10 mars 2024
COMPOSITION & RÉGLEMENTATION
Composition des Instances Territoriales (Fédération du Mouvement Démocrate-MoDem du GARD) à l'issue de la Convention Territoriale du 10 Mars 2024.
Ordre protocolaire de plein droit : Président, Vice-Présidents, Membres élus, Membres nominés, Membres non élus, auxquels se joignent statutairement, au sein d'un second collège qui leur est propre, les Parlementaires ou Représentants d'EPCI Membres de la Fédération du Gard.
Le Conseil Territorial des Élus du GARD comporte statutairement 20 sièges éligibles. 11 de ces sièges ont été attribués lors de l'élection du 10 Mars 2024. 9 sièges pourront être attribués ultérieurement sur décision du Conseil Territorial en fonction de l'accueil de nouveaux membres ou nécessité de service.
BUREAU TERRITORIAL :
PRÉSIDENT TERRITORIAL DÉPARTEMENTAL :
Aurélien COLSON
VICE-PRÉSIDENT Gard Rhodanien (3ème Circonscription) :
Aramon, Bagnol/Cèze, Remoulins, Roquemaure, Villeneuve lès Avignon
Bruno ROSTELLO
VICE-PRÉSIDENTE Camargue (2ème Circonscription) :
Aigues Mortes, St Gilles, Sommières, Vauvert, Rhony/Vidourle
Bernadette BANDLER
VICE-PRÉSIDENT Alès - Cévennes (4ème & 5ème Circonscriptions) :
4ème : Alès N/E & S/E, Pont St Esprit, Vézenobres, St Chaptes, St Ambroix,etc...
5ème : Alès Ouest, Anduze, La Grand'Combe, St Jean du Gard, Quissac, Sauve, Valleraugue, Le Vigan, etc...
Ludovic DUMAS
SECRÉTAIRE TERRITORIALE :
Nathalie BENESSIANO
CONSEILLÉRE NATIONALE :
Elisabeth ROSELLO
DÉLÉGUÉE TERRITORIALE NOMINÉE :
Sylvie BERTHIOT
JEUNES DÉMOCRATES :
délégué territorial en cours de nomination par le Président National des JD
TRÉSORIÉRE TERRITORIALE :
LAVILLE Emmanuelle
COLLÈGE DES MEMBRES DE DROIT ÉLUS NATIONAUX :
Philippe BERTA - Député du Gard - Conseiller National
CONSEIL TERRITORIAL :
MEMBRES TERRITORIAUX ÉLUS : (ordre alphabétique)
Bernadette BANDLER - Avocate/Médiatrice
Nathalie BENESSIANO - Juriste
Philippe BERTA - Professeur d'Université - Député du Gard
Florence BERTA-NOUVEL - Médecin Généraliste
Patrice BILGORAI - Responsable National LICRA
Aurélien COLSON - Enseignant-Chercheur - Député Suppléant 6° Circonscription du Gard
Ludovic DUMAS - Manager Industrie Electrique
Christophe MARCO - Responsable Technique
Joêlle PELLISSIER - Orthophoniste
Elisabeth ROSELLO - Aide-Soignante
Bruno ROSTELLO - Ingénieur Industrie Nucléaire
MEMBRE TERRITORIAL NOMINÉ :
Bruno LAVILLE - Collaborateur Parlementaire
ADRESSE MAIL :
modem-alternative-gard@sfr.fr
SITE INTERNET :
http://lemouvementdemocratedugard.hautetfort.com/
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RÈGLEMENT INTÉRIEUR
TERRITORIAL
en cours de réécriture suite au Congrès de Blois de Mars 2024
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05 novembre 2022
IL EST TEMPS D'AGIR....
TRIBUNE LIBRE
de François VAN DE VILLE
La toute récente polémique qui a suivi les propos d'un député RN démontre, s'il en était besoin, une nouvelle fois la violence des échanges à l’Assemblée Nationale, comme le décrit Philippe Berta dans son interview à Objectif Gard.
C’est un nouveau choc dont il faut, une nouvelle fois, rappeler que ce lieu - l'Assemblée - est l’écrin dans lequel doit battre le cœur de notre république et où doivent s'écrire et vivre les règles de la démocratie dont elle est le berceau.
