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29 juillet 2007

UN SITE À VISITER....

251ad5d162a3550ec69c3f89c01cbc6b.jpgParcourant de nouveau les blogs et sites mis en liens (*) de plusieurs de nos amis - comme je le fais régulièrement - je ne pouvais pas ne pas être frappé par celui (tout jeune) de notre valeureux candidat aux législatives sur la 5° Circonscription du GARD : Michel ESCATAFAL.

Richesse et grande variété des sujets traités, pertinence et justesse des analyses, vigueur des convictions, etc.... Je ne veux pas trop en rajouter : notre (nouveau) trésorier du MoDem du GARD (ex-haut commis de la Banque de France) ne le supporterait pas.

Mais je crois que ce site deviendra bien vite un de nos "favoris". Il est vrai que notre ami peut se flatter de s'être déjà longuement frotté à la politique et ses grands leaders tout au long de sa carrière. Et cela se constate.... Notre tout jeune retraité a un autre beau parcours tout tracé devant lui.

(*) : voir la liste des autres blogs et sites amis en lien dans la colonne ci-contre à gauche

François VAN DE VILLE

26 juillet 2007

CHERCHEZ L'ERREUR

5574bc850b562cbe03986bf671faf817.jpgThierry BENOÎT. Voilà un tout nouveau Député UDF-MoDem qui fait actuellement beaucoup parler de lui. Et il pose une interrogation que l'on entend souvent évoquer quand on rencontre des militants "fidèles" de l'UDF et qui, aujourd'hui encore, veulent suivre François BAYROU dans son nouveau cheminement avec le nouveau Mouvement Démocrate "MoDem", tout en restant fidèles aux valeurs fondamentales de l'UDF. Et d'être quelque peu taraudés par cette question. Et Thierry BENOÎT de lancer, de son côté, un appel à la réconciliation des centristes, ceux du MoDem avec ceux du "nouveau" centre, et encore aussi avec ceux passés à l'UMP.... en 2002.

Il est intéressant de voir et d'entendre en vidéo cet interview de Thierry BENOÎT pour, précisèment, chercher où est l'erreur et pouvoir répondre à nos amis.

Débat non dépourvu d'intérêt et qui risque fort de durer longtemps encore.

17 juillet 2007

À LIRE....

Un article du 16 Juillet relevé sur AgoraVox LE PHÉNOMÈNE MODEM., ou "quand la masse virtuelle rejoint le réel"

14 juillet 2007

LES DÉBOIRES DU P.S.L.E.

LE PARTI EN PANNE

Il y a quelque chose de pathétique chez ces ex-UDF ralliés à Nicolas Sarkozy et qui tentent aujourd’hui d’exister au travers d’un parti dit “nouveau” centre dont ils rêvaient qu’il serait un parti charnière au sein de la majorité présidentielle de Mr Sarkozy.

Mais la réalité est dure à affronter car ce parti est totalement en panne. En effet :

• le “nouveau” centre est en panne de leader : il n’y a chez aucun de ses 21 députés une seule personnalité capable de ce charisme rassembleur qui fait que, sur la scène politique, on existe ou on n’existe pas.

• le “nouveau” centre est en panne d’idées, il est en panne de vrai projet. Il se contente de piller le programme de François Bayrou, du moins ses apparences mais vidées de leur contenu et de ses exigences. Un parti qui n’a pas d’ambition, sauf à soutenir les projets du leader d’un autre parti, est un parti virtuel. Il n’a aucune existence. Il n’a pas de sens. Il est déjà en sursis. Il n’a pas d’avenir.

• le “nouveau” centre est en panne d’adhérents : c’est un peu la conséquence de ce qui précède. Il avoue ±5.000 adhérents, surtout des élus (outre quelques députés) qui adhèrent en vue des prochaines élections locales, un peu comme on souscrirait une assurance-vie. Il y a ainsi dans la vie politique française, de par la bizarrerie de son système électoral, un parti gouvernemental qui a deux ministres, quelques élus, mais pas (ou très peu) d’adhérents ; et à côté, membres de la même famille, un parti qui a des adhérents en nombre au moins dix fois supérieur réunis autour d’un vrai leader qui a su rassembler près d’un français sur cinq, mais très peu de députés et aucun ministre. Vu depuis nos partenaires étrangers, il y en a beaucoup qui ne comprennent pas comment fonctionne la démocratie française.

• le “nouveau” centre est en panne de financements : parce qu’il ne remplit pas les règles des financements publics aux partis politiques, il est privé de celui dû par le nombre de voix obtenues par ses candidats, en nombre trop insuffisants dans trop peu de départements pour y avoir droit. Il y a bien une tentative de contourner cette règle : mais, vraisemblablement, le Conseil Constitutionnel veillera au respect des règles établies. Et quelle image cela donnerait à la vie publique qu’un parti veuille ainsi contourner la Loi pour toucher.... de l’argent public !

