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16 septembre 2012

POURQUOI VOULOIR DEVENIR BELGE ?

TRIBUNE LIBRE

de François VAN DE VILLE


Il ne fait plus bon vivre riche en France.

mouvement démocrate,bayrou,politique,débats de sociétéSurtout quand les riches voient que l'effort "exceptionnel" qui leur est demandé pour redresser la situation en France - ce qui pourrait être fort louable - n'est accompagné d'aucun effort de la part de l'état qui continue, de son côté, de dépenser à gogo.

"Exceptionnel", ensuite, dans la bouche de nos "politiques" qui ne nous ont guère habitués à supprimer des impôts et les brandissent même comme des trophées de guerre, çà veut dire quoi ? Pour 2 ans, pour 5 ans, ou pour "perpète" ? C'est le flou absolu : aucun engagement ferme sur ce point.

Résultat : près de 500.00 contribuables français - et pas seulement des milliardaires mais des gens plus modestes qui ne veulent pas, en fin de carrière, se faire confisquer le fruit du travail de toute une vie - se sont installés en Grande-Bretagne : il est vrai, que là-bas, l'impôt sur les sociétés, qui était de 28%, a été ramené à 24% et devrait passer à 22% d'ici 2 ans ; le taux maximal sur les hauts salaires (+ de 190.000 €) a été ramené de 50 à 45%, et il n'y a pas d'ISF. En Belgique, il n'y a ni ISF, ni impôt sur les plus-values : des français s'y installent désormais par milliers. En Suisse, 1 français s'y installe par jour. etc....

Y a-t-il donc de la grandeur d'âme à vouloir se laisser plumer ?

Mais, ce qu'il y a de plus grave dans cet exode, ce n'est pas seulement des capitaux français qui s'évadent pour s'investir à l'étranger, mais ce sont des cerveaux, des chercheurs, des universitaires formés et diplômés en France qui se mettent au service d'états qui les respectent, eux, comme il se doit ; ce sont aussi des sociétés incitées à délocaliser leur siège social, etc.....

Voilà pourquoi "on peut avoir envie de devenir belge", pour répondre à la question posée récemment sur une grande radio nationale.

Quand l'état se laisse aller au vieux démon de la confiscation des forces vives d'une nation et de ses richesses potentielles pour satisfaire des promesses hasardeuses - tout en se préservant soigneusement de tels efforts pour lui-même - voilà le résultat !

Faut-il s'en étonner ?

19 juillet 2012

RASSEMBLEMENT DES CENTRES

Tant qu'on conjuguera d'office le mot "centre" avec l'adjectif "droit", il n'y aura pas et ne peut y avoir de rassemblement des centres.


(François VAN DE VILLE sur Twitter "francoisvan")

18 juin 2012

LE JOUR OÙ BAYROU A CHOISI DE VOTER HOLLANDE

 

Jeudi 3 mai à 19h15 : François Bayrou prononce la phrase qui met le feu à une bonne partie de son électorat.

 


par Hubert BRUYÈRE


Jeudi 3 mai à 19h15 : Il n'a rien dit. Il a juste demandé à disposer d'une heure pour écrire sa déclaration. En cette fin d'après-midi du jeudi 3 mai, personne ne sait vraiment quel est le choix de François Bayrou pour le second tour de l'élection présidentielle.

Une seule chose est sûre. Il ne restera pas dans le vague. Il l'a dit dès le début de sa campagne électorale. Il veut en finir avec le centre flou et le centre mou.

Dès le soir du premier tour, quelques-uns ont plaidé en faveur d'une déclaration laissant les électeurs libres. Jean Lassalle est de ceux-là. "J'avais le sentiment que plus on se rapprocherait de la date fatidique, plus on aurait de coups à prendre".