Un choc de plus, après tant d'autres venus de tous bords qui avaient aussi, récemment, secoué les députés et tous les observateurs : qu’il s’agisse du rappel à l’ordre prononcé par la Présidente de l'Assemblée à l’encontre d’une députée "Renaissance" qui avait taxé le RN de "xénophobie", ou encore de la plus discrète mais très récente polémique qui avait suivi les propos d’une élue RN estimant que la Société Nationale du Sauvetage en Mer (SNSM) n’avait pas à y aller chercher des migrants. Passons sur ce type d'échanges qui ne servent qu'à desservir…
L’interpellation, hier jeudi, d'un député RN lançant, cette fois-ci, «qu’il retourne en Afrique», alors que s’exprimait son autre collègue, lui d'extrême gauche, est bien raciste : il ne faut pas se cacher derrière d’autres mots, qu'ils soient prononcés au pluriel (s’adressant alors aux migrants qui risquent leurs vies sur des bateaux de honte), ou prononcés au singulier, ou s’adressant au député orateur de gauche, bouleversé lui-même d’être «renvoyé à sa couleur de peau» (d'origine africaine). C’est donc un nouveau choc, un de plus, un de trop.
S’il faut dénoncer les tentatives opportunistes de récupération - et ils sont légion à tout instant comme le décrit le député MoDem Philippe Berta - il ne faut pas être naïf : ces récupérations proviennent des seuls élus, tant de gauche comme ceux de droite.
Force est d'observer que le parti d'extrême droite - le RN - est entré en force, au printemps dernier, dans cet écrin qu'est notre Assemblée Nationale. Il y est rentré avec sa propre histoire, avec ses racines "historiques" que l'on ne connait que trop, et ses convictions aussi incertaines soient-elles mais qu'il entend bien défendre ici et là. Mais le RN, au lieu de chérir cette grandeur trouvée et née de tant de batailles précédemment perdues (et aussi due à une partie de "sa" population de plus en plus reconnue à mesure qu’une certaine classe politique ne cesse de lui faire de l’œil à la moindre occasion), le RN donc, loin d'y contribuer, se livre, de nouveau et surtout à ses vieux démons habituels et ne cesse d'électriser les débats au lieu de les faire vivre, ni de faire triompher par dessus tout la démocratie et nos valeurs républicaines. Force est aussi de reconnaître que sa "grandeur", malgré des apparences vestimentaires soignées, ne parvient pas à se hisser au dessus de ses caniveaux nauséabonds qu'il affectionne et de ses insultes indignes habituelles.
Les vieux démons sont de retour malgré les circonstances.
Mais force encore est de reconnaître que le RN n'est pas seul à mériter ces reproches : ses rivaux de l'extrême-gauche - seraient-ils issus de la même école ? - se complaisent aussi aisément aux mêmes dérives suicidaires de notre démocratie ? La tâche que ces deux extrêmes jette sur notre Assemblée mérite bien des sanctions identiques que celles prononcées aujourd'hui pour celles et ceux qui la répandent : il est inutile de le,cacher.
Le discours, aujourd'hui 4 Novembre, prononcé du haut de la tribune de l'Assemblée Nationale par sa Présidente laisse paraître une volonté de rétablir nos valeurs républicaines. La sanction qui a frappé aujourd'hui le député RN incriminée ce jour ne peut être ignorée quand d'autres dérives semblables sont proférées par l'un ou l'autre des camps rivaux.
C'est le prix à payer pour sauver une démocratie qui se délite par la faute de quelques-uns ou unes. Il est urgent d'agir.
03:05 Publié dans TRIBUNE LIBRE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique
22 mars 2022
UKRAINE ASSIÉGÉE = RUSSIE ISOLÉE
TRIBUNE LIBRE
de Jean-Michel BRETONNIER
L’admirable résistance ukrainienne a largement gagné le cœur des Occidentaux. Mais c'est la Russie qui le le paiera - et cher - tant qu’elle sera poutinienne.
Ce n’est pas la première guerre qui s’invite tous les jours aux « 20 h ». Mais celle-ci se déroule sur notre continent, et selon des modalités « classiques » qui évoquent chez nous des réminiscences. La force brute et l’agressivité sont d’un côté, quand la résistance et la morale sont de l’autre. Quotidiennement, les opinions occidentales s’émeuvent au spectacle de ces populations de civils fuyant la mort et la souffrance. L’empathie est telle en faveur de la nation agressée que les images du conflit jouent et joueront un rôle clef dans sa résolution.
