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17 mai 2008

RÉUNION avec Philippe BERTA

Mardi 20 Mai, à 18h30, à la "Brasserie" (Bd Victor Hugo, face à la Poste) à NÎMES, Philippe BERTA, Membre du Conseil National, rendra compte de la réunion du 14 Mai à PARIS, autour de François BAYROU, et au cours de laquelle ont été arrêtées les grandes lignes du Règlement Intérieur National.
 
Y seront présents les Membres du Bureau Départemental - avec le Président Régis VEZON - les élus "tête de liste" et autres candidats du Mouvement Démocrate qui se sont présentés lors des dernières élections municipales ou cantonales de Mars 2008.
 
Cet exposé sera suivi d'un débat sur les grandes orientations du Mouvement, tant au niveau national que départemental.
 
Élus, candidats et sympathisants y sont cordialement invités.

14 mai 2008

Jean-Luc CHAPON ÉLU au CONSEIL NATIONAL

Le Conseil National est composé de 4 collèges distincts.

2 étaient déjà constitués :

  • celui des représentants des adhérents (élu en début d'année)
  • celui des représentants du Bureau Exécutif National

Il manquait donc encore :

  • celui des Présidents des Mouvements Départementaux : il ne sera constitué qu'après les élections aux Conventions Départementales
  • celui représentant les Élus

Ce dernier collège a été élu "in extremis" et le résultat a été publié ce matin du 14 Mai sur le site national du Mouvement.

Nous relevons l'élection de Mr Jean-Luc CHAPON, Maire d'UZÈS, en qualité de "Membre Titulaire" représentant les Maires et les Présidents d'E.P.C.I.. (Ils sont 15 titulaires pour la France entière)

Mr CHAPON est Membre du Bureau Départemental de notre Mouvement et l'un de nos Vice-Présidents.

Toutes nos félicitations.

28 avril 2008

CONVENTION des ÉLUS DÉMOCRATES

François BAYROU a souhaité réunir à PARIS les élus et les candidats aux dernières élections municipales et cantonales de Mars 2008.

Cette réunion s'est déroulée le samedi 26 Avril à la Maison de la Chimie, structure pourtant généreuse mais qui s'est cependant révélée rapidement trop étroite pour accueillir le nombre - plus élevé que prévu - de participants.

Pour le Mouvement Démocrate du GARD, Philippe BERTA, tête de la liste "ÊTRE ENSEMBLE"  à NÎMES, était présent à cette réunion et a d'ailleurs été salué tout spécialement par François BAYROU à la tribune pour l'excellence de la campagne qu'il a conduite avec ses 54 co-listiers nîmois.

Vous trouverez ici la vidéo du discours d'accueil de François BAYROU, ainsi que, ci-après, le compte-rendu que nous a adressé Phlippe BERTA, particulièrement satisfait de l'accueil qu'il a reçu lors de cette réunion.

Voici ce compte-rendu :

"Bilan municipal

"François BAYROU :

"Nous sommes le parti de l’intérêt national, de l’intérêt général, Démocrates encore un effort. Entre la conservation du pouvoir à tous prix et le peuple, nous avons choisi le peuple.
350 listes autonomes pour les villes de + de 10 000 habitants, avec un score moyen de 15,9%, 150 listes d’union. 2.200 élus, 300 mairies. Les listes ont correspondu à l’esprit MoDem, d’ouverture. Tous les centristes « hésitants » (Strasbourg, Toulouse, Rouen…) ont chuté.
Un appel est adressé aux gaullistes. Un passage en revue est fait de certains résultats. Sur l’arc méditerranéen, seuls les résultats de Vence, Aix-en-Provence, Perpignan et Nîmes sont mentionnées par François BAYROU. Dans ce dernier cas, il souligne la situation tout à la fois particulière et difficile que pose Nîmes et considère le résultat comme un bon résultat. Quelques exemples particuliers sont détaillés (Nouméa, Mayotte, Aras, Metz, Aix, Puylaurens, Poitiers…).

