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12 mars 2021

L'INTERVIEW CHOC de Philippe BERTA

Émission du 11 Mars 2021 sur "Objectif Gard" où le Député MoDem du Gard se livre sur son analyse de la situation à Nîmes et dans le Gard, comme celle nationale.

Le lien pour la suivre :

https://www2.objectifgard.com/2021/03/11/direct-video-bonsoir-le-gard-avec-philippe-berta-le-depute-modem-du-gard/

02 mars 2021

NÎMES & LE TORO-BALLON-BÊTON

TRIBUNE LIBRE

de Philippe BERTA, Député du Gard

berta.jpg- Dans un récent communiqué, le Député Modem du Gard, Philippe BERTA, regrette que la ville de Nîmes soit au centre de l'actualité nationale pour des aspects négatifs

"Sans me prononcer sur le fond de l’affaire en cours qu’il ne m’appartient pas de commenter, je ne peux que regretter qu’une nouvelle fois notre ville de Nîmes ait une image négative face à tout le reste de la France. On ne parle de Nîmes que pour des affaires politico-immobilières scandaleuses ou pour des actes de violence qui marquent la faillite de la municipalité à intégrer ses quartiers. C’est désastreux."

Et Philippe Berta de poursuivre : "Que ces opérations soient légales ou pas, si nos édiles portaient moins d’attention aux projets immobiliers et au béton – le fameux "embellissement"et un peu plus au développement économique et à la cohésion sociale, à la création de centres de création de richesses et non de dépenses, nous en sortirions tous grandis".

"Que dire encore de ces élus locaux qui ont fait dériver le mandat en métier et qui, pour certains, n'ont même jamais travaillé, ni montré leurs capacités sur le terrain de la vraie vie".

"Le "toro-ballon-béton" populiste qui nous est vendu de façon permanente nous montre ses limites et nous entraine vers la misère et la violence".

"Quel désastre !"

23 février 2021

ISLAMO-GAUCHISME : la polémique

TRIBUNE LIBRE

de Jean-Michel BRETONNIER

et François VAN DE VILLE

politique,faits de société- Au-delà du sujet lui-même, particulièrement mal posé tel qu'on le présente actuellement, il reste que nous avons le droit de savoir quel type de société prépare les enseignements universitaires.

Pourtant, ce n’est pas parce qu’une polémique est mal emmanchée - ce qui est souvent le cas - qu’elle ne révèle pas l’existence d’un sujet digne d’intérêt. Il existe bien une convergence, dans notre société (donc aussi à l’université !) entre des idéologies de gauche radicale et certains courants de pensée islamistes. D’où la notion d’islamo-gauchisme.

Au-delà de ce phénomène se développent, dans les cours et les colloques universitaires, de nombreuses études autour du genre, de la "race" et/ou des classes sociales. Les sujets méritent donc qu’on s’y penche, évidemment. Le tout étant de savoir comment et dans quel but.

C’est ce que proposent un certain nombre d’universitaires dans une tribune adressée au journal "Le Monde" : ils demandent que le Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES) apprécie la qualité des productions universitaires. Il se trouve aussi qu’une partie de cette offre, en s’exonérant des disciplines d’enseignement éprouvées et en se raccrochant au genre des "studies" (d’origine américaine) s’expose aux marottes, aux outrances, voire aux ridicules d’un militantisme à prétention scientifique.

L’étude de cet organisme aurait également l’immense intérêt de mesurer l’étendue des dégâts. Entre ceux qui nient tout problème – soit qu’ils en sont partie prenante, soit qu’ils ont un intérêt politique à le faire – et ceux qui considèrent que l’université est tout entière gangrenée par le phénomène, il serait bon d’en connaître l’ampleur.

Les universitaires doivent, bien sûr, rester libres de choisir leurs travaux de recherche. Mais nous avons tous le droit de savoir quel avenir ils nous préparent : les idées façonnent la société.