Vladimir Poutine ne peut se laisser impressionner par la solidarité des sociétés européennes envers l’Ukraine assiégée et sa population, l’envoi de riz et de chaussettes, et l’accueil de réfugiés chez l’habitant. En revanche, la fourniture d’armes aux combattants ukrainiens par l’Europe et les États-Unis le dérange beaucoup plus. Or, les deux élans sont liés. Dans nos démocraties libérales, l’opinion pèse lourd dans la prise de décisions. Les gouvernements occidentaux ont un intérêt géopolitique et un intérêt de politique intérieure à ne pas lâcher l’Ukraine.
Mais pour combien de temps encore nos civilisations occidentales pourront rester les bras croisés et comme impuissantes devant la montée en charge des exactions de Mr Poutine contre les civils et les destructions d'immeubles, de logements, de viles et bourgs entiers et de leurs outils de travail ? Nos opinions commencent à s'interroger à juste titre si, sous couvert de l'OTAN, elles ne devront pas, alors, intervenir militairement dans le ciel ukrainien pour faire cesser ces crimes contre l'humanité, tout en prenant grand soin de ne jamais franchir la frontière entre Ukraine et Russie et donner alors prétexte à l'actuel locataire du Kremlin d'aller encore plus loin dans l'horreur.
Les Ukrainiens, qui voudraient certes une intervention militaire plus décisive de la part des Occidentaux, n’en sont pas moins, pour le moment, sensibles aux marques de fraternité que leur témoignent les Européens. Ils auraient résisté de toute manière, mais ils savent que l’extrême courage dont ils font preuve est regardé et suivi à travers le monde. Aujourd’hui, c’est l’Ukraine qui est assiégée, mais c’est la Russie qui est coupée du monde.
Ce rejet de l’agression russe et ce soutien à la résistance ukrainienne de la part des opinions occidentales modifient d’ores et déjà le cours de la guerre. Et même quand l’émotion se sera émoussée, ces sentiments continueront de bouleverser les relations entre le pouvoir russe et l’Occident.
Le monde est devenu impitoyablement dangereux par dessus nos volontés. Et il faut y faire face désormais avec lucidité.
06:00 Publié dans TRIBUNE LIBRE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, faits de société
10 septembre 2021
DÉCÈS de Roland GRONCHI
03:54 Publié dans VIE du MOUVEMENT | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique
05 septembre 2021
L'ORACLE BERTA
"Objectif Gard" de cette semaine a curieusement ouvert sa rubrique hebdomadaire par un article intitulé "L'Oracle Berta" dont le contenu, particulièrement élogieux à l'égard de notre ami Député, ne manque pas de surprendre dans l'atmosphère du moment assez perturbée sur de très nombreux autres plans.
Nous nous autorisons de retranscrire ici le contenu souvent étonnant de cet article.
"Il est comme ça Philippe Berta, la lumière, les tralalas et les hypocrites, il s'en cogne royalement. Parlementaire depuis bientôt cinq ans, il n'a qu'une seule ligne de conduite : le sérieux et l'engagement pour faire avancer la France.
"Cela fait quand même bizarre en l'écrivant car on ne peut pas dire que ce soit le cas de tous. Et pas seulement les élus du Sénat ou de l'Assemblée nationale. Il suffit de regarder attentivement les exécutifs locaux et départementaux...
"Bref en tout cas, le député Modem ne chôme pas et si un classement devait être établi des parlementaires les plus assidus, il ne devrait pas être trop loin de la palme du meilleur élève. Rappelons qu'outre ses nombreuses propositions de lois et rapports parlementaires, Philippe Berta est membre de la commission permanente sur les affaires culturelles et éducation (membre), qu'il a été rapporteur de la commission spéciale chargée d'examiner le projet de loi relatif à la bioéthique, il a participé à la commission d'enquête sur la stratégie de relocalisation de l'industrie et à la mission d'information sur le médicament, etc. N'en jetez plus, la cour est pleine ! Et il a été aussi particulièrement présent pendant la crise sanitaire où ses prises de parole, ses explications, ses théories ont fait sacrément de l'ombre aux nombreux scientifiques de pacotille présents du matin au soir sur les plateaux TV.
