mouvement Démocrate, il y a ajouté un troisième verbe: « Construire ». Car au vu de tant d'affaires délictuelles commises par les plus hauts responsables de la République, bafouant toutes les règles éthiques les plus fondamentales, il est plus qu'urgent de « nettoyer » toutes les sphères administratives et politiques de l'Etat, et ce jusqu'au plus haut sommet, afin qu'enfin, nous puissions à nouveau être fiers de notre pays, de notre Nation. Comme vous pourrez le lire dans l'extrait du discours joint à ce courrier, François Bayrou le précise bien: Les voyous ne sont pas tous dans nos cités, mais aussi – et à commencer par là – au sein même de notre gouvernement, de l'Assemblée Nationale, des assemblées régionales et départementales, etc... – Nous ne pouvons plus attendre.

Et pour pouvoir enfin changer les choses, nous devons tous agir, dès maintenant. Nous avons besoin de ce changement, et cela sera possible dans quelques mois ! Rien ne se fera sans vous,  vos dons et cotisations sont indispensables. Certains d'entre vous n'ont ainsi pas encore renouvelé leur adhésion en 2011 et nous sommes persuadés qu'il s'agit d'un oubli. Il est ainsi possible de procéder à cette ré-adhésion par Internet directement sur le site du Mouvement Démocrate, ou d'envoyer le bulletin d'adhésion complété et accompagné d'un chèque de 20 euros minimum au siège du Mouvement Démocrate 133 bis rue de l'Université - 75007 Paris, en informant notre trésorier départemental Michaël Manen (adresse mail: mcmanen@gmail.com).

Vous remerciant de votre fidélité au Mouvement Démocrate, je vous rappelle que vous êtes chaleureusement conviés à participer aux Mardis démocrates du Gard, se tenant tous les troisièmes mardis du mois à l'Ever-In à partir de 18h30, 53 avenue Jean Jaurès à Nîmes.

Bien cordialement.
                                                                      

Philippe BERTA

Président du Mouvement Démocrate du Gard



Extraits du discours de F. Bayrou en clôture de l'Université de rentrée du 18 septembre dernier :

Eh bien il faudra à la France un Agenda 2020 et c'est cet Agenda 2020 que je vous propose de définir, en trois verbes :

Produire, instruire, construire la démocratie qu'il faut à notre pays et une république dignes de ce nom.

PRODUIRE

Je vais rapidement tracer ce qui me semble être les axes majeurs de cette idée. Je reprends le raisonnement.

Lorsque nous avons, devant nous, la forêt des problèmes qui se posent et qui sont tellement immenses que personne ne sait par quel bout les prendre, le labyrinthe des difficultés que nous rencontrons, et tout le monde cherche le fil d'Ariane sans savoir jamais où le trouver, lorsque l'on a ces problèmes devant soi, le déficit, la dette, le chômage, le pouvoir d'achat, évidemment une question s'impose : pourquoi sommes-nous condamnés à la succession de ces échecs ?

La conviction que je défends est celle-ci : il y a à ces questions une cause principale, une cause unique, c'est que nous ne produisons plus dans notre pays et que notre commerce extérieur s'effondre. Nous consommons beaucoup plus que nous ne produisons. Nous perdons des parts de marché à l'exportation et nous perdons des parts de marché sur notre propre marché.

Nous étions en excédent il y a sept ans et, d'année en année, au rythme de 10 à 15 milliards par an, nous sommes aujourd'hui sur un rythme de déficit, notre pays, la France, grande puissance, exportatrice nous dit-on, grande puissance agricole, industrielle, agroalimentaire, production de services, nous sommes aujourd'hui, aujourd'hui même, sur le rythme de 75 milliards de déficit du commerce extérieur par an.

(…) Et nous ne sommes pas déficitaires seulement, comme on le dit, par rapport à la Chine ou à l'Allemagne, nous sommes déficitaires par rapport, Francesco (Rutelli), à l'Italie de 7 milliards dʼeuros par an. Nous sommes déficitaires, Guy (Verhofstadt), par rapport à Belgique de 6,5 milliards dʼeuros par an. Nous sommes déficitaires vis-à-vis de tous les pays qui ont les mêmes contraintes et les mêmes règles et le même projet de société que le nôtre !

C'est pour cela que je soutiens que les problèmes sont chez nous, et c'est chez nous qu'il faut apporter des réponses !(...)