Des messages affluent

La position du MoDem commence à se jouer à Paris devant la télévision. François Bayrou, Marielle de Sarnez et quelques poids lourds du parti regardent ensemble le débat qui oppose Nicolas Sarkozy à François Hollande. Sur le portable de François Bayrou, les messages affluent. Après l'émission, le candidat à la présidentielle joint Jean Lassalle. Les deux Béarnais échangent leurs impressions. "Il était sur la ligne définie : la liberté de vote", estime le maire de Lourdios. François Bayrou appelle aussi Jean-Jacques Lasserre. "Il m'a semblé que sa décision n'était pas prise", confie ce dernier. Le sénateur a déjà fait savoir qu'il ne votera pas socialiste. Il évoque son expérience départementale… avec un PS qu'il juge "dogmatique". Pierre Laguilhon, son ancien suppléant, lui aussi contacté, le met en garde : "Attention, les gens de la circonscription, ce ne sont pas des Parisiens"

Paris penche pour Hollande

Jeudi matin, au premier étage du 133, rue de l'Université, les membres du comité stratégique de la campagne présidentielle sont autour de la table.

Pierre Bernard-Reymond, Sénateur des Hautes-Pyrénées, un chiraquien qui a opté pour Bayrou, est le premier à prendre la parole. La "dérive" de Nicolas Sarkozy vers les idées du Front national lui est insupportable. Il annonce son choix de voter pour François Hollande. Ils sont plusieurs à faire de même : le député de la Dordogne, Daniel Garrigue, lui aussi un ancien de l'UMP. Sans surprise, l'ancien Vert Jean-Luc Benhamias plaide pour un vote en faveur de Hollande, tout comme Robert Rochefort. Ainsi s'esquisse un large assentiment en faveur du candidat socialiste. "C'était impressionnant à voir", témoigne un participant. Très peu, trois ou quatre, argumentent en faveur de la liberté de vote.

L'appel à voter blanc, lancé la veille au soir par Marine Le Pen, pèse aussi sur les débats. Est-il concevable que les centristes fassent le même choix que la présidente du Front national ? François Bayrou est confronté à deux sensibilités. Son entourage parisien est soucieux d'afficher une rupture avec la Sarkozie et le Front national. Sur le terrain, dans le fin fond des circonscriptions, ses amis, le plus souvent élus avec des voix venant de l'UMP, le mettent en garde contre le séisme que provoquera le choix en faveur de François Hollande.

La question taraude les esprits quand, en début d'après-midi, se réunit dans l'amphithéâtre du rez-de-chaussée le conseil national du MoDem. Cette instance comprend quelque 250 membres : tous ne sont pas là. Le choix a été fait de laisser parler les militants. Là aussi, les partisans du vote Hollande marquent des points. Robert Rochefort, Marielle de Sarnez pèsent en faveur d'une déclaration dans laquelle François Bayrou dira "qu'à titre personnel" il vote pour le député de Corrèze.

Lassalle se désolidarise

Il est plus de 17 h 30. Jean Lassalle se jette à l'eau. Il invoque son amitié indéfectible pour François Bayrou. Mais il ne passe rien sous silence de son désaccord. "C'était à la fois très émouvant et très impressionnant", glisse un témoin. "Si tu as changé d'avis, lance-t-il, je serai obligé de me désolidariser de ce vote personnel, car je ne le ressens pas du tout. C'est une affaire qui ne fera pas avancer notre cause".

François Bayrou a laissé parler chacun. Il se retrouve seul face à un choix cornélien. Il monte dans son bureau. Et se met à écrire. À 19 h 15, il fait face à une forêt de micros et de caméras. Il dévoile son choix personnel. Dans le fond des circonscriptions, une bonne partie de ses électeurs le reçoit comme un coup de poing à l'estomac.


(NDLR : ainsi s'est tournée une page du MoDem et du destin de François Bayrou. Cette page-là appartient à l'Histoire)

03 juin 2012

Henri FRANCÈS, Candidat sur la 5° du GARD, présente son clip

Henri FRANCÈS, Candidat MoDem sous l'égide du "Centre pour la France", sur la 5° Circonscription du GARD, avec Catherine DAUPAS, sa suppléante, présente son clip de campagne.

27 mai 2012

BESOIN DE VOUS

Mouvement Démocrate,Bayrou,PolitiqueIl ne reste déjà plus qu'une grosse semaine de "non-campagne" de fait, cette campagne étant en effet coincée entre ponts successifs et fêtes locales (feria de Nîmes, notamment, durant 6 jours continus !).

J'ai besoin de vous pour être cependant bien présent sur le terrain de la 6° circonscription, comme sur le terrain d'Internet.