"On en revient à cette fichue lumière que le Gardois déteste. D'ailleurs, c'est dans le secret de l'Élysée qu'Emmanuel Macron et sa garde rapprochée compte sur lui pour poursuivre ses activités de parlementaire après 2022. Il devrait d'ailleurs se voir confier une mission présidentielle "spéciale", selon nos informations. Rare.
"Voici encore un bel exemple et une jolie distinction pour ce travailleur de l'ombre qui s'est fixé pour seul objectif de ne pas perdre cinq ans dans les allées du Palais Bourbon à papillonner. Il a réussi. Cinq années utiles. Qui pourraient se prolonger.
"Même si la Droite et la Gauche locales vont tout faire pour s'emparer de cette 6e circonscription, ni François Courdil, son ancien attaché parlementaire, pressenti pour se présenter, ni même le candidat de l'alliance PS-PCF n'ont l'assurance d'une victoire prochaine.
"Le rouleau compresseur Macron pourrait tout emporter et renouveler une bonne paire de députés. Sauf si finalement, malgré sa puissance, le Président de la République y laissait quelques plumes. Philippe Berta s'en cogne encore une fois : il n'avait pas l'intention d'aller plus loin qu'un mandat. Et même si l'appétit vient en mangeant, ses compétences seront assurément utiles ailleurs •
16:03 Publié dans VIE du MOUVEMENT | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, faits de société
01 août 2021
LE SANG-FROID de nos sociétés démocratiques
TRIBUNE LIBRE
de Jean-Michel BRETONNIER
- Plus notre société résiste à l’épidémie et à ses conséquences, avec sang-froid et raison, et plus les "anti-vax" manifestent bruyamment.
Ce qu’on vit depuis mars 2020 devient éprouvant : depuis 18 mois, nous subissons les caprices d’un coronavirus qui décide de tout, décide de notre santé comme de notre vie quotidienne, de notre conjoncture économique, de nos aléas sociaux, et qui, de surcroit, cherche à contourner toutes les défenses que nous lui opposons. Sa ruse la plus funeste étant désormais de muter pour devenir sans cesse plus contagieux.
Plusieurs fois, on s’est cru tirés d’affaire : plusieurs fois, on a déchanté. Ce niuveau Covid impose illusions et désillusions à la société toute entière : nous vivons aujourd'hui comme sur des montagnes russes.
Et pourtant notre société résiste. Et pourtant nous tenons bon.
Les décisions politiques et les mesures administratives ont permis à la collectivité de ne pas sombrer. Les individus, dans leur écrasante majorité, ont conservé leur sang-froid et n’ont pas renoncé à la raison : masques, gestes barrières, confinement, télétravail, tests, vaccins, nous avons accepté restrictions comme sacrifices pour protéger notre propre santé, mais aussi au nom de l’intérêt général.
Une notion qu’on croyait pourtant disparue sous les assauts d’un réel individualisme triomphant. Bravo !
Ce qui se passe aujourd'hui démontre que nos démocraties libérales régissent désormais des sociétés beaucoup plus solides et solidaires qu’on ne le pensait. On croyait nos régimes condamnés à l’impuissance face à l’impérieux sujet individuel, face à une société consumériste, face aussi à une civilisation qui ne croit plus en elle-même. Non ! Nos démocraties ont, tout au contraire, su imposer des mesures collectives contraignantes, sans entrer pour autant en conflit avec la société. Sauf, inévitablement, pour une partie d’entr'elles : celles et ceux qui, en France, errent le samedi à la mode "gilets jaunes" comme dans un rituel fataliste visant essentiellement les forces de l'ordre présentes pourtant pour les protéger, mais comme dans un jeu de massacre de fête foraine.
Nos démocraties libérales sont pourtant si fortes qu’elles supportent de surcroît ces outrances et leurs délires, ceux d’une grosse minorité de citoyens prêts à tout croire, pourvu que ce ne soit ni la voix d’une autorité, fut-elle élue démocratiquement, ni celle de toute raison, même la plus prudente.
Ainsi va notre monde.