 
Deuxième verbe : INSTRUIRE

Dans le découragement national, lʼécole a probablement la première place. L'école, son affaiblissement, ses doutes, les doutes de la nation jouent un rôle absolument central.

Je veux vous dire que, ayant donné ma vie ou une grande partie de ma vie à l'éducation, ayant été ministre de l'éducation nationale en France, ayant réussi à nouer dans cette fonction des relations, je crois, de confiance et d'estime réciproques avec le monde de l'école -ils l'ont montré contre toute habitude politique lors de la dernière élection présidentielle- je vous dis qu'il est honteux et quʼil nʼest pas digne de notre pays que nous nous retrouvions, en termes de compréhension de l'écrit et de calcul mental, 23ème et 24ème dans le classement des nations développées ! C'est insupportable pour moi. Nous étions le pays que le monde entier regardait comme ayant, sinon la meilleure éducation du monde -il y aurait une part de chauvinisme- en tout cas une des meilleures éducations dans le monde.

En quelques années, nous n'avons cessé de régresser dans le jugement que le monde porte sur l'école de France et, hélas, que les parents et les enseignants portent sur l'école de France.Jamais je n'ai vécu un moment comme celui-ci où le nombre d'étudiants candidats au concours de recrutement s'effondre. Le niveau des candidats au concours de recrutement est gravement discuté.

Je veux vous dire que, l'an dernier, comme vous le savez, on a supprimé un poste sur deux parmi ceux qui partaient à la retraite, donc, au lieu de recruter 32.000 enseignants, on n'en a recruté que 16.000. Écoutez-moi bien, sur ces 16.000, il y a eu 1.000 postes qui n'ont pas pu être attribués faute de reconnaissance du niveau des enseignants par les jurys !

Je dis, au passage, concernant tous ceux qui nous expliquent que l'on va multiplier par 3, augmenter de 60 ou 70.000 le nombre des enseignants qu'il y a d'abord là-dedans une question de cohérence politique, mais je leur demande comment ils font pour que les candidats au concours obtiennent le niveau exigible pour devenir enseignant, sachant que, l'an dernier 1.000 postes n'ont pas été attribués au concours de recrutement ?

Ceci est une question centrale qui me semble remettre un certain nombre de débats et de propositions à leur place !

Doute des candidats, doute des enseignants, doute des familles. Jamais de ma vie, je n'ai vécu ce que l'on vit régulièrement aujourd'hui. Des familles qui, non seulement choisissent d'enlever leurs enfants de l'enseignement public pour les mettre dans l'enseignement privé, mais qui, de plus en plus souvent choisissent le privé hors contrat. Nous, le pays de l'éducation nationale !(…)

 
Troisième orientation : CONSTRUIRE POUR LA FRANCE UNE DÉMOCRATIE DIGNE DE CE NOM

Celui qui souffre le plus en France, c’est le citoyen. Celui qui voudrait être un citoyen de plein exercice dans une démocratie de plein exercice.

(…) J'ai toujours défini devant vous la démocratie comme le régime dans lequel les cartes sont sur la table. En France, hélas, les cartes qui sont sur la table sont une illusion et la plupart des décisions, en tout cas toutes les cartes maitresses sont sous la table.

C’est ce que nous découvrons avec l’incroyable succession de scandales qui sortent chaque jour, comme un tsunami se propage dans les allées du pouvoir et vient plonger dans l’incrédulité même les plus blasés d'entre nous.

On découvre que, dans les antichambres et les bureaux du pouvoir le plus important, le plus éminent en France, se livrent des guerres de trafiquants d’armes, de corrupteurs au nom des industriels et au nom de la France.

On prétendait que les voyous étaient dans les cités et qu’on allait les nettoyer au Kärcher ? On découvre qu’en réalité les voyous, les truands, les trafiquants, on les a installés au cœur de l’État !

(…) On découvre qu’en France, du haut en bas des pouvoirs, ces réseaux tantôt alliés, tantôt affrontés, ne cessent de mettre en place des ramifications, des tentacules qui enserrent les décideurs politiques et industriels, sans que le citoyen n’en sache rien. Eh bien, nous avons à dire une seule chose, s’il y a ces affaires, affaire Karachi, affaire Djouri, affaire Bourgi, affaire Tapie, affaire Guérini, Takkiedine et compagnie, avec leurs ramifications et leurs intermédiaires, tout cela nous fait honte, et c’est à cela en vérité qu’il faut en premier lieu passer le Kärcher ! (...)