"Thème : la crise alimentaire

"Marcel DENEUX, sénateur de la Somme :

"La montée des prix alimentaires n’est que le fruit d’une conduite politique mais aussi du changement de pratiques alimentaires de certains pays comme la Chine. La production de blé est de l’ordre de 607 millions de tonnes, les besoins de 620. Si les 5% de stock habituels avaient été préservés, nous n’en serions pas là. Pourquoi depuis 7-8 ans assiste-t-on à une réduction des stocks ?
Ce dernier met en doute la campagne de presse actuelle sur le rôle de l’utilisation des ressources agricoles à des fins non alimentaires  (essentiellement maïs et canne à sucre), dont les biocarburants, sur la pénurie en blé et s’interroge sur qui paye cette campagne…

"BENHAMIAS :

"Appel au débat apaisé, trouver des positions communes sur le nucléaire, les OGM en particulier à l’approche des européennes. Maîtrise d’une politique énergétique, penser haute qualité environnementale et passer du discours à la pratique. Ne plus parler de biocarburants mais d’agrocarburants à produire en proximité du lieu de consommation. Sur le plan alimentaire, on ne répondra pas par les exportations mais par l’auto-suffisance. Défendre les seuls OGM à visée médicale.

"Thème : Pouvoir d’achat

"Robert ROCHEFORT (CREDOC)

"Ce thème est devenu central car c’était aussi une promesse du président Sarkozy. Mais en fait cette question est plus complexe et en cache beaucoup d’autres. On parlera de « mot valise ».
Il touche dans un premier aspect les travailleurs pauvres, les familles en situation précaire (mono-parentale…), les personnes âgées, les personnes seules… et ne peut être dissocié de la crise du logement (on pense aux travailleurs pauvres, aux petits fonctionnaires…).
Dans un second, cette crise touche les classes moyennes qui souffrent d’une projection sur l’avenir (mes enfants vivront moins bien…) et d’une stagnation réelle de leur revenu.
Trois remarques :

  • Salaire : depuis 10 ans la France a des salaires bloqués, et les 35 heures y ont beaucoup contribués.
  • La société de consommation bât son plein : toujours plus, or les revenus ne le permettent pas. Pour les classe moyennes ou inférieures, des besoins se sont créés (écran plat, téléphonie mobile, informatique..) en grande partie financés par des économies sur l’alimentation. Et pourtant, nous ne reviendrons pas aux 30 glorieuses. Remarquons qu’en 1930, 1franc sur 2 était consacré à l’alimentation, en 1960, 1 sur 4 et en 2002 seulement 1 euro sur 6.
  • On ne peut plus continuer à payer moins son alimentation. Le règlement des problèmes par le pouvoir d’achat est un mensonge, c’est aussi un nouveau rapport à la consommation qu’il faut trouver.

Les réponses proposées sont mauvaises : augmentation du nombre de supermarchés pour faire baisser les prix, low cost, hard discount qui s’ils font baisser les prix de façon transitoire, ont en eux le germe de plus d’importations (en particulier d’Asie), des salaires plus bas, la baisse du nombre de salariés…
La réponse viendra par un ensemble de réformes avec une société différente. Mais sur quel modèle ?
Si la décroissance n’est pas une solution, c’est une croissance qualitative et non quantitative qu’il faut viser, en respectant les problèmes d’équité et de justice auxquels les Français sont très attachés.

"Questions diverses

"François BAYROU :

"Nous sommes le 1er mouvement du 21e siècle, qui doit se baser sur démocratie/organisation et surtout discipline=priorité.
3 mai : mise en ligne/envoi écrit d’une synthèse des contributions et d’un consensus pour le règlement intérieur national
8 mai : journée de travail au siège sur toutes les remarques sur le projet de règlement
14 mai : propositions de nominations par François BAYROU, et examen d’un règlement intérieur national soumis à l’examen des fédérations

"Marielle DE SARNEZ :

"Plusieurs défis :

  • Force politique nouvelle à créer pour le bipartisme qui en fait les deux faces d’une même médaille
  • Créer, porter un projet novateur qui pourrait s’intituler « Vivre Ensemble » (tiens cela me rappelle quelque chose) pour une société sans différentes vitesses.
  • Réfléchir sur le rôle de l’état pour libérer et soutenir la créativité.
  • Dire la vérité aux Français et assumer.
  • Défi d’une Europe forte et indépendante avec un modèle de société européen, avec un modèle de développement économique et social durable, une Europe qui pèse dans le monde, qui soit alliée plutôt que ralliée (voir OTAN).
  • Participer à l’organisation d’un monde plus équitable, réinventer un modèle de développement mondial en visant à l’autosuffisance des pays (en particulier sur le plan alimentaire).

"Conclusion

"François BAYROU :

"Nous sommes un mouvement qui affirme la nécessité des réformes mais pas au prix de l’injustice. Mais comme le dit Valery Giscard d’Estain, réforme ne veut pas toujours dire progrès. La réforme des retraites liée à la longévité doit par exemple être une grande priorité.
Mais on note que certaines des réformes en cours sont équilibrées par de l’injustice sociale. Quatre exemples :

  • La franchise médicale justifiée en un temps pour freiner les dépenses médicales désormais justifiée par Alzheimer/cancer/soins palliatifs, ce seraient donc désormais les seuls malades qui paieraient ces grandes priorités nationales.
  • Un versement immédiat de 200€ sur les petites retraites, mais dans le même temps les bénéficiaires de l’APA ont vu l’augmentation de l’URSSAFF sur les aides à domicile (300€/an).
  • Le coût de la garde des jeunes enfants porté par les familles par la baisse des allocations entre 11 et 14 ans.
  • Le RSA financé par la ponction de la prime pour l’emploi (1,5 milliards) : une forme de solidarité payée pat les travailleurs pauvres en deçà du salaire moyen qui justifiaient la PPE.

SARKOZY croit au capitalisme et à la mondialisation, BAYROU en l’humanisme et la justice.

L’équilibre de la dette en 2012 est une illusion et une tromperie : le déséquilibre augmentera, avec déjà en un an un plus 7 milliards.

Sur la réforme des institutions, François BAYROU proposera des amendements visant au pluralisme et à l’indépendance des médias, conditions d’une démocratie de plein exercice faisant appel à la conscience des citoyens.

Arrêtons d’obtenir des voix par des promesses ou de la communication. C’est en faisant progresser l’information, la communication que l’on fera accepter des décisions courageuses. Les 1.200 milliards de dettes sont la somme de ces promesses illusoires.

Philippe BERTA

Vice-Président du Mouvement Démocrate du GARD

Membre du Conseil National 

23 avril 2008

LE 14 MAI NE PEUT ÊTRE UNE RÉUNION DU CONSEIL NATIONAL

Le Bureau Départemental du Mouvement Démocrate du GARD - mouvement qui compte maintenant plus de 1.100 adhérents - s’est réuni le 22 Avril 2008 sur convocation de son Président, Régis VEZON.

Il constate qu’une réunion prévue à Paris pour le 14 Mai prochain soit présentée comme celle statutaire du “Conseil National” au sens de l’article 9 des statuts nationaux.

Il rappelle que l’article 9-2 en précise la composition. Ce "Conseil National" est effectivement composé de 4 collèges (réputés indissociables) :
  • un collège de 180 membres élus dans le cadre régional
  • un collège des Présidents de Mouvements départementaux et des Mouvements des Français de l’étranger....
  • un collège de 60 représentants des élus locaux ou parlementaires, élus par leurs pairs
  • les membres du Bureau exécutif national
Si le collège des 180 membres a bien été élu en Février (notre Bureau Départemental ne revient pas sur les conditions très contestables de cette élection, organisée à quelques jours de consultations d’autre importance, ce qui a entraîné un taux de participation de nos adhérents d’une faiblesse jamais égalée)....

....le Bureau Départemental du GARD constate que :
  • les actuels Présidents des Mouvements départementaux, qui assurent la continuité du Mouvement jusqu’aux prochaines Conventions Départementales, n’ont pas été invités à participer à cette réunion, et les nouveaux Présidents ne sont pas encore élus. Ce collège sera donc absent de cette réunion du 14 Mai.
  • les 60 élus locaux ou parlementaires qui doivent être désignés par leurs pairs ne sont pas encore consultés, ni leur corps électoral constitué. Ce collège ne pourra donc pas, matériellement, être formé dans des conditions acceptables pour le 14 Mai.
CONCLUSION : sur les 4 collèges prévus statutairement pour former le "Conseil National", 2 ne seront pas présents le 14 Mai.

Le Bureau Départemental du GARD ne reconnaît donc pas à cette réunion du 14 Mai le statut d’une réunion du “Conseil National” tel que prévu par les textes adoptés à Villepinte en Décembre dernier.

Le Bureau Départemental du GARD continuera donc son action en vue de mobiliser ses adhérents et d’organiser, dans le respect strict des statuts nationaux, ses élections internes dans le cadre et l’esprit des statuts.

Il renouvelle sa confiance à François BAYROU et l’assure de son soutien inconditionnel.

17 avril 2008

LES PARTISANS DE L'UDF EN SONT POUR LEURS FRAIS

Les partisans d'un retour à l'UDF ont été mis en minorité lors d'une réunion mercredi soir autour du président du Mouvement Démocrate (MoDem) François Bayrou, a-t-on appris auprès des participants.

"Il n'y a plus aucune ambiguïté", a déclaré à l'issue de cette réunion de trois heures le leader centriste, qui a obtenu une "majorité très large" de "19 voix contre 6".

Par ce vote, "nous avons décidé que le Mouvement Démocrate allait continuer à se développer" et qu'il n'y aurait "pas de retour à l'UDF historique", a-t-il dit devant la presse.

Le bureau de l'UDF (26 membres au total) a été constitué lors de la fondation du MoDem, en décembre 2007, pour veiller aux intérêts "juridiques, matériels et moraux" de l'UDF pendant une période transitoire de trois ans.

Il y avait ces derniers temps "une campagne autour de l'idée que le MoDem pourrait voir un certain nombre de ses membres recréer l'UDF, et même on racontait que le MoDem pourrait se voir dépossédé par cette manoeuvre de son siège et de son financement", a ajouté M. Bayrou.

Là aussi, "nous avons fait voter, et à une majorité plus large encore avons décidé qu'il n'y avait pas de problème" de patrimoine et de financement public, a-t-il dit.

"Le financement public ira au Mouvement démocrate" et en ce qui concerne le siège, qui "appartient à l'UDF dont je suis président, il y aura une convention qui va édicter les règles", a-t-il souligné, précisant qu'il y aurait "d'autres réunions" concernant ces questions de patrimoine.

M. Bayrou a réaffirmé son opposition aux "partis à courants", précisant que dans la motion qu'il soumettra avant l'été au vote des quelques 60.000 adhérents du MoDem, "il y aura cette idée d'un parti unitaire".

Cette opposition aux courants concerne également Cap 21, membre fondateur du MoDem et présidé par Corinne Lepage, qui a jusqu'à présent conservé une existence politique.

"Nous avons eu une très large discussion, qu'on peut qualifier de franche. Il faudra que nous nous revoyons", a pour sa part indiqué brièvement M. Arthuis, le visage tendu, à sa sortie.

Parmi les nostalgiques de l'UDF, le chef de file des sénateurs centristes et trésorier du MoDem Michel Mercier, le sénateur Philippe Nogrix et le député européen Thierry Cornillet étaient également présents mercredi soir.

14 mars 2008

PRÉCISIONS

Le Midi Libre de ce vendredi 14 Mars, avant-veille du 2ème tour des élections municipales et cantonales, nous a réservé son lot habituel de déclarations dont certaines sont, pour le moins, surprenantes.

PRISE DE POSITION D'UN MAIRE
 
Un Maire de l’Uzège, brillamment réélu dimanche dernier - ce dont nous le félicitons d’autant vivement qu’il est un excellent ami de très longue date - prend position dans l’élection municipale de NÎMES (!) en faveur du Maire UMP sortant.
Cet ami semble ignorer que le Bureau Départemental de notre Mouvement - auquel il appartient de plein droit et auquel il a été invité, comme chacun de ses membres, à délibérer sur cette question ce dernier lundi 10 Mars - a pris acte de la volonté de fermeture du Maire UMP sortant de NÎMES au profit de son seul parti dominant et dominateur.
Le Bureau Départemental a donc décidé, ce lundi 10, à la quasi-unanimité de ses membres de ne soutenir aucune des deux listes présentes ce prochain 16 Mars à NÎMES.
Peut-être si ce Maire de l’Uzège avait été présent lors de cette réunion, aurait-il pu plaider son désir de soutien à son collègue de NÎMES (en difficulté) pour tenter d’infléchir la décision du Bureau : mais il était absent et n’avait donné aucun mandat pour être représenté.
La décision du Bureau s’impose donc désormais à tous. Et notre ami - tout Maire réélu soit-il - n’a ni mandat ni autorité aucune pour prendre une quelconque position contraire face à celle adoptée par le Bureau Départemental, et ce par simple application des statuts (dont il devrait pourtant en connaître l’esprit et le contenu puisqu’il a participé à leur rédaction et les a votés lors du Congrès fondateur de notre Mouvement en Décembre 2007).
Nous invitons donc ce Maire de l’Uzège à relire ses textes avant de déclarer n’importe quoi.

APPARITION D’UNE MADONE DU CENTRE
 
Autre déclaration surprenante : celle d’une Conseillère Municipale de l’équipe municipale nîmoise sortante qui, pour s’assurer de sa propre réélection, a préféré quitter notre Mouvement pour figurer sur la liste du candidat Maire UMP de NÎMES, se présentant à ses côtés en concurrence face à la liste investie par le Mouvement auquel cette Conseillère appartenait.
Non contente d’un choix que nous respectons mais qui lui retire cependant désormais toute qualité pour continuer d’affirmer être toujours membre de notre Mouvement, voici qu’elle feint ignorer les conséquences automatiques de son choix.
Il faut que cette Conseillère cesse de mentir comme elle le fait à propos de son appartenance à un Mouvement qu’elle a volontairement quitté. Ce qu’elle n’ignore nullement.
Il faut que cette Conseillère en informe son nouveau mentor qui, dans ses déclarations publiques, laisse entendre à ses électeurs que sa liste comprend un (ou des) membre(s) du MoDem, ce qui est totalement faux.
Il faut que cette Conseillère sache que l’action du centre - le vrai et non celui qui penche ou à droite ou à gauche, centre incarné par le seul Mouvement Démocrate - sera plus réel et efficace en dehors du futur Conseil Municipal de NÎMES qu’en son sein.
Il faut que cette Conseillère cesse d’oublier que, si elle est réélue, elle sera nécessairement soumise, comme auparavant, à un devoir de réserve et de fidélité absolue à la tête de liste à laquelle elle s’est ralliée.
Il faut que cette Conseillère rafraîchisse sa mémoire - devenue apparemment très courte - oubliant soudain les contraintes et les pressions auxquelles elle a été elle-même soumise - comme tous les membres du Groupe UDF (MoDem) auquel elle appartenait - au cours des sept années écoulées au sein de la Municipalité sortante, au mépris de toutes règles démocratiques les plus élémentaires. Ce qui est généralement le cas dans des municipalités  à domination RPR/UMP.
Il faut que cette Conseillère cesse de se croire devenue la “Madone du Centre” à NÎMES : le centre - le vrai - ce n’est pas elle qui peut prétendre l’incarner. Il y a pour cela un Mouvement, des responsables, des adhérents de plus en plus nombreux pour ce faire. Nous n’avons nul besoin d’apparition salvatrice d’une nouvelle madone pour savoir la conduite que nous devrons tenir pour restaurer une vraie démocratie à NÎMES.

Il était nécessaire d’apporter ces précisions pour couper court à ces “n’importe quoi” qu’on lit ou entend actuellement pour tromper les électeurs à la veille de choix décisifs.

11 mars 2008

COMMUNIQUÉ de Philippe BERTA

COMMUNIQUÉ de Philippe BERTA

Tête de la liste "ÊTRE ENSEMBLE" aux Municipales de NÎMES

Je sais aujourd'hui que les quelques 9% que nous représentons sont susceptibles de faire basculer l'élection de dimanche prochain.
 
J'étais prêt à entendre des propositions venant des deux côtés dans l'intérêt de notre ville et de ses habitants. Il n'a jamais été question de nous vendre mais de respecter notre ligne de conduite, celle de l'intérêt général.

Je n'ai pas entendu d'engagements forts, susceptibles de sortir notre ville de l'état dans lequel elle se trouve.

Cela confirme qu'aucun des deux maires sortants ne peut justifier notre soutien, comme cela a pu être le cas dans des mairies de droite ou de gauche dans d'autres villes.

Je viens donc faire ici une déclaration d'indépendance et j’appelle les Nîmoises et les Nîmois à rejoindre le Mouvement Démocrate pour réfléchir ensemble à la meilleure manière de sortir Nîmes des impasses économiques et sociales dans lesquelles elle a été mise.
Philippe BERTA

 

10 mars 2008

RÉUNION POST-ÉLECTORALE

RÉUNION DU BUREAU DÉPARTEMENTAL

Les membres du Bureau Départemental du Mouvement Démocrate du GARD se réuniront ce lundi 10 Mars à 18h30 (permanence d'Éric FIROUD, face aux arènes de NÎMES) pour analyser les résultats des élections municipales et cantonales dans le GARD et déterminer la position du Mouvement pour les seconds tours.

28 février 2008

SOUTIENS aux Cantonales

Les 9 et 16 Mars prochains, la moitié des Conseillers Cantonaux seront renouvelés, en même temps que nous allons réélire dans toutes nos villes nos Conseils Municipaux.

Le MOUVEMENT DÉMOCRATE du GARD, conscient qu'il est plus important de présenter et soutenir des candidats au Conseil Général qui s'engagent réellement pour leur canton et se mettre au service de leurs populations - et pas seulement pour faire de la figuration partisane - soutient particulièrement les candidats suivants :

LA GRAND' COMBE : Ludovic BOUIX - Suppléante : Céline FERRER

NÎMES I : Éric FIROUD - Suppléante : Sandrine DI MEGLIO

NÎMES II : Joëlle PELLISSIER (Conseillère sortante) - Suppléant : Guillaume CASTILLE

NÎMES VI : Claude REIGNIER - Suppléant : Karim SMAÏN

QUISSAC : William SEGUIN - Suppléante : Solange BOUET

St GILLES : Yvon ROUQUEL - Suppléante : Magali MICHEL-FAUGERAS

VILLENEUVE lès AVIGNON : Gérard VALLADIER - Suppléante : Brigitte DUFOUR-DAMEZ

Ce sont les Conseillers Généraux qu'il nous faut pour que "çà change" : nous pouvons leur faire confiance ! 

27 février 2008

L'ÉQUIPE de Gérard VALLADIER

Gérard VALLADIER se présente à VILLENEUVE lès AVIGNON à double titre : et comme candidat aux élections cantonales et comme candidat aux élections municipales.

Pour ces dernières, il a réuni autour de lui toute équipe aux horizons très ouverts.

Voici la plaquette de présentation de sa liste : Trombinoscope.G.Valladier.pdf