• le “nouveau” centre est déjà en panne dans ses relations avec son “grand frère”, l’UMP. Bien fondée l’analyse de Charles de Courson (ex-UDF) quant à l’application de la loi sur le “paquet fiscal”, il a su convaincre et rallier à lui la majorité des membres de la Commission des Finances. Mais, aussitôt, grosse colère de Mr Copé (Président du Groupe UMP), qui a menacé de “taper du poing sur la table” et qui lui a valu la réplique de son homologue du nouveau centre : “la majorité n’est pas un pensionnat”. Les centristes sarkozystes ne voulaient pas jouer les “godillots” : ils ont vite été rappelés à l’ordre. “On” ne touche pas, même si c’est pour l’améliorer, à la loi du plus fort : tout amendement modifiant sensiblement le projet du gouvernement est irrecevable. Et comme les députés de l’UMP n’ont arithmétiquement pas besoin des voix centristes pour qu’une loi passe, les centristes sarkozystes ont été renvoyés à leurs gentilles utopies.

• le “nouveau” centre est, enfin, en risque de panne de groupe : ils étaient 23, dont plusieurs apparentés. Mais voici que le député “nouveau centre” de Mayotte, écœuré de l’intransigeance gouvernementale, a décidé de rejoindre les “non-inscrits” (où siège déjà Bayrou). Et Mr Santitni, devenu ministre, avait pris pour suppléant.... un UMP qui, évidemment, a rejoint ce dernier groupe. Les 23 sont donc devenus 21, dont des apparentés qui n’ont aucuns liens institutionnels avec le “nouveau” centre. Or, en dessous de 20, on n’a plus droit à un groupe. Il va donc falloir garder ce maigre quarteron pendant 58 mois encore : dur, dur.

Tout n’est pas rose, (ou bleu si l'on veut), chez nos amis du “nouveau” centre. Il est à prévoir que ce ne sera pas un long fleuve tranquille.

Bayrou, lui, peut rester serein avec son UDF ”MoDem" qui est bien devenue la troisième force politique de France. Lui sait qu’il a bien rendez-vous demain avec l’avenir et les français.

Je suis scandalisé

Je veux dire ici comme je suis scandalisé par l’attitude du précédent président de l’UDF dans le Gard qui vient d’être réélu député par ses amis de l’UMP et ose encore s’adresser à ceux qui le soutenaient depuis longtemps, comme Mr Bayrou, et qu’il a aujourd’hui trahis.

Voilà pourquoi :
a/ j’avais envoyé au mois de Mars ma cotisation à l’UDF à la permanence du boulevard Pompidou à Nimes. J’étais étonné que mon chèque n'était pas encore encaissé et que je n’avais pas reçu ma carte d’adhérent. Et voici que je viens de recevoir un appel par téléphone d’un proche du député me disant qu’il avait toujours mon bulletin d’adhésion, mais qu’il me proposait de me rendre mon chèque rédigé pour l’UDF si je lui en remettais un autre pour son nouveau parti du centre. Comment ce monsieur, tout député qu’il est, peut-il avoir gardé mon bulletin d’adhésion et mon chèque sans l’avoir envoyé à l’UDF ? Comment peut-il proposer de me remplacer mon chèque par un autre au profit d’un autre parti ? C’est une honte.

b/ coup sur coup, je reçois ensuite de ce même député un prospectus dans lequel il essaye d’expliquer sa trahison et où il m’invite à cotiser à son nouveau parti. J’aimerais savoir où il est allé prendre mon adresse sauf en utilisant le fichier des adhérents de l’UDF à laquelle il n’appartient plus. En a t’il le droit ? Ce fichier lui appartient-il, ou appartient-il à l’UDF ? Comment peut-il l’utiliser pour m’écrire au nom de son nouveau parti ?

J’en ai informé les nouveaux dirigeants de l’UDF et du Modem. Ils n’en savaient rien. Peut-être cette lettre rencontrera d’autres membres à qui il est arrivé le même tour ? Si c’était le cas, ils pourraient aussi le signaler et que cela aidera ces dirigeants à faire arrêter ce scandale.

Je remercie les nouveaux responsables de l’UDF et du Modem dans le Gard de m’avoir donné la possibilité de le dire directement sur leur blog.

13 juillet 2007

BUREAU POLITIQUE du 12/7/2007

Le Bureau Politique de l'UDF - qui continue d'exister en attendant le Congrès de fondation du MoDem - s'est réuni hier à Paris autour dfe François BAYROU.

