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10 mars 2024

COMPOSITION & RÉGLEMENTATION

mouvement démocrate,bayrou,politique

 

Composition des Instances Territoriales (Fédération du Mouvement Démocrate-MoDem du GARD) à l'issue de la Convention Territoriale du 10 Mars 2024.

Ordre protocolaire de plein droit : Président, Vice-Présidents, Membres élus, Membres nominés, Membres non élus, auxquels se joignent statutairement, au sein d'un second collège qui leur est propre, les Parlementaires ou Représentants d'EPCI Membres de la Fédération du Gard.

Le Conseil Territorial des Élus du GARD comporte statutairement 20 sièges éligibles. 11 de ces sièges ont été attribués lors de l'élection du 10 Mars 2024. 9 sièges pourront être attribués ultérieurement sur décision du Conseil Territorial en fonction de l'accueil de nouveaux membres ou nécessité de service.

 

 BUREAU TERRITORIAL :

 

PRÉSIDENT TERRITORIAL DÉPARTEMENTAL :

       Aurélien COLSON

 

VICE-PRÉSIDENT Gard Rhodanien (3ème Circonscription) :

          Aramon, Bagnol/Cèze, Remoulins, Roquemaure, Villeneuve lès Avignon

                Bruno ROSTELLO

 

VICE-PRÉSIDENTE Camargue (2ème Circonscription) :

Aigues Mortes, St Gilles, Sommières, Vauvert, Rhony/Vidourle

               Bernadette BANDLER

 

VICE-PRÉSIDENT Alès - Cévennes (4ème & 5ème Circonscriptions) :

4ème : Alès N/E & S/E, Pont St Esprit, Vézenobres, St Chaptes, St Ambroix,etc...

5ème : Alès Ouest, Anduze, La Grand'Combe, St Jean du Gard, Quissac, Sauve, Valleraugue, Le Vigan, etc...

               Ludovic DUMAS

 

SECRÉTAIRE TERRITORIALE :

Nathalie BENESSIANO

 

CONSEILLÉRE NATIONALE :

Elisabeth ROSELLO

 

DÉLÉGUÉE TERRITORIALE NOMINÉE :

Sylvie BERTHIOT

 

JEUNES DÉMOCRATES :

délégué territorial en cours de nomination par le Président National des JD

 

TRÉSORIÉRE TERRITORIALE :

                LAVILLE Emmanuelle

 

COLLÈGE DES MEMBRES DE DROIT ÉLUS NATIONAUX :

                Philippe BERTA - Député du Gard - Conseiller National

 

CONSEIL TERRITORIAL :

 

MEMBRES TERRITORIAUX ÉLUS : (ordre alphabétique)

Bernadette BANDLER - Avocate/Médiatrice

Nathalie BENESSIANO - Juriste

Philippe BERTA - Professeur d'Université - Député du Gard

Florence BERTA-NOUVEL - Médecin Généraliste

Patrice BILGORAI - Responsable National LICRA

Aurélien COLSON - Enseignant-Chercheur - Député Suppléant 6° Circonscription du Gard

Ludovic DUMAS - Manager Industrie Electrique

Christophe MARCO - Responsable Technique

Joêlle PELLISSIER - Orthophoniste

Elisabeth ROSELLO - Aide-Soignante

Bruno ROSTELLO - Ingénieur Industrie Nucléaire

 

MEMBRE TERRITORIAL NOMINÉ :

Bruno LAVILLE - Collaborateur Parlementaire

 

ADRESSE MAIL :

modem-alternative-gard@sfr.fr

 

SITE INTERNET :

http://lemouvementdemocratedugard.hautetfort.com/

 

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RÈGLEMENT INTÉRIEUR

                          TERRITORIAL

 

en cours de réécriture suite au Congrès de Blois de Mars 2024

 

07 mars 2022

Interruption de Notes

Le "Parti Libre" du Mouvement Démocrate du Gard (MoDem 30) repart après une interruption de quelques semaines pour raisons purement techniques.

Nous nous excusons pour ce contre-temps totalement indépendant de notre volonté.

Et n'oublions pas d'aller voter les 10 et 24 Avril prochain.

À bientôt.

05 juin 2021

Le MoDem du Gard aux Élections Régionales 2021

Liste2.jpg

Les candidats gardois de la liste régionale "Nouvel Élan pour l'Occitanie" se sont réunis à Nîmes pour faire ensemble le point sur leurs projets en faveur du développement du département du Gard et de ses populations.

Étaient présents, entr'autres, les candidats du MoDem du Gard. À savoir :

Barbara De Vos (Nîmes, collaboratrice parlementaire et Présidente du MoDem du Gard)

Bernadette Bandler (Le Grau du Roi, avocate)

Bernard Bon (Bellegarde, retraité, ancien Président du MoDem du Gard)

Sylvie Berthiot (Nîmes, greffière de Justice)

Patrick Diez (Nîmes, contrôleur de gestion)

La qualité essentielle de cette liste conduite au plan régional par Vincent Terrail-Novès, maire de Balma (non encarté politiquement) est sa représentativité au niveau des territoires de l'Occitanie, mais aussi ses compétences issues d'horizons très diversifiés.