Savoir, par exemple, si l’université devient, ou non, le théâtre d’une lutte acharnée entre tenants d’un universalisme politique et moral et/ou tenants d’un communautarisme militant.

Le débat ne fait que commencer. Mais, trop grave en soi, il ne mérite pas l'indifférence.

22 février 2021

PLACE AUX FEMMES

 

politique,mouvement démocrate

14 janvier 2021

MARIELLE de SARNEZ n'est plus

Sarnez 1.jpg- Marielle Lebel de Sarnez, ex-Députée Européenne (1999-2017), ex-Ministre des Affaires Européennes (2017), ex-Conseillère de Paris (2001-2010 & 2014-2020), Députée de Paris (2017-2021), Présidente de la Commission des Affaires Étrangères (2017-2021), est décédée ce 13 Janvier 2021 à l'âge de 69 ans face à une leucémie foudroyante.

Soutien de la candidature de Valéry Giscard d'Estaing (1974), membre du Parti Républicain, co-fondatrice de l'UDF (1978) puis sa Vice-Présidente, co-fondatrice du Mouvement Démocrate (MoDem) puis sa 1ère Vice-Présidente, soutien de la candidature d'Alain Juppé (2016), Marielle de Sarnez est toujours restée, au travers de ses différents mandats, la plus proche collaboratrice de François Bayrou.

Sarnez-VGE.jpgFemme de grande conviction, européenne ardente, parfois quelque peu rude dans ses expressions, elle a toujours exercé par son intelligence une grande influence dans les grandes décisions européennes, y compris celles aussi de François Bayrou, n'hésitant pas, parfois, jusqu'à s'opposer à lui pour le convaincre - in fine - dans ses choix ou expressions publiques définitives.

Sa disparition est une très grande perte pour nous tous et la famille centriste en général.

Le Mouvement Démocrate s'incline avec respect devant cette brutale disparition, laquelle suit, hélas, de très peu celle du Président Valéry Giscard d'Estaing, inspirateur initial de notre famille politique dont elle a été l'une de ses chevilles ouvrières.

Nous présentons nos condoléances à sa famille et à ses proches collaborateurs.

10 janvier 2021

DONALD TRUMP ET LA DÉMOCRATIE

TRIBUNE LIBRE

de Jean-Michel BRETONNIER

et François VAN DE VILLE

demo.jpg- En trustant autant de tares morales et d’insuffisances, Donald Trump aura quand même eu le mérite de réhabiliter le rôle de l’incarnation en politique.

Le "trumpisme" n’aurait guère été possible sans la vague de démagogie, de nationalisme et d’autoritarisme qui balaie le monde, ni davantage sans la radicalisation politique et religieuse en cours aux États-Unis. Mais tout ceci n’existerait pas sans Donald Trump.

Cette évidence doit être rappelée quand certains refusent l’approche psychologique de la catastrophe électorale de 2016. Car l'élection de Trump en 2016 fut bien une catastrophe. Comme si la politique n’était que la seule résultante de forces économiques et sociales. Comme si son incarnation ne comptait pas. Comme si nous étions prêts à nous laisser gouverner par une super intelligence artificielle.

La moitié des électeurs américains avaient en effet, après le Président Barack Obama, porté à leur tête cet homme-là, et pas un autre. Doté d’une personnalité foncièrement perverse, la plupart de ses décisions ne pouvaient être que nuisibles. Et elles le furent à chaque rendez-vous qui ont suivi.

En reprochant aujourd'hui à ses soutiens "d’avoir sali la démocratie" immédiatement après les avoir exhortés quelques heures auparavant à marcher sur le Capitole, Donald Trump affichait aussi son total cynisme comme sa lâcheté. Mais tant le candidat que le président avaient, en quelques années, exposé l’étendue de ses tares morales et dévoilé ses limites intellectuelles.