03:46 Publié dans TRIBUNE LIBRE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, faits de société
05 juin 2021
Le MoDem du Gard aux Élections Régionales 2021
Les candidats gardois de la liste régionale "Nouvel Élan pour l'Occitanie" se sont réunis à Nîmes pour faire ensemble le point sur leurs projets en faveur du développement du département du Gard et de ses populations.
Étaient présents, entr'autres, les candidats du MoDem du Gard. À savoir :
• Barbara De Vos (Nîmes, collaboratrice parlementaire et Présidente du MoDem du Gard)
• Bernadette Bandler (Le Grau du Roi, avocate)
• Bernard Bon (Bellegarde, retraité, ancien Président du MoDem du Gard)
• Sylvie Berthiot (Nîmes, greffière de Justice)
• Patrick Diez (Nîmes, contrôleur de gestion)
La qualité essentielle de cette liste conduite au plan régional par Vincent Terrail-Novès, maire de Balma (non encarté politiquement) est sa représentativité au niveau des territoires de l'Occitanie, mais aussi ses compétences issues d'horizons très diversifiés.
La candidate Barbara De Vos, Présidente du MoDem du Gard (située en 2ème position de la liste), a présenté les grandes lignes du programme (en cours de distribution dans les boîtes aux lettres), à savoir les secteurs "Économie", "Emploi et Formation", "Santé" et "Énergies". Elle a souligné le "potentiel économique du Gard", mais rappelé que ce département - le 2ème de la région - est aussi celui où "le taux de chômage est le plus élevé". Et d'évoquer la constitution d'une "task-force post-Covid" disposant d'un "fond de résistance de 50 M€" pour aider les entreprises en difficulté de devoir rembourser leurs prêts garantis par l'État (PGE). Et de proposer aussi la création d'une "plate-forme emploi" pour faire se rencontrer offres et demandes et de proposer des aides à la mobilité. Et de proposer encore la création d'une "banque régionale de transition écologie" et d'un "fonds d'aide à la relocalisation d'activités". Enfin, en rappelant que "l'Occitanie est la 4ème région de France pour les retombées touristiques", Barbara De Vos a évoqué le projet de créer "une école des hautes études touristiques".
En accord avec les autres partenaires de la liste régionale, a été aussi évoquée la question des transports (nationaux et intra-régionaux), diverses propositions ont été avancées, et même effleuré la question de la sécurité, même si ce sujet n'est ni de la compétence régionale et pas plus que de celle départementale, ce qui n'empêche qu'on puisse contribuer à la rendre plus efficace sur le terrain.
La réponse à ces propositions appartient désormais aux électeurs qui sont appelés à se prononcer les 20 et 27 Juin prochains. D'où l'importance d'y participer en grand nombre.
François Van de Ville
Secrétaire Général du MoDem du Gard
16:44 Publié dans VIE du MOUVEMENT | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, mouvement démocrate
18 mai 2021
ÉLECTIONS RÉGIONALES des 20 et 27 Juin 2021
Nos CANDIDATES & CANDIDATS du Gard
- Les listes définitives pour le 1er tour des élections régionales - le 20 Juin prochain - ont été déposées en Préfecture ce Lundi 17 Mai.
Notre liste comporte 13 candidats (ou candidates) membres ou adhérents de "LREM" (La République en Marche), 5 du "MoDem" (Mouvement Démocrate), et autres candidats ou remplaçants issus des mouvements "Agir", "Territoire de Progrès", du "Mouvement Radical social libéral" et des "Jeunes avec Macron", tous habitants sur l'ensemble de notre territoire gardois et appartenant majoritairement à la société civile.
La tête de liste pour le Gard est conduite par Jérôme TALON (co-référent départemental de "LREM"). La 2ème place est réservée à Barbara DE VOS (Présidente Départementale du "MoDem", attachée parlementaire du Député "MoDem" Philippe BERTA).
Suivent ensuite, à la 3éme place, Fabien CRUVEILLER (Maire de Cardet), à la 4éme Aline GONZALES (avocate nîmoise), puis, en 5ème position, Michel TOLEDO (Alès).
En 6ème position Bernadette BANDLER (Avocate à Grau du Roi), en 7ème Pierre VIVER (Comps), en 8éme Caroline GUILLERMIER-CAPIA (Nîmes), en 9éme Alexandre DELABY (Aramon, Président Mouvement Jeunes), en 10éme Agnès GUILLAUD (Aramon).