La candidate Barbara De Vos, Présidente du MoDem du Gard (située en 2ème position de la liste), a présenté les grandes lignes du programme (en cours de distribution dans les boîtes aux lettres), à savoir les secteurs "Économie", "Emploi et Formation", "Santé" et "Énergies". Elle a souligné le "potentiel économique du Gard", mais rappelé que ce département - le 2ème de la région - est aussi celui où "le taux de chômage est le plus élevé". Et d'évoquer la constitution d'une "task-force post-Covid" disposant d'un "fond de résistance de 50 M€" pour aider les entreprises en difficulté de devoir rembourser leurs prêts garantis par l'État (PGE). Et de proposer aussi la création d'une "plate-forme emploi" pour faire se rencontrer offres et demandes et de proposer des aides à la mobilité. Et de proposer encore la création d'une "banque régionale de transition écologie" et d'un "fonds d'aide à la relocalisation d'activités". Enfin, en rappelant que "l'Occitanie est la 4ème région de France pour les retombées touristiques", Barbara De Vos a évoqué le projet de créer "une école des hautes études touristiques".

En accord avec les autres partenaires de la liste régionale, a été aussi évoquée la question des transports (nationaux et intra-régionaux), diverses propositions ont été avancées, et même effleuré la question de la sécurité, même si ce sujet n'est ni de la compétence régionale et pas plus que de celle départementale, ce qui n'empêche qu'on puisse contribuer à la rendre plus efficace sur le terrain.

La réponse à ces propositions appartient désormais aux électeurs qui sont appelés à se prononcer les 20 et 27 Juin prochains. D'où l'importance d'y participer en grand nombre.

François Van de Ville

Secrétaire Général du MoDem du Gard

22 février 2021

PLACE AUX FEMMES

 

politique,mouvement démocrate

14 janvier 2021

MARIELLE de SARNEZ n'est plus

Sarnez 1.jpg- Marielle Lebel de Sarnez, ex-Députée Européenne (1999-2017), ex-Ministre des Affaires Européennes (2017), ex-Conseillère de Paris (2001-2010 & 2014-2020), Députée de Paris (2017-2021), Présidente de la Commission des Affaires Étrangères (2017-2021), est décédée ce 13 Janvier 2021 à l'âge de 69 ans face à une leucémie foudroyante.

Soutien de la candidature de Valéry Giscard d'Estaing (1974), membre du Parti Républicain, co-fondatrice de l'UDF (1978) puis sa Vice-Présidente, co-fondatrice du Mouvement Démocrate (MoDem) puis sa 1ère Vice-Présidente, soutien de la candidature d'Alain Juppé (2016), Marielle de Sarnez est toujours restée, au travers de ses différents mandats, la plus proche collaboratrice de François Bayrou.

Sarnez-VGE.jpgFemme de grande conviction, européenne ardente, parfois quelque peu rude dans ses expressions, elle a toujours exercé par son intelligence une grande influence dans les grandes décisions européennes, y compris celles aussi de François Bayrou, n'hésitant pas, parfois, jusqu'à s'opposer à lui pour le convaincre - in fine - dans ses choix ou expressions publiques définitives.

Sa disparition est une très grande perte pour nous tous et la famille centriste en général.

Le Mouvement Démocrate s'incline avec respect devant cette brutale disparition, laquelle suit, hélas, de très peu celle du Président Valéry Giscard d'Estaing, inspirateur initial de notre famille politique dont elle a été l'une de ses chevilles ouvrières.

Nous présentons nos condoléances à sa famille et à ses proches collaborateurs.

22 décembre 2020

LE POUVOIR ET LES FRANÇAIS

politique,mouvement démocrate,faits de société- Moins les Français ont confiance dans leurs gouvernants, et plus ils se tournent indirectement vers une sorte d'État omnipotent. À moins de penser que les Français seraient génétiquement programmés pour se méfier de tout, on doit admettre que les causes sont apparemment à la fois culturelles et politiques.

En tout cas, ce phénomène est profondément ancré : en moyenne, 64 % des Allemands, autant ou presque chez les Britanniques, chez les Italiens ou les Espagnols, tous estiment que les dirigeants de leur pays ont été, pendant cette épidémie, à la hauteur des risques encourus. Mais, chez les Français, seuls 39 % de ceux-ci ont accordé le même satisfecit à leurs dirigeants. L’écart de confiance est considérable.

Si nous avons été civiques dans notre grande majorité pendant l’épreuve du confinement, il semble bien que les admonestations, les attestations ou autres sanctions aient fleuri plus généreusement chez nous que chez nos voisins. Si les Français se défient très fort de leurs dirigeants, il apparaît donc que ceux-ci le leur rendent bien. Ces gouvernants, comme les précédents dans une longue tradition, doutent du sens de l’intérêt général de leurs «concitoyens», mais aussi de leur esprit d’initiative et de leur sens des responsabilités.