Cynique et lâche, mais aussi menteur, manipulateur, narcissique, mégalomane, paranoïaque, impulsif, raciste, xénophobe, misogyne, inculte, inconséquent, brutal, vénal, vaniteux, puéril, paresseux, démagogue, despotique, séditieux, indécent…

Alors pourquoi donc 74 millions d’Américains ont-ils pu voter, hier, pour un pareil épouvantail ? La question mérite d'être posée.

Peut-être - qui sait ? - par un dégagisme radical jusqu’à l’absurde.

La démocratie représentative étant fondée sur le choix, pour la guider, du meilleur parmi l’élite, les citoyens qui la considèrent en échec et qui rejettent aujourd'hui "le système" cherchent apparemment, tout au contraire, à élire celui que les élites détestent le plus.

Même si c’est le pire.

Mais ceci a un prix, et c'est la démocratie elle-même qui devra payer. Et pas seulement dans les seules limites du continent d'outre-atlantique : cela nous concerne aussi, comme les valeurs que nous défendons et qui sont la base de nos démocraties. Et toute cette laborieuse construction risque, aujourd'hui, d'être ébranlée.

Nous ne pouvons donc rester indifférents.

22 décembre 2020

LE POUVOIR ET LES FRANÇAIS

politique,mouvement démocrate,faits de société- Moins les Français ont confiance dans leurs gouvernants, et plus ils se tournent indirectement vers une sorte d'État omnipotent. À moins de penser que les Français seraient génétiquement programmés pour se méfier de tout, on doit admettre que les causes sont apparemment à la fois culturelles et politiques.

En tout cas, ce phénomène est profondément ancré : en moyenne, 64 % des Allemands, autant ou presque chez les Britanniques, chez les Italiens ou les Espagnols, tous estiment que les dirigeants de leur pays ont été, pendant cette épidémie, à la hauteur des risques encourus. Mais, chez les Français, seuls 39 % de ceux-ci ont accordé le même satisfecit à leurs dirigeants. L’écart de confiance est considérable.

Si nous avons été civiques dans notre grande majorité pendant l’épreuve du confinement, il semble bien que les admonestations, les attestations ou autres sanctions aient fleuri plus généreusement chez nous que chez nos voisins. Si les Français se défient très fort de leurs dirigeants, il apparaît donc que ceux-ci le leur rendent bien. Ces gouvernants, comme les précédents dans une longue tradition, doutent du sens de l’intérêt général de leurs «concitoyens», mais aussi de leur esprit d’initiative et de leur sens des responsabilités.

La gestion de l’épidémie n’a pas été idéale en Allemagne : contrairement à ce qui a été beaucoup dit, le gouvernement allemand n’avait pas mieux anticipé cette crise que le nôtre. On a certes loué que le fédéralisme institutionnel allemand a permis de créer un nombre très élevé de lits d'hospitalisation, mais une très grande partie de ces lits n'avaient pas le nombre suffisant de soignants pour y accueillir des malades. En revanche, le pays tout entier a mieux réagi, et avec plus de souplesse et de réactivité. Le privé était naturellement encouragé à produire des tests, et non pas dissuadé, comme en France, par des textes réglementaires et des concurrences entre structures. La décentralisation allemande y a permis de déployer plus vite et mieux une politique de prévention de la contamination.

Notre jeune et moderne Président français - Emmanuel Macron - avait, au cours de sa campagne, prôné la transformation du pays : il parlait même de révolution. On s'en souvient. Mais malgré ces promesses, en termes de décentralisation de la puissance publique ou de libération des initiatives privées, ou encore de renforcement des corps intermédiaires, notre Président s'est heurté frontalement au conservatisme ambiant, héritage de nombreuses décennies de formalisme qu'il n'est toujours pas parvenu encore à briser. Y arrivera-t-il un jour ?

Je vous parlais plus haut d'État omnipotent : en voilà les preuves, politiques et culturelles.