14 octobre 2011

LA FRANCE EN ÉTAT D'URGENCE

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13 octobre 2011

LE VENIN DES PRIMAIRES AU PS

ubr.jpgL'ultime débat du 12 Octobre entre Martine Aubry et François Hollande ne sera pas sans conséquences sur leurs futures relations, quel que soit le candidat - ou la candidate - désigné par le scrutin de dimanche prochain.

Ils ont même soigneusement évité de se serrer la main en quittant le plateau.

Bonjour l'ambiance !

Entendre et voir l'éditorial de Christian Barbier dans l'Express.

02 octobre 2011

BORLOO JETTE L'ÉPONGE !

mouvement démocrate,bayrou,politiqueDans un entretien télévisé sur TF1 ce dimanche soir, Jean-Louis BORLOO, candidat putatif de l'ARES (Alliance Républicaine Écologique et Sociale), a annoncé qu'il ne présentera pas sa candidature aux prochaimes élections présidentielles, car il ne sentait pas autour de lui la "dynamiqiue nécessaire" pour la conduite à son terme.

Exit donc BORLOO.

Qui reste-t-il donc comme candidat potentiel sérieux et crédible de ce nouveau groupe qui prétendait rassembler les "centristes" (plus ou moins proches de Sarkozy) et les radicaux ? Il ne nous appartient pas d'apporter ici une réponse à cette question qui doit embarasser tous ceux qui avaient mis leurs espoirs sur ce candidat atypique.

Une chose est certaine : le seul candidat crédible du centre - le vrai, l'indépendant, le fidèle, celui qui ne change pas de ligne depuis des années - est, plus que jamais,.... François BAYROU.

Débat à suivre....

30 septembre 2011

DÉPOSER PLAINTE, C'EST DÉSORMAIS PAYANT !

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Paru au Journal Officiel, le décret instaurant la taxe de 35€ destinée à "financer en partie la réforme de la garde à vue" sera en application dès le 1er Octobre 2011.

À partir de cette date, les justiciables devront s'acquitter de 35€ pour introduire toute action devant une juridiction judiciaire en matière civile, commerciale, prud'hommale, sociale ou rurale, ou devant une juridiction administrative.

Le Conseil National des Barreaux (CNR) envisagerait de déposer un recours au Conseil d'État contre ce décret.

Voilà la nouvelle république que nous concocte l'actuel pouvoir où le libre accès à la Justice pour tout citoyen s'estimant victime d'un quelconque abus ou d'une agression contre ses propres biens ou intérêts n'est ouvert désormais qu'à ceux qui pourront s'acquitter de cette taxe.

"Liberté, Égalité, Fraternité", qu'a-t-on fait des valeurs de la République ?

François VAN DE VILLE

(Commentaire : droits réservés. Reproduction interdite sans autorisation préalable)

29 septembre 2011

RENCONTRE avec la PRESSE

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LE 1er BUDGET DE LA FRANCE ? LES INTÉRÊTS DE LA DETTE !

TRIBUNE LIBRE

 

mouvement démocrate,bayrou,politiqueEn 2012, le premier budget de la France sera celui de la charge de la dette, c'est à dire le remboursement des intérêts de la dette publique.

Des seuls intérêts, et non pas le capital !

Ces intérêts pèseront 49 milliards d'€ dans le budget de l'état. Plus que l'éducation, plus que l'armée, ....... : abyssal ! Et, de plus, la France devra emprunter 180 milliards d'€ en 2012 pour gérer ces déficits antérieurs et nouveaux !

Conséquence terrible : le poids de la dette continuera à augmenter pour s'établir à 87.4% du PIB en 2012 contre 85% en 2011.

Ce qui veut dire clairement que les réductions de dépenses et taxations décidées en 2011 ne suffisent pas.

Il faut s'attendre à de nouvelles réductions de dépenses (30.000 fonctionnaires en moins annoncés en 2012) et un nouveau tour de vis fiscal après les élections présidentielles.

Le budget sera toujours en déficit considérable malgré tous ces efforts : le trou sera (encore) de 81 milliards d'€ en 2012, contre 95 en 2011.