Je vous propose de nous retrouver Mardi 29 MAI, à 18h30, à l'Ever'In pour une analyse du travail fait et de celui qui reste à faire.

Je sais pouvoir compter sur vous.

Amicalement.

Philippe BERTA

24 mai 2012

Le MoDem du GARD aux LÉGISLATIVES

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18 mai 2012

Philippe BERTA candidat sur 6ème du GARD

 

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Philippe BERTA, Président du Mouvement Démocrate du GARD, avec Joëlle PELLISSIER (ex-Conseillère Générale du GARD) comme suppléante, se présente sous l'étiquette "LE CENTRE POUR LA FRANCE" sur la 6ème Circonscription du GARD.

14 candidats sont en compétition.

10 mai 2012

LE CENTRE POUR LA FRANCE

 

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Des femmes et des hommes non pas d'un camp,

mais d'un pays et d'un peuple

 

 L’élection présidentielle a livré son verdict. François Hollande a été élu, et Nicolas Sarkozy a organisé la transition comme elle devait l’être. Les Français ont apprécié ce moment républicain, ce qui prouve qu’il y a dans notre pays aujourd’hui un grand besoin d’apaisement.

J'ai pris mes responsabilités....

Dans cette élection, j’ai pris mes responsabilités. Pour moi, la vie, cela consiste à prendre ses responsabilités. Je l’ai fait, est-il besoin de le dire, sans aucune idée d’intérêt, sans aucune sorte de marchandage. On me dit : "vous avez pris des risques ! On va vous le faire payer et vous désigner comme cible". Je l’accepte. J’assume cela. J’ai pris cette décision, parce que je considérais que l’essentiel se trouvait en jeu, qu’au bout du compte, malgré mes réserves sur bien des points, l’alternance offrirait une chance nouvelle au pays.

Et notre marque de fabrique, à nous, c’est que nous ne faisons pas de la politique comme un marchandage : nous faisons de la politique comme un engagement. Et nous pensons que le courage est nécessaire à l’engagement. Or l’engagement, et le courage, c’est précisément ce qu’il faut à la France. Pas le sectarisme. Car la période que nous allons vivre va être la plus rude, la plus exigeante, que la France ait traversée depuis longtemps.

La crise vient plus vite, plus dure....

Je veux vous dire solennellement ceci : la crise vient, plus vite et plus dure qu’on ne l’imaginait ! L’étincelle part de Grèce, mais c’est dans les États endettés de la zone euro, et au premier chef chez nous en France, que l’incendie risque de s’allumer.

Voilà la dure réalité. Cette crise est celle des États surendettés de la zone euro. En finançant à crédit leur train de vie, en dépensant pour le courant et pas assez pour l’investissement, ces pays, et le nôtre, se sont placés dans une situation invivable. La crise qui vient sera la plus rude de celles que notre pays aura traversées depuis la guerre, parce que cette crise risque de menacer d’abord notre modèle social et de services publics.

J’espère que des démarches de croissance seront acceptées par les autorités de l’Union européenne. Mais c’est à l’horizon de plusieurs années. Et elles ne seront acceptées que si, en même temps, les pays cessent de s’endetter, et cela c’est à court terme. Et comme dans toute crise, ce sont les catégories les plus fragiles qui risquent d’être les premières atteintes. Il est très important que les gouvernants aient cela à l’esprit.

Il n'y aura pas de répit....

Et cela a deux conséquences. Il n’y aura pas de répit. Il y aura peut-être un court état de grâce politique, mais pas d’état de grâce économique et social. Et deuxième conséquence : on ne sortira pas de cette crise par les solutions politiques classiques !

François Hollande a un atout : il n’est pas ressenti comme un homme d’affrontements. Je crois, pour ma part, que c’est authentique, il est nouveau, il a un certain crédit dans l’appareil d’État. Surtout, il a obtenu le soutien des catégories populaires les plus fragiles. Mais son programme économique devra être repris en profondeur, à la mesure de la crise, et ce sera un rude exercice de vérité, d’abord dans sa majorité.

S’il trouve en face de lui une opposition agressive et systématique, qui fera feu de tout bois, a fortiori une cohabitation de blocage, il n’existe aucune chance que le pays puisse se redresser. Je suis persuadé que les Français ne veulent pas d’une opposition frontale et systématique pour la période qui s’ouvre. Ils ont envie de gens, même différents, mais réunis qui fassent avancer les choses. C’est dans cette volonté que nous nous inscrivons. Il faut au Parlement un courant politique nouveau qui soit à la fois indépendant et positif. Il faut un courant politique qui dise non à la participation complaisante, non à l’opposition de principe, et oui à l’esprit de responsabilité et d’unité nationale.

Il faut un courant politique qui ne cherche pas l’échec des gouvernants, mais le succès de la France dans les immenses difficultés qu’elle va rencontrer. Des gens qui ne s’en laissent pas compter, qui ne se laissent pas influencer par les intérêts partisans. Et cette force ne peut être qu’au Centre.

Je dis au centre....

Pour la première fois, un vrai centre peut exister. Jusqu’à maintenant, le centre ne se concevait qu’à droite. Jamais, depuis des années, il n’avait pu faire la preuve d’une vraie indépendance, d’une vraie liberté de décision, fondée non pas sur des arrière-pensées, mais sur le plus profond de son engagement.

Or pour qu’un vrai centre existe, il faut qu’il réunisse des femmes et des hommes qui assument leur diversité et ne soient pas toujours du même côté de cette barrière imaginaire qui séparerait les Français.

J’ai beaucoup d’amis qui ont voté Sarkozy et appelé à voter pour lui. Je considère qu’ils en avaient le droit. J’ai des amis qui ont voté blanc. Je considère qu’ils en avaient le droit. Beaucoup d’entre nous aussi ont voté Hollande et moi avec eux.

Ils n’ont pas à être accusés de leur vote. Ils en avaient le droit élémentaire comme citoyens. Aucun contrat, aucune dépendance ne doit empêcher un citoyen d’émettre le vote qu’il considère juste.

Et c’est en acceptant cette diversité, en réunissant ceux qui ont fait des choix de deuxième tour différents, et heureusement, que nous créerons le pôle central libre dont la France a besoin. C’est un grand changement.

La création d'une force centrale....

La création d’une force centrale et libre dans la vie politique française, là est la seule nouveauté, et le seul changement possible. Et cette force centrale qui accepte et veut voir réunies les sensibilités différentes du centre, ceux qui ont voté d’un côté et ceux qui ont voté de l’autre, un pôle qui non seulement accepte la diversité mais la souhaite, c’est la garantie que pour la première fois, un courant refusera le sectarisme, les réflexes de clan, tout pour ou tout contre, toujours pour ou toujours contre !

Au travers des candidats de cette force centrale, pourront s’exprimer tous ceux qui éprouvent un malaise devant la volonté de monopole de l’UMP et du PS. Et je les ai rencontrés, les gaullistes, les sociaux démocrates, les sensibilités sociales de la droite républicaine, les écologistes réalistes. Tous ceux qui n’aiment pas que triomphent les seules logiques d’appareil. Tous ceux qui en ont marre des sectaires d’un bord ou de l’autre.

Quand les décisions seront bonnes et courageuses, le pôle central soutiendra les orientations du gouvernement. Quand elles seront risquées, il le dira clairement. En toutes circonstances, il cherchera à influencer les décisions prises dans le sens du courage, du réalisme, et de l’attention à porter à la vie quotidienne. Il défendra une vision pour le pays, autant que le souci de la vie de tous les jours. Il sera humaniste, pas seulement dans les mots, mais dans les actes. Devant la crise, il défendra l’intérêt national et donc l’unité nationale.

"Le Centre pour la France"

Les candidats de ce pôle central qui auront signé une charte d’engagement se présenteront sous l’étiquette : "Le Centre pour la France".

Ces candidats auront un mot d’ordre : "Nous voulons être utiles à la France, pour qu’elle échappe à ses divisions". Ils ne seront pas les hommes et les femmes d’un camp, mais les hommes et les femmes d’un pays et d’un peuple.

François BAYROU

24 avril 2012

LETTRE de Philippe BERTA

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Chers amis,

Ce que nous savons être juste n’a pas gagné ce week-end.

Oui, il est difficile dans une période de crise morale, de crise socio-économique, de crise culturelle voire intellectuelle, de faire triompher les mots rigueur, travail, solidarité, lutte contre les déficits, morale politique, éducation, production...

Nous le savions. Mais nous savons aussi que le bipartisme qui oppose les Français les uns contre les autres, et qui a aussi pour objet d’assurer les émoluments de tel ou tel politique, même si vainqueur aujourd’hui, il ne pourra plus tenir très longtemps : il est soumis à la double pression de la dureté des temps et à celle des mouvements extrémistes qui font leur lit de la désespérance et de la colère de nos concitoyens.

Notre mouvement est jeune : 5 ans. S’il ne comporte pratiquement pas d'élus, il réussit pourtant, à son 1er coup d'essai pour les présidentielles, à asseoir un socle proche des 10%, tout en souffrant du fameux "vote utile" parfaitement servi dès l’origine par les médias.

Ceci confirme donc qu'il y a réellement une existence et une place pour un parti centriste, un parti central dans l’échiquier politique français.

Nous avons ouvert la voie : nous pouvons en être fiers. François Bayrou nous a guidés et nous allons continuer cette route en rassemblant des acteurs qui, comme nous, viennent d’horizons politiques variés. Cette diversité là, c’est une richesse qui constituera la force d’avenir dont notre pays a tant besoin.

Notre département du Gard, déjà marqué par un taux de chômage record, un niveau de revenus des plus bas, un niveau de formation insuffisant, une insécurité forte, par son absence d’attractivité, a aujourd’hui, de surcroit, le déshonneur d’être le seul à avoir porté le Front National en première position. Belle image pour d’éventuels investisseurs ou de potentiels touristes ! Le seul front acceptable aujourd’hui est bien un front démocrate qui sera vite le seul apte à défendre jusqu’à des fondamentaux que nous pensions un peu vite définitivement acquis, tels la paix et la liberté. Il doit se composer autour de valeurs communes sans compromis aucun et sans se limiter à l’addition d’existants, à la reconduite d’acteurs du passé. L’enjeu est désormais crucial et les politiques qui le composeront se devront d’être exemplaires. Nous savons que nous pouvons faire confiance à François Bayrou pour en dessiner les contours.

Comme vous l’avez certainement entendu, dans les jours à venir, François Bayrou, dont la majorité des observateurs avisés de la vie politique ont su reconnaître les qualités de la vision et du projet, présentera le socle des thèmes qu’il considère fondamentaux aux deux candidats qualifiés au second tour. Il en écoutera les réponses et nous témoignera par la suite de son choix. Je serai respectueux de ce choix.

Mais comment ne pas revenir sur cette campagne, soit au démarrage bien difficile, mais pour laquelle malgré nos faibles moyens, nous avons su répondre présents, sur le terrain, dans les meetings ou encore dans les bureaux de vote.

Vous avez été, les uns les autres, en fonction de vos possibilités, de vos disponibilités, de merveilleux acteurs, nous laissant encore de grands souvenirs. Vous avez encore su donner un sens au mot "engagement", et je sais, nous savons, compter sur vous pour les combats futurs.

Merci, merci à vous tous. Merci pour votre sincérité que je suis sûr, peu de mouvements politiques ont la chance de connaître. Nous savons qu’installer une force politique nouvelle et innovante n’est point chose facile, mais nous savons qu’au regard de l’enjeu, nous ne renoncerons pas.

Très amicalement.

Philippe BERTA
Président du Mouvement Démocrate du GARD

22 avril 2012

RÉSULTAT des ÉLECTIONS du 22 Avril (1er tour Présidentielles)

RÉSULTAT des ÉLECTIONS du 22 AVRIL - 1er tour des Présidentielles :

(Chiffres publiés par le Ministère de l'Intérieur à 22 heures)

François Hollande : 27,90%
Nicolas Sarkozy : 26,68%
Marine Le Pen : 19,30% des voix
Jean-Luc Mélenchon : 10,84%
François Bayrou : 9,19%
Eva Joly : 2,11%
Nicolas Dupont-Aignan : 1,88%
Philippe Poutou : 1,24%
Nathalie Arthaud : 0,62%
Jacques Cheminade : 0,25%