En 11éme position Bernard BON (Bellegarde, ex-Président du MoDem du Gard), en 12éme Emmanuelle LE HINGRAT (Aujargues), en 13éme Frédéric CAMACHO, en 14éme Sylvie BERTHIOT (ex-greffière de Justice à Nîmes), en 15éme Brice CANONGE (St Mamert du Gard).
En 16éme position Coraline BERENGUER, en 17éme Jean-Paul CABANIS (Vauvert). Puis, pour les suivants comme candidats ou remplaçants : Geneviève CASTELLANE, Patrick DIEZ, Alice RAPP, Jean-Paul DONNY, Catherine ROUX.
Chacun de ces candidates ou candidats vous seront présentés ultérieurement plus en détail et vous détailleront les projets et ambitions qu'ils défendront pour le développement de notre département et le bien-vivre des gardoises et gardois.
À bientôt.
03:44 Publié dans VIE du MOUVEMENT | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique
13 mai 2021
L'APRÈS COVID 19
BILLET de François VAN DE VILLE
- Comme chacun sait, l'histoire est toujours un domaine très ouvert, ce qui rend l'histoire très imprévisible.
Pourtant, en certaines circonstances, il est plus facile de prévoir le moyen et le long terme que le court terme. Et si l'on en doutait quelque peu, le Covid 19 pourrait en être la preuve.
Il y a peu encore en effet, en matière de court terme, qui pouvait imaginer le pire sur l'évolution de cette soudaine pandémie ? Et on a vu apparaître très vite des systèmes de santé saturés, des personnels épuisés, des morts par centaines de milliers pour les plus proches de notre continent (ou les millions par ailleurs), des contraintes sans précédent en matière de liberté d'entreprendre, de se déplacer, d'entretenir nos modes de vie, et aussi des ruptures d'approvisionnements, même en matériels de santé ou sanitaires, et aussi encore des interrogations sans réponses satisfaisantes de la part de ceux qu'on considérait souvent comme les responsables de ces manquements, et tout ce qui s'en suit pour ensuite douter de leurs explications si peu simples à formuler.
En fait, nous étions tous, sans exception aucune, emportés dans une vague déferlante et imprévisible dont personne ne voyait comment s'en échapper.
Puis, de façon toute aussi imprévisible, une timide fenêtre s'est ouverte avec l'apparition de vaccins dont nul ne pressentait la naissance en si peu de délai, fenêtre dont beaucoup n'osait même s'approcher par crainte qu'il ne s'agisse que d'un mirage trompeur. C'était toujours du court terme, mais à puissance inédite.
Mais si, s'éloignant de ce court terme, l'on regarde un peu plus loin, quelques évidences apparaissent.
Cette crise sanitaire a sonné le glas de la mondialisation et de l'idéologie progressiste dominante qui, jusque là, faisaient loi.
Certes, les grandes épidémies de l'Antiquité ou du Moyen Âge (ou encore celles plus récentes), ces épidémies n'ont eu nul besoin de connaître la mondialisation pour faire aussi des millions de morts. Cependant, aujourd'hui, il tombe sous le sens que la généralisation des transports, comme des échanges ou des communications n'a pu qu'aggraver les choses. Le Covid 19 a fait "comme tout le monde" : il a circulé au rythme de cette généralisation d'échanges.
Eh bien aujourd'hui, on ne circule plus !
Je lisais tout récemment que même le tunnel sous la Manche a vu sa circulation de trains réduite de 90%, mettant en péril l'Eurostar qui n'assure plus chaque jour qu'un seul aller-retour depuis Londres jusque Paris ou Bruxelles. Qui l'eut cru il y a quelques mois encore, comme la réduction drastique de fréquentation de nos TGV nationaux ? Autrement dit, on a rompu avec le principe de la libre circulation des hommes, des marchandises ou encore des capitaux.
Ce n'est pas la fin "du monde", mais la fin "d'un monde".
Rappelons-nous que la mondialisation reposait surtout sur l'impératif de produire, de vendre ou d'acheter, de bouger, de circuler, d'avancer et de se mélanger dans un vaste "vivre ensemble". Elle reposait aussi sur l'idéologie du progrès et l'idée que l'économie devait définitivement supplanter le "politique". Mais voilà que - Patatras ! - alors qu'on nous vantait le mouvement, le "bougisme" et le déracinement, tout est à l'arrêt et bon nombre de respirations sont désormais placées sous oxygène passager.