François VAN DE VILLE

04 décembre 2020

VALÉRY GISCARD D'ESTAING

giscard.jpgUn très grand Président - Mr Valéry Giscard d'Estaing - vient de nous quitter à l'âge de 94 ans suite à une affection soudainement aggravée par le Covid-19.

Jusqu'au bout, le Président Giscard d'Estaing aura gardé une incroyable vivacité intellectuelle. Voilà plus de quatre décennies qu'il avait quitté le pouvoir après un septennat encadré par deux chocs pétroliers, chocs qui ont mis fin brutalement aux "30 glorieuses" qui avaient permis à la France de faire longuement des pas de géant dans tous les domaines, sociaux; économiques ou industriels.

Le Président Giscard d'Estaing avait été élu à la suite du décès prématuré du Président Georges Pompidou, héritier lui-même putatif de De Gaulle. Giscard d'Estaing incarnait alors une vision heureuse sur l'avenir de la France dans la  grande compétition mondiale qui s'organisait déjà.

Hélas, dès la première crise pétrolière qui bouleversait nos économies par des hausses sans précédent de nos énergies, cette vision heureuse sombrait vite dans la grisaille de cette crise inattendue.

Et pourtant, fidèle à lui-même, il a perçu l'éclosion de nos jeunes générations, leur soif d'émancipation après de longues années restées figées dans d'étroits carcans héritiers du passé. Il a voulu accompagner la mutation de notre société par des réformes : toutes ont marqué notre temps de façon définitive. Aucun de ses successeurs - c'est un fait remarquable - de Mitterrand à Hollande en passant par Chirac ou Sarkozy n'a osé revenir sur ces réformes courageuses. Un commentateur écrivait que la modernité avait été le mantra de Giscard d'Estaing.

Giscard d'Estaing avait aussi une intuition : celle de l'Europe dont la construction politique fut son grand œuvre, mais aussi son rêve inachevé par la faute de dirigeants attiédis par d'autres ambitions à courte vue qui les taraudaient.

Quand le Général De Gaulle avait surtout voulu rétablir la grandeur et l'indépendance de la France, lesquelles avaient été très affaiblies par ses luttes intestines entre droite et gauche, et aussi par la constitution délétère d'une République en total déclin, le Président Giscard d'Estaing a surtout été celui qui a voulu poursuivre l'œuvre du fondateur de la V° République, mais en l'adaptant aux réalités qui surgissaient de partout à travers le monde.

Sitôt élu, le Président Giscard d'Estaing a ouvert aussitôt aux jeunes français le droit de devenir majeur dès l'âge de 18 ans et de participer désormais aux scrutins qui fixeraient leur propre avenir.

Il se tourne aussi vers les femmes à qui il ouvre le droit, par la voix de Simone Veil, à l'IVG (Interruption Volontaire de Grossesse). Puis il ouvre le financement par l'Etat de la "pilule" contraceptive. Il ouvre aussi aux femmes le droit à l'autonomie financière, d'ouvrir leurs propres comptes en banque et de disposer désormais d'un carnet de chèques hors toute autre autorité masculine.

Il pense aussi aux familles en difficulté en instituant la séparation par consentement mutuel et éviter ainsi les longs déchirements par des divorces qui se prolongeaient sans fin.

Il crée un secrétariat au droit des femmes, totale innovation jusqu'alors inconnue.

Il accorde aux chômeurs le droit de percevoir désormais une indemnité de 90% pour atténuer leurs difficultés en recherche d'emploi. Il accorde aussi le droit à la retraite à 60 ans pour les travailleurs aux emplois pénibles.

Il accorde l'indépendance éditoriale à l'ORTF vis-à-vis du gouvernement, alors que se profile le développement des moyens de communication, notamment la télévision.

Il permet la création de lignes de TGV pour rapprocher les français et leurs régions les unes des autres, la construction de centrales électriques à énergie nucléaire pour faire de la France un pays à l'énergie non polluante.

Il autorise aussi l'ouverture de la France vers l'espace en créant la fusée Ariane.

Sur le plan international, il expose que la grandeur et l'indépendance de la France ne peuvent s'assurer dsormais que par et dans la construction de l'Europe et le rapprochement avec l'Allemagne : il lie des rapports étroits avec le Chancelier Helmut Schmidt et crée avec lui ce qu'on appellera désormais le "couple franco-allemand". Il crée les fondements d'une monnaie commune à toute l'Europe (projet "Écu" qui deviendra ensuite "Euro"). Il impose que le Parlement européen soit élu désormais au suffrage universel direct. Il crée le G5, il amorce des rencontres régulières entre dirigeants d'état pour coordonner leurs actions à l'échelle internationale, et ce G5 initial s'agrandira comme on sait.

Cette énumération pourrait prolonger plus loin encore....

Toutes ces réformes ont cependant contribué, par leur ampleur quasi révolutionnaires, à créer un déséquilibre politique difficile à maîtriser. Cependant ils les a conduites malgré les oppositions de droite comme de gauche qui se sentaient bousculées, même si souvent tentées de les applaudir, les unes comme les autres, pour des raisons opposées. Et ces dernières d'inventer ensuite de toutes pièces, comme pour bousculer ce nouvel ordre  en organisant - l'on s'en souvient - des rumeurs souvent grotesques, comme celle des "diamants de Bokassa" qui lui furent offerts (alors qu'il était encore ministre) par un dirigeant africain de passage et dont aucun ne pouvait intéresser les joaillers puisqu'ils étaient surtout destinés à un usage industriel. Mais cette "affaire" un peu rocambolesque a beaucoup assombri la fin de son quinquennat.

Pour couronner cependant son œuvre avant de la laisser à son successeur (Mitterrand), le Président Giscard d'Estaing aura été le dernier Président à quitter ses fonctions en laissant une France au budget parfaitement équilibré malgré les crises pétrolières successives traversées si longuement. Aucun dirigeant qui lui a succédé n'a eu le courage de renouveler ensuite cet exploit, tout au contraire. On sait aujourd'hui les conséquences de leurs gabegies.

Beaucoup plus tard enfin, sa passion de construite une Europe à la fois plus solidaire et indépendante l'a conduit à être choisi par les gouvernements européens pour écrire longuement une proposition de constitution européenne. Hélas, les français ont rejeté son projet au travers d'un référendum dont lui-même disait qu'il était inadapté pour ce genre de consultation et dont il pressentait l'échec. Ce fut certainement pour le Président Giscard d'Estaing une très grande déception.

Nul ne doute que l'Histoire lui rendra cependant, et longuement, l'hommage qu'il mérite pour l'œuvre accomplie.

Merci Monsieur le Président.

François VAN DE VILLE

Secrétaire Général du MoDem du Gard

20 novembre 2020

BARBARA DE VOS, Nouvelle Présidente du MoDem 30

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Barbara DE VOS

élue PRÉSIDENTE

de la Fédération du GARD

du Mouvement Démocrate (MoDem)

Elle succède au Président Patrick CHANAUD qui demeure proche d'elle au sein du nouveau Conseil Départemental, celui-ci entièrement renouvelé avec l'arrivée en son sein de nouveaux membres.

Nouvelle Présidente, nouveau Conseil Départemental, nouveaux projets, nouvelles perspectives sous la houlette de cette jeune Présidente nîmoise de 35 ans déjà très engagée au sein de notre Mouvement, tant au niveau local qu'à celui national.

Nous lui souhaitons pleine réussite dans ce nouveau mandat.

11 novembre 2020

ÉLECTIONS au MoDem du GARD

Ci-après, quelques idées forces du programme présenté par l'équipe qui se soumet à l'élection dès le 13 Novembre sous la houlette de Barbara DE VOS, candidate à notre Présidence Départementale.

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L'équipe qui se présente autour de Barbara DE VOS :

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