À lire l'article du Monde qui relate l'essentiel de ce qui y fut dit.

07 juillet 2007

UN NOUVEAU GROUPE de DÉPUTÉS CENTRISTES ?

Pierre Méhaignerie, ex-UDF ayant rallié l'UMP dès 2002 et passé comme tant d'autres (Douste-Blazy, De Robien, Madelin, De Charette, etc..., la liste est fort longue) dans la trappe aux oubliés, envisagerait de créer un groupe centriste hors de l'UMP.

Mr Méhaignerie a en effet estimé, face à Nicolas Sarkozy et François Fillon, que la sensibilité centriste avait vocation à  être mieux prise en compte puisqu'aucun des centristes ralliés dès 2002 n'a été retenu pour quelque fonction gouvernementale que ce soit. (Ce qui est et sera le sort généralement réservé, un jour ou l'autre, à tous ceux qui ne sont pas de "vrais" UMP, ceux d'hier comme ceux des "ralliés" de circonstance d'aujourd'hui).

En privé, Mr Méhaignerie dit même aujourd'hui réfléchir à la création d'un groupe autonome à l'Assemblée regroupant la soixantaine de centristes et de libéraux (génération 2002) de la majorité (non membres des 23 du PSLE). Un scénario qui, s'il se réalisait, pourrait alors priver l'UMP, et donc François Fillon, de la majorité absolue au Parlement. 

Décidément, le centrisme a le vent en poupe... Les soucis de Nicolas Sarkozy ne font que commencer. Déjà ses "alliés" du pseudo "Nouveau Centre" font montre de rébellion à propos des projets de finances et ont été vivement rabroués par le "patron" de l'UMP à l'Assemblée Nationale, Mr Copé.

Observons cela à distance. Et rappelons que le seul véritable centre, actuellement, c'est le MoDem.... Quoiqu'ils en disent tous.

02 juillet 2007

LE DÉSENDETTEMENT À RECULONS

En dépit de la nécessité d'un désendettement de fond, le gouvernement multiplie les mauvais calculs : on a pu le voir avec les cadeaux fiscaux. Mais aussi avec les cessions d'actifs, au point de générer des critiques jusque dans la Majorité présidentielle, fut-elle fraîchement ralliée comme ces élus du pseudo ”Nouveau Centre”.

L'État, en se désengageant à hauteur de 5% du capital de France Telecom, a fait tomber dans son escarcelle un montant de 2,6 milliards d'euros. En théorie, selon Christine Lagarde, ce montant ”devrait” (?) être affecté intégralement au désendettement .
Mais cette stratégie suscite de fortes réserves, à commencer par celles de Charles-Amédée de Courson, celui-là même qui avait chiffré le coût des programmes à l'UDF pendant la campagne présidentielle. Il fait en effet partie des hérauts de l’orthodoxie budgétaire. En 2006, alors sous la bannière UDF, il avait déjà critiqué la politique de cession d’actifs menée à tour de bras par le ministre de l’Économie d’alors, Mr Thierry Breton.

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DE QUI SE MOQUENT-ILS ?

Dans une conférence de presse qui a été donnée ce 2 Juillet à PARIS, le Parti Social Libéral Européen - prétendument appelé “Nouveau Centre” (traduisez situé très à droite du centre, donc pas du tout au centre) - on y a entendu des affirmations bien étranges.

Je cite : “Le Nouveau Centre veut faire en sorte que l'UDF, progressivement vidée de sa substance ces dix dernières années, retrouve la place qui était la sienne, sous un autre nom". (Signé Hervé Morin, ex-Président du Groupe UDF à l’Assemblée Nationale et actuellement Ministre placé sous tutelle).

Mr Morin prend-il les gens pour des imbéciles ? Lui et ses affidés supplétifs de l'UMP, de qui se moquent-ils ?

Voilà donc un personnage qui était parmi les plus proches de François Bayrou, appartenant, comme la plupart des parlementaires, au Comité Exécutif de l’UDF (organe directeur à l’échelon le plus élevé se réunissant plusieurs fois par mois autour de Bayrou) qui, pendant 10 ans - si on l’en croit - aurait assisté, aveugle et muet, à la (vidange) progressive de la substance de l’UDF sans même qu’il s’en aperçoive ! Quelle clairvoyance ! Voici donc aussi des dizaines de milliers de militants qui, eux, n’auraient rien vu et, congrès après congrès pendant des années durant, comme tous les parlementaires enthousiastes qui le soutenaient, appuyaient les propositions de François Bayrou jusqu’à lui faire obtenir un score de près de 19% aux dernières présidentielles.

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QUAND MORIN AIMAIT BAYROU

Quand Hervé MORIN aimait BAYROU. Une vidéo qui laisse songeur....