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20 avril 2012

JE VOTERAI pour François BAYROU

TRIBUNE LIBRE

Chers ami(e)s,

Dimanche prochain je voterai pour François Bayrou. Voici quelques mots pour vous convaincre de faire comme moi.

Je crois qu'il faut donner nos voix à François Bayrou car c'est le seul qui, loin du populisme ambiant, a des jugements équilibrés en phase avec la réalité. Je pense qu'il est temps de donner de la voix à celui qui nous dit la vérité depuis des années. Je suis convaincu qu'il est temps de mettre à la tête de l'Etat celui qui ose dire que chacun devra retrousser ses manches pour que la France retrouve les couleurs qu'elle n'aurait jamais dû perdre. Il faut aligner dans les urnes la confiance que les Français disent faire à François Bayrou. En tous cas, il ne faut surtout pas céder aux sirènes des démagogues.

Pourquoi notre situation économique est-elle déplorable alors que l'Europe du Nord traverse si bien la crise ? C'est l'UMP et le PS qui nous ont mis dans cette situation. Aucun des deux partis n'a jamais voulu voir la vérité en face, la dire aux Français, réformer quand il en était temps. Depuis des décennies, ils ont emprunté sans arrêt pour pouvoir nous tenir en dehors des réalités. Et pourtant ces deux-là nous font encore miroiter des promesses qu'ils savent ne pas pouvoir tenir.

Pour François Bayrou, les efforts de redressement doivent être portés par tous (à commencer par la classe politique). Il ne laisse pas croire que seuls ceux de l'autre camp auront à faire les frais de la crise. Taxer les riches ne suffira pas à redresser l'économie ; et il n'y a plus moyen d'augmenter les effectifs de la fonction publique. Dire le contraire comme Hollande est mensonge.  A contrario, les finances de l'Etat ne peuvent s'équilibrer par une simple réduction du nombre des fonctionnaires. Il est irresponsable de laisser croire le contraire comme le fait Sarkozy.

Hollande ne pourra pas réformer en profondeur ; ses alliés l'en empêcheront. Et s'il décide d'agir contre leur avis, la droite s'y opposera par principe. Sarkozy a montré qu'il mène des réformes sans dialogue ni écoute, puis s'arrête au milieu du gué quand la pression de la rue devient trop forte. Par exemple : la réforme des retraites, qui maintient les régimes spéciaux et n'a pas permis une équité entre les emplois publics et privés.

La solution est entre les deux. Pour avancer, il faut une union nationale autour de valeurs communes. François Bayrou supprimera la ligne de fracture entre les électeurs, qui sont obligés jusqu'à présent de choisir entre un bloc de gauche et un bloc de droite. Il y aura désormais le bloc des démocrates. Les extrêmes perdront une partie de leur influence, alors qu'ils font l'arbitrage électoral aujourd'hui, et que chacun des grands partis s'ingénie à les séduire avec des compromis contre nature.

Je voterai donc pour François Bayrou parce qu'il saura fédérer les Français autour d'un grand projet commun en portant les couleurs qui font notre pays : l'égalité des citoyens, la priorité à l'éducation, un pays innovant, un Etat droit, un rayonnement culturel, l'appartenance à une Europe porteuse de valeurs démocratiques, le maintien des services publics - une société solidaire bâtie sur une économie au service de l'homme.

Simon SUBTIL (Uzès)

RENVOYONS-LES CHEZ EUX !

Plus de 60% des français sont mécontents du choix Hollande - Sarkozy que leur imposent les médias et les milieux financiers qui les possèdent :

LES FRANÇAIS ONT RAISON !

À moins de 48 heures du vote, ils sont encore près de 40 % à hésiter :

ON LES COMPREND !

Quand l'un dit que la crise est derrière nous….

….quand l'autre dit qu'on peut dépenser à tout va :


ILS NOUS MENTENT TOUS LES DEUX !

RENVOYONS-LES CHEZ EUX !

14 avril 2012

La VISITE de François BAYROU à NÎMES

mouvement démocrate,bayrou,politiqueFrançois BAYROU, vous l'avez appris par la presse, a passé quelques heures à NÎMES, le Mercredi 11 Avril, pour rencontrer des acteurs de la vie civile touchant au monde de l'entreprise, des quartiers, de la formation et de l'apprentissage, ceci dans le cadre de la préparation d'une prise de position sur l'emploi qu'il devait rendre publique dès le lendemain lors d'une conférence de presse à PARIS.

Quelques-uns ne nous ont pas caché qu'ils auraient souhaité pouvoir approcher, ne serait-ce que brièvement, notre candidat lors de cette visite.

Nous comprenons parfaitement leur sentiment. Mais les impératifs de la campagne - qui voulaient essentiellement consacrer ces quelques heures à cette seule thématique - ont empêché cette rencontre avec nos adhérents et sympathisants comme nous l'espérions nous-mêmes.

Le Président BERTA a fait paraître, dès la fin de cette visite, un communiqué à ce propos où il expose les nombreux aléas rencontrés lors de la préparation de cette visite et il nous dit comme les choses n'ont pas été simples.

Voici le message de Philippe BERTA, Président du Mouvement Démocrate du GARD :

Chers adhérent(e)s, cher(e)s soutiens, cher(e)s ami(e)s,

Vous avez probablement appris la venue de notre Président, François BAYROU, ce mercredi 11 avril par la presse et ceci mérite pour le moins un point d’explication.

Contacté (moi-même) il y a longue date, il fut longtemps question d’un meeting à NÎMES. Mais la perspective d’un meeting marseillais a fini par avoir raison de cette proposition.

Nous avons alors travaillé selon différents axes pour une visite thématique (viticulture, tourisme, quartiers etc.). Les thèmes, les uns après les autres qui pouvaient convenir, ne convenaient plus ; puis la visite elle-même est devenue matière à débat.

Ce n’est que la semaine dernière que la visite devait commencer à se confirmer. Il nous a été demandé, par souci de "timing" et "d’efficacité", de ne pas intégrer une rencontre militante, alors que nous avions au préalable programmé un petit déjeuner à l’Ever’In avec vous, puis, en dépit de cause, un accueil à l’aéroport. Rien n’a été négociable et je (nous) en sommes (tous) totalement désolés (voire au-delà !).

Le thème final, la composition même de la journée ont été adoptés le 10 au soir, après que nous ayons résisté à une tentative ultime de changement qui devenait techniquement impossible.

C’est à ce moment que l’intégration, dans une visite de 3 heures au total, du tournage du prochain clip de campagne a été exigée et dans un premier temps à.... Salins de Giraud !

Nous avons résisté à cette demande irréaliste en termes de durée de déplacement, pour imposer un tournage aux Bois des Espeisses à Nîmes, à 10 minutes du point de réunion que nous voulions à tout prix sauver en raison, entre autres, du travail réalisé par les équipes de l’Institut VATEL.

Nous avons pris la liberté d’intégrer nos responsables de Circonscription et quelques cadres du Mouvement, ainsi que quelques membres d’associations du Quartier Valdegour qui travaillaient avec certains d’entre vous, et cela depuis quinze jours à cette venue.

Le résultat semble avoir convenu, les retours presse sont conséquents et c’était là l’objectif. Notre secrétaire national, Marc FESNEAU, nous a félicités hier soir et (il) tient à vous présenter ses excuses, n’ayant pas eu le choix lui-même.

Je vous ai résumé une longue histoire de dizaines et de dizaines de coups de fil….

En quelques mots, je reste à votre disposition pour de légitimes questions complémentaires.

Il nous faut regarder désormais devant nous dans cette dernière ligne droite, et ceci sans état d’âme.

Je sais compter sur vous. François BAYROU sait compter sur vous. Il nous faut quadriller le terrain (affichage, tractage) et nous retrouver le plus nombreux possible au meeting de MARSEILLE ce dimanche, point fort de la campagne.

Je sais compter sur votre compréhension, et vous pouvez compter sur mon amitié.

Philippe BERTA

04 avril 2012

RÉUNION de la SECTION d'ALÈS-CÉVENNES du MoDem du GARD

Dans le cadre de la campagne de François BAYROU, la Section MoDem du Grand Alès et Cévennes organise en relation avec la fédération du MoDem du Gard une réunion publique destinée à présenter les grandes lignes de son programme, de répondre aux questions qu'il soulève et  de préciser les solutions proposées  pour notre pays.

Cette réunion aura lieu le MARDI 10 AVRIL 2012 à partir de 18h30 en présence de Philippe BERTA, Président de la Fédération du MoDem du Gard.

Lieu : Café GAMBRINUS, Place Gabriel Péri à ALÈS

Informations : Votre Contact  06 49 87 91 38

03 avril 2012

PROJET DE LOI DE MORALISATION DE LA VIE PUBLIQUE

François BAYROU propose aux français de fixer par référendum, dès le 10 JUIN, un certain nombre de règles moralisant la vie publique, règles simples mais fortes dont certaines sont en projet depuis des décennies mais qu'aucun pouvoir n'a jamais décidé qu'elles fussent adoptées tant elles bousculent le confort de certains de nos élus.

Voici, dans le lien ci-dessous, le texte qui sera proposé aux français le 10 Juin prochain pour mise en application immédiate.

Moralisation-FINAL.pdf

29 mars 2012

POURQUOI BAYROU NE SERA PAS le 1er MINISTRE de SARKOZY

TRIBUNE LIBRE

On entend, en ces temps d'incertitudes, des choses fort curieuses. Telle cette affirmation très hasardeuse - alors que nous ne sommes qu'en début de campagne - que "François Bayrou s'allierait finalement à Sarkozy", et même d'avancer qu'il pourrait être son Premier Ministre !

Mais quels points communs y a-t-il entre le projet politique de François Bayrou et celui (toujours autant imprécis) de Mr Sarkozy ? Une seule chose est certaine : il n'y a aucune convergence entre les deux hommes.

À moins que Mr Sarkozy, s'il était réélu, s'enferme dans son palais pendant 5 ans, cesse de prétendre vouloir gouverner et n'en sorte que pour "inaugurer les chrysanthèmes".

Mais ceci n'est pas conforme à l'esprit des institutions et ne sera pas. Et ce serait la fin du centre tel qu'il doit être et rester, c'est-à-dire indépendant.

(Et c'est tout aussi vrai pour l'hypothèse où François Hollande....)

> Voir l'excellent article du NouvelObs du 29/3/2012

François VAN DE VILLE

Secrétaire Départemental du Mouvement Démocrate du GARD

DÉLÉGUÉS dans les Bureaux de Vote du GARD

mouvement démocrate,bayrou,politiqueFrançois VAN DE VILLE, représentant départemental de François BAYROU, a procédé à la désignation de délégués et  d'assesseurs dans tous les bureaux de vote de 93 communes du GARD.

TOUT CE QUI SERA CHANGÉ D'ICI 6 MOIS avec François BAYROU

D'ICI 6 MOIS....

Un calendrier et un programme qui change tout !

15 mars 2012

LA FRANCE SOLIDAIRE par François BAYROU

François BAYROU a présenté à la presse, ce Mercredi 14 Mars, son programme électoral intitulé "LA FRANCE SOLIDAIRE".

Vous trouverez ICI ce document dont il importe que chaque citoyen prenne connaissance.

Nous comptons sur vous tous pour le diffuser et le faire connaitre.

13 mars 2012

LA SUPERCHERIE de l'IFOP

L’Observatoire des sondages attendait le push poll qui, pour sauver la mise de Nicolas Sarkozy, le ferait passer en tête des intentions de vote au premier tour de l’élection présidentielle. Les signes n’avaient pas manqué avec des présentations tronquées qui le montraient se rapprochant, en gardant un silence pudique sur un deuxième tour où il était battu (cf. Nicolas Sarkozy et François Hollande à égalité : une manipulation avouée). Exactement comme si les sondeurs n’avaient pas posé de question sur ce deuxième tour. Le push poll vient d’arriver (Ifop-Fiducial-Europe 1-Paris-Match-Public Sénat, 12 mars 2012). Le mardi 13 mars 2012, toute la presse française titre sur le sondage qui annonce que Nicolas Sarkozy est passé devant François Hollande. Effet d’annonce réussi. Commencé dès le jour du meeting de Villepinte, un sondage Ifop donne respectivement 28,5 % à Nicolas Sarkozy et 28 % à François Hollande. Il faudrait une sacrée mauvaise foi pour relever la coïncidence entre ce résultat et le meeting. L’opération était évidemment programmée. Le commentateur de l’Ifop peut parler « d’effet Villepinte » (Frédéric Dabi), en dépit de toute norme d’analyse pour un sondage effectué le jour même et sachant que des événements ne produisent pas d’effets instantanément.

Personne n’a relevé non plus que l’auteur du push poll n’était autre que l’Ifop, devenu, après l’Opiniongate et les problèmes d’Opinionway, trop « repéré », le fournisseur patenté de l’Elysée. On se gardera d’oublier que sa propriétaire Laurence Parisot est présidente du Medef. Que les sondages soient devenus le principal moyen des coups bas de campagne électorale, on ne l’apprend pas aujourd’hui même si cette campagne dépasse largement les précédentes. Si on se demandait benoîtement pourquoi l’Elysée s’est obstinément opposé à la réforme des sondages, on a la réponse. On aurait cependant aimé plus de vigilance méthodologique de la presse française. Il est vrai qu’un peu de suspense est si bon. Qui a été sensible à la fiche technique du sondage ? Or, le sondage a été effectué par téléphone et en ligne les 11 et 12 mars 2012 [1]. Cette méthode mixte est un bricolage qui se prête à toutes les manipulations. Sous le sceau du « secret industriel » d’un sondeur qui fait silence sur ses procédés, il s’agit donc de mêler sondés questionnés par téléphone et internautes volontaires. La mention de la méthode des quotas sur un échantillon spontané est une supercherie. Quelle est la composition sociale et politique du panel de l’Ifop ? Quelle était la rémunération des internautes ? Peu importe ici les chiffres. Qu’en dire d’ailleurs ? Aucun spécialiste sérieux ne succomberait au piège qui consisterait à les prendre au sérieux. Il s’agit ici de relever seulement les procédés déloyaux qui s’immiscent dans la lutte politique. Si on doutait que les sondages dévoyaient la démocratie, on n’a aujourd’hui que l’embarras du choix des évidences.