La gestion de l’épidémie n’a pas été idéale en Allemagne : contrairement à ce qui a été beaucoup dit, le gouvernement allemand n’avait pas mieux anticipé cette crise que le nôtre. On a certes loué que le fédéralisme institutionnel allemand a permis de créer un nombre très élevé de lits d'hospitalisation, mais une très grande partie de ces lits n'avaient pas le nombre suffisant de soignants pour y accueillir des malades. En revanche, le pays tout entier a mieux réagi, et avec plus de souplesse et de réactivité. Le privé était naturellement encouragé à produire des tests, et non pas dissuadé, comme en France, par des textes réglementaires et des concurrences entre structures. La décentralisation allemande y a permis de déployer plus vite et mieux une politique de prévention de la contamination.

Notre jeune et moderne Président français - Emmanuel Macron - avait, au cours de sa campagne, prôné la transformation du pays : il parlait même de révolution. On s'en souvient. Mais malgré ces promesses, en termes de décentralisation de la puissance publique ou de libération des initiatives privées, ou encore de renforcement des corps intermédiaires, notre Président s'est heurté frontalement au conservatisme ambiant, héritage de nombreuses décennies de formalisme qu'il n'est toujours pas parvenu encore à briser. Y arrivera-t-il un jour ?

Je vous parlais plus haut d'État omnipotent : en voilà les preuves, politiques et culturelles.

François VAN DE VILLE

04 décembre 2020

VALÉRY GISCARD D'ESTAING

giscard.jpgUn très grand Président - Mr Valéry Giscard d'Estaing - vient de nous quitter à l'âge de 94 ans suite à une affection soudainement aggravée par le Covid-19.

Jusqu'au bout, le Président Giscard d'Estaing aura gardé une incroyable vivacité intellectuelle. Voilà plus de quatre décennies qu'il avait quitté le pouvoir après un septennat encadré par deux chocs pétroliers, chocs qui ont mis fin brutalement aux "30 glorieuses" qui avaient permis à la France de faire longuement des pas de géant dans tous les domaines, sociaux; économiques ou industriels.

Le Président Giscard d'Estaing avait été élu à la suite du décès prématuré du Président Georges Pompidou, héritier lui-même putatif de De Gaulle. Giscard d'Estaing incarnait alors une vision heureuse sur l'avenir de la France dans la  grande compétition mondiale qui s'organisait déjà.

Hélas, dès la première crise pétrolière qui bouleversait nos économies par des hausses sans précédent de nos énergies, cette vision heureuse sombrait vite dans la grisaille de cette crise inattendue.

Et pourtant, fidèle à lui-même, il a perçu l'éclosion de nos jeunes générations, leur soif d'émancipation après de longues années restées figées dans d'étroits carcans héritiers du passé. Il a voulu accompagner la mutation de notre société par des réformes : toutes ont marqué notre temps de façon définitive. Aucun de ses successeurs - c'est un fait remarquable - de Mitterrand à Hollande en passant par Chirac ou Sarkozy n'a osé revenir sur ces réformes courageuses. Un commentateur écrivait que la modernité avait été le mantra de Giscard d'Estaing.

Giscard d'Estaing avait aussi une intuition : celle de l'Europe dont la construction politique fut son grand œuvre, mais aussi son rêve inachevé par la faute de dirigeants attiédis par d'autres ambitions à courte vue qui les taraudaient.

Quand le Général De Gaulle avait surtout voulu rétablir la grandeur et l'indépendance de la France, lesquelles avaient été très affaiblies par ses luttes intestines entre droite et gauche, et aussi par la constitution délétère d'une République en total déclin, le Président Giscard d'Estaing a surtout été celui qui a voulu poursuivre l'œuvre du fondateur de la V° République, mais en l'adaptant aux réalités qui surgissaient de partout à travers le monde.

Sitôt élu, le Président Giscard d'Estaing a ouvert aussitôt aux jeunes français le droit de devenir majeur dès l'âge de 18 ans et de participer désormais aux scrutins qui fixeraient leur propre avenir.

Il se tourne aussi vers les femmes à qui il ouvre le droit, par la voix de Simone Veil, à l'IVG (Interruption Volontaire de Grossesse). Puis il ouvre le financement par l'Etat de la "pilule" contraceptive. Il ouvre aussi aux femmes le droit à l'autonomie financière, d'ouvrir leurs propres comptes en banque et de disposer désormais d'un carnet de chèques hors toute autre autorité masculine.

Il pense aussi aux familles en difficulté en instituant la séparation par consentement mutuel et éviter ainsi les longs déchirements par des divorces qui se prolongeaient sans fin.

Il crée un secrétariat au droit des femmes, totale innovation jusqu'alors inconnue.

Il accorde aux chômeurs le droit de percevoir désormais une indemnité de 90% pour atténuer leurs difficