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17 février 2020

NÎMES EN MIEUX - "ENVIRONNEMENT" (Planche 4)

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IL LUI RESTE 27 JOURS....

Billet de  François VAN DE VILLE

élections.jpg- Pour succéder au candidat investi par "LREM" à Paris - Mr Benjamin Griveaux - empêtré par une vidéo de "caractère intime" saisie au début de 2018 et publiée contre son gré 2 ans plus tard (Dans quelle intention réelle ? Qui sait ?), Mme Agnès Buzyn, Ministre de la Santé et des Solidarités a été exfiltrée du gouvernement pour lui succéder, à 27 jours seulement du scrutin des municipales du 15 Mars prochain.

C'est un pari un peu fou, dans un délai aussi court, alors que Mme Buzin avait en charge, comme Ministre de tout premier plan du gouvernement, le dossier brûlant de la crise hospitalière, mais surtout aussi le brûlot des retraites dont l'examen à l'Assemblée Nationale débute aujourd'hui, ce lundi 17 Février. C'est une véritable décapitation au sommet du gouvernement.

C'est aussi un choix politique d'envergure exceptionnelle, sans précédant dont je me souvienne, avec quels risques certains à la clef ! Cela traduit le manque de solutions qui s'offraient tant au chef de l'état lui-même, qu'aux instances dirigeantes de "LREM".

Ce choix trahit aussi l'importance qu'on attache dans les hautes sphères à un scrutin où le tout jeune parti présidentiel, pratiquement absent jusqu'ici dans les municipalités, et dont une déroute dans la capitale serait porteuse d'un symbole fort du rejet dans l'opinion publique des choix du gouvernement dans les réformes, certes fort audacieuses, mais entreprises parfois avec une habileté assez défaillante. Et il faut observer aussi que Mr Griveaux, avant sa brutale démission, traînait déjà dans les sondages derrière Mme Hidalgo (la maire sortante de Paris), Mme Dati (la candidate resurgie des "Républicains"), et talonné de près par notre "Nobel" des mathématiciens, l'inclassable Mr Villani. Le parcours de Mr Griveaux prenait de plus en plus l'allure d'une marche au bûcher.

Paradoxalement, la bataille de Paris est donc relancée. Sera-t-elle inversée pour autant ? La candidature de Mme Buzin prendra-t-elle auprès des parisiens, malgré des talents qu'on ne peut lui nier ? Un confrère posait il y a quelques instants, la question - que je partage avec lui - de savoir si Mme Buzin saura résister à l'étau dans lequel voudront l'insérer tant Mme Hidalgo que Mme Dati dans cette revanche - comme ici à Nîmes - entre le "vieux monde" des anciens tenants, et le "nouveau monde" que d'autres veulent voir naître avec beaucoup de jeunes espérances.

La réponse à cette question nous est promise…. dans 27 jours seulement ! C'est déjà demain.

NÎMES EN MIEUX (28)

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16 février 2020

NÎMES EN MIEUX (27)

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15 février 2020

L'AUTRE "MORALISATION" DE LA POLITIQUE

"L'AUTRE "MORALISATION" DE LA POLITIQUE"

TRIBUNE LIBRE

de  Éric DUSSART

morale.jpg- L’affaire Benjamin Griveaux montre que la morale s’insinue dangereusement dans le débat d’idées.

« Il y a là un combat à mener. Un nouveau stade a été franchi », a dit Benjamin Griveaux. Peut-être. D’autres, parmi tous ceux qui sont venus lui apporter leur soutien, dans le monde politique, disent la même chose : un nouveau cap dans la violence des campagnes électorales, qu’ils dénoncent tous.

« En annonçant ma candidature à la mairie de Paris, je connaissais la dureté du combat politique », dit-il encore. C’est peut-être l’erreur originelle.

Avoir accepté que cette dérive des attaques incessantes, personnelles, vienne occulter le débat d’idées, l’échange politique, même âpre, qui fait avancer la société et solidifie la République. Le monde politique est celui des coups bas, des mensonges et des trahisons, et le dénoncer, c’est s’exposer aux moqueries méprisantes qui renvoient à la naïveté.

Mais le coup qui a abattu Benjamin Griveaux n’est pas parti du milieu de la politique. L’activiste russe qui l’a diffusée prétend détenir la vidéo de la jeune femme qui en était destinataire, quand l’ancien porte-parole du gouvernement et elle échangeaient, entre adultes consentants, sur des sujets qui ne regardaient qu’eux-mêmes et que personne ne devrait s’autoriser à juger. Il n’y a rien de répréhensible là, si ce n’est sur le plan de la morale, qu’encore une fois, chacun doit garder pour lui.

L’excentrique Piotr Pavlenski a cru bon de justifier sa diffusion dans un coup de fil à Libération. Il aurait choisi de publier les vidéos pour dénoncer un candidat « qui dit qu’il veut être le maire des familles et cite toujours en exemple sa femme et ses enfants » , mais qui « fait tout le contraire » .

On y est : la morale est dans la politique, sous prétexte de lutter contre le mensonge. Comme si tous les coups étaient permis.

« Il faut se ressaisir collectivement », disait hier un élu. En commençant, peut-être, par taper sur les doigts de ce député radié de LREM qui a manifestement relayé la vidéo.

NÎMES EN MIEUX (26)

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NÎMES EN MIEUX (25)

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14 février 2020

NÎMES EN MIEUX : LE PROJET COMPLET

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MUNICIPALES : Baisse de la fiscalité,

10.000 arbres plantés, campus universitaire : le programme d’Yvan Lachaud

Après avoir déjà annoncé ses mesures en matière de sécurité et de mobilité, Yvan Lachaud, en tête de la liste "Nîmes en mieux !", a présenté l'intégralité de son programme. Voici les principales propositions du candidat soutenu par La République en marche

"C'est mieux des roses que des "fermez-là" !", a démarré Yvan Lachaud ce vendredi matin pendant que ses collaborateurs offraient des fleurs aux femmes de l'assistance en ce jour de Saint Valentin, tout en faisant référence aux propos du maire de Nîmes, Jean-Paul Fournier, tenus à l'encontre de Corinne Ponce Casanova lors du dernier conseil municipal. Place ensuite au programme que le candidat centriste est le premier à dévoiler en intégralité et que les Nîmois recevront bientôt dans leur boîte aux lettres.

"Nîmes est un choix de vie. Les enfants qui y naissent doivent trouver des formations intra muros, travailler, vivre et y prendre leur retraite. On se doit de donner les moyens pour y arriver", a déclaré Yvan Lachaud en préambule. Un projet organisé, planifié et chiffré à hauteur de 200 M€ pour la Ville, sans prendre en compte les éventuelles subventions.

L'ancien adjoint aux Finances de la Ville a annoncé en premier lieu une diminution de 6% de la fiscalité sur le foncier. "Je peux revendiquer d’avoir fait baisser la dette de la ville de Nîmes de 100 M€. Je sais faire. La dette de l'Agglo, beaucoup aimeraient l’avoir. Le ratio de désendettement est échelonné sur neuf ans, l'État en impose onze. On est plus que bon", a-t-il commenté

La tête de liste a ensuite déterminé trois urgences : civique, climatique et économique. On passe rapidement sur le volet sécurité déjà évoqué précédemment avec 100 policiers et 350 caméras supplémentaires, un commissariat fixe sur l'Esplanade plus un mobile sur les quartiers et la création d'une brigade équestre.

Des thermes aux Salinelles

Concernant le volet environnemental, c'est Corinne Ponce Casanova qui s'est exprimée, constatant une "ville beaucoup trop minérale". Alors pour reverdir la cité antique, "Nîmes en mieux !" projette de planter 10 000 arbres sur le mandat avec un coût d'environ 500 € par sujet. Créer également une "forêt générationnelle" de 40 hectares en partage avec l'aérodrome de Courbessac et faire de Nîmes la première ville du rafraîchissement climatique. En dotant les rues d'ombrières, de brumisateurs et en installant 80 fontaines dans tous les quartiers de la commune.

Puis concrétiser l'idée d'un grand parc urbain de 24 hectares, des pépinières Pichon jusqu'au Bois des Noyers, dont ce dernier sera inauguré le 21 février prochain. L'autre grande mesure en termes d'écologie est de préserver le parc Meynier de Salinelles en l'intégrant, tout en le laissant ouvert au public, à un projet de résidence hôtelière autour de la thématique des bains romains qui verrait le jour à la place de la résidence universitaire du Crous, jugé inadapté.

Ce qui fait le lien avec l'enseignement supérieur car cette liste ambitionne la création d'un campus universitaire sur le site Hoche Sernam sur une surface entre 30 000 et 40 000 m2 visant à accueillir à terme 30 000 étudiants. Avec notamment l'apparition d'une université de technologie pour se démarquer de Montpellier. Un projet développé proche du quartier Richelieu considéré comme une extension du centre-ville.

Pour l'urgence économique, Olivier Jalaguier assure que "Nîmes est en train de sombrer, qu'elle manque de vie, qu'il faut secouer le tourisme et que l'on fait crever la rue Général-Perrier." Relancer le commerce en centre-ville qui passe par l'instauration d'un plan de sauvetage de la Coupole des halles.

Enfin, concernant la culture, Yvan Lachaud annonce la création d'une cité de la musique avec la relocalisation du conservatoire et la construction d'un auditorium au cloître des jésuites, d'une académie des danses à Pissevin, la réhabilitation de la Maison de l'avocat des pauvres en résidence d'artistes ou encore de doter le centre-ville d'une salle de concert de 800 à 1 000 places. Un vaste programme qu'il faut désormais vendre aux électeurs.

Corentin Corger

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NÎMES EN MIEUX (24)

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13 février 2020

NÎMES EN MIEUX (23)

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