Le risque, bien sur, de ces tours de vis successifs - la France va battre le record toutes catégories des prélèvements obligatoires - est de voir la croissance se réduire, voire entrer en récession.

Avertissement : au deuxième trimestre 2011, la croissance est nulle et le chômage augmente depuis avril. La fin de l'année est désormais considérée comme ne pouvant présenter aucun signe de reprise. Et ce n'est pas le tsunami boursier de l'été qui pourra renverser la tendance.

L'urgence est désormais de réfléchir rapidement à la façon de rentrer dans un cycle de relance vertueuse de l'activité en France et en Europe. Les théories keynésiennes n'ont plus le vent en poupe.

Les deux priorités du MoDem sont les 2 réponses les plus crédibles : produire (de nouveau) en France et améliorer notre système d'éducation.

Quant à certaines promesses électorales (retraite à 60 ans, 300.000 contrats aidés, etc....), elles sont à ranger aux rayons des accessoires, coûteux donc démagogiques.

Philippe GONON

Président du MoDem du Doubs

24 septembre 2011

BAYROU, LE RASSEMBLEUR DE GIENS

Le MoDem prend de l’avance sur les autres pour réunir les forces centrales du pays. Une rentrée politique qui a dopé François Bayrou dans une France en état de crise : « Mon premier message, c’est celui d’un rassemblement calme et serein. La famille politique du centre a été éclatée pendant trop longtemps ; un jour prochain, elle se reconstruira. ».


yartiBayrou20110901Décidément, la famille centriste n’a pas de chance avec les événements politico-médiatiques. Alors que le congrès du Parti radical valoisien était en train d’acter officiellement son divorce avec l’UMP, Dominique Strauss-Kahn devenait le phare mondial des médias avec son arrestation à New York. Et le week-end dernier, l’autre versant du centrisme, plus indépendant, le MoDem de François Bayrou, tenait son université de rentrée sur la Presqu’île de Giens, mais son écho médiatique fut couvert par la première expression publique de ce même DSK à la télévision.

Pourtant, ce qu’il s’est passé à Giens ce week-end des 17-18 septembre 2011 n’était pas anodin. Vous descendez à Toulon, prenez la route de l’aéroport d’Hyères, continuez par la départementale 197, traversez La Capte, La Bergerie, choisissez la direction de la Tour fondue à la pointe sud-est et juste avant d’arriver au petit port qui assure les liaisons avec Porquerolles, vous tournez sur votre gauche et débarquez au Balambra Club, un village vacances de France (VVF) assez classique pour se prélasser au soleil ou participer à une manifestation politique.


Deux centres avec les mêmes valeurs


À l’heure actuelle, il existe deux organisations centristes que ni les idées ni les amitiés n’opposent vraiment. Mais dont la stratégie est différente, et encore, aujourd’hui, c’est surtout l’historique des ego, des trahisons ressenties d’un côté comme de l’autre, qui creuse un fossé qui ne devrait pas avoir lieu d’être : le centrisme bio de François Bayrou, qui peut se prévaloir d’une indépendance totale avec l’UMP, au prix d’une absence de groupe parlementaire et de fuite des élus ; et le centrisme synthétique (recomposé) de Jean-Louis Borloo, qui a réussi à fédérer ses troupes dans une Alliance (l’ARES) autour des radicaux valoisiens (qui avaient rejoint l’UMP en avril 2002) et du Nouveau centre (partie issue de l’UDF canal historique qui avait rejoint la majorité présidentielle en avril 2007).

Quand je dis que rien n’oppose ces deux camps, c’est simplement parce que les seconds, qui participent encore au gouvernement, ont compris la nécessité d’une indépendance vis-à-vis de l’UMP, une indépendance qui risque de coûter très cher aux finances des radicaux puisque l’UMP refuse de leur reverser cette année le 1,2 million d’euros correspondant à leurs députés (toujours inscrits au groupe UMP à l’Assemblée Nationale). Le contentieux financier a franchi d’ailleurs une étape judiciaire et probablement Jean-Louis Borloo attend un peu de visibilité pécuniaire avant de se déclarer candidat

 

...../....

 

 

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LA PHASE DU JOUR (n° 2)

BAYROU, ÇÀ A DE LA GUEULE !

 

Franz-Olivier GIESBERT

journaliste, biographe, présentateur de télé, romancier franco-américain