Qu'en sera-t-il quand celui-ce se tarira et les robinets fermeront sous le poids d'une dette in-maîtrisable ?
Et maintenant, qu'est-ce qui s'annonce ?
Cette crise économique et sociale pourrait bien déboucher sur une nouvelle crise financière qui pourrait nous faire oublier celle de 2008 de par son ampleur. Le Covid 19 n'en sera pas le déclencheur mais il en aura été simplement le catalyseur.
Par ailleurs, il n'est pas exclu qu'on doive aussi traiter simultanément une crise sanitaire, comme celle économique évoquée plus haut, mais encore celle sociale, celle écologique ou celle autre migratoire. Une véritable conjonction de catastrophes, un autre "tsunami" à venir.
"Nous sommes en guerre" a déclaré, il y a un an déjà, Mr Macron dans une allocation très discutée. Mais une guerre exige non seulement des moyens, mais aussi des chefs, et des chefs dotés d'autres armes que les promesses de tribunes plus ou moins incompétentes ou irresponsables. Les pistolets à bouchon n'ont plus place dans cette compétition.
Et quand tout cela sera passé, car il y aura bien une fin….
Peut-être reviendrons-nous alors au désordre établi de si longue date ? Ou aurons-nous peut-être enfin trouvé le moyen de repartir sur de meilleures bases, éloignées de la marchandisation du monde, du productivisme ou encore du consumérisme à tout prix ?
Je m'efforce d'y croire.
Encore !
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11 avril 2021
L'ENA, LE BOUC ÉMISSAIRE
TRIBUNE LIBRE
de Jean-Michel BRETONNIER
- L’ENA est-il un parfait bouc émissaire face aux maux français ? Emmanuel Macron avait-il besoin d’un tel trophée pour le prouver ?
Il a cependant sacrifié et offert au pays cette institution voulue et créée par Charles De Gaulle lui-même dès les lendemains de la libération.
L'ENA - École Nationale d’Administration - présente-t'elle donc l’avantage de concentrer sur ses trois lettres la rancune des administrés et des citoyens contre la bureaucratie de notre administration et l’élitisme latent de la classe politique, mal français que nul ne conteste ?
C’est même si avantageux, et si peu dangereux, que de se payer l’ENA, c’en est devenu une des rengaines de la démagogie nationale. L’ENA et ses travers ont généré au fil de décennies tout un répertoire d’histoires, certaines parfois très drôles.
C’est vrai que le petit nombre d’élèves par promotion et leur omniprésence ensuite dans les plus hautes sphères de l’État et des grandes entreprises nationales pouvaient conduire au procès en uniformité des dirigeants du pays.
Un même moule pour l’élite tant du public que du privé. Il est vrai aussi que l’idéalisation de son excellence a conduit l’École à faire du classement de sortie une prédestination à vie. Les mieux classés, à 25 ans, déboulent pour donner des leçons à tout le monde et trustent les meilleures places, qu’ils conservent jusqu’au terme de leur - souvent - brillante carrière.
Il fallait donc rénover cette vieille maison.
Mais ce qu’annonce ensuite Emmanuel Macron est plus large : remplacement de l’ENA par l’Institut du Service Public (ISP), dont les diplômés devront faire leurs preuves dans des fonctions opérationnelles avant de prendre des postes de direction. Cet ISP dispensera donc, dès Janvier 2022, l’enseignement du futur tronc commun aux prochains administrateurs de l’État (magistrats, directeurs d’hôpitaux, commissaires, etc).
Pourquoi pas ?
Mais on ne voit cependant pas bien pourquoi l’ENA ne pouvait pas rester l’ENA dans ce cadre. Sauf à considérer peut-être qu’il fallait au futur candidat Macron une réforme symbolique et apparemment populaire.
Apparemment, c'est parce qu’il est bien possible que l’ENA fasse partie de ces objets que les Français aiment détester, plus qu’ils ne les détestent vraiment. Où se trouve la logique dans tout ce remue-ménage ?
16:57 Publié dans TRIBUNE LIBRE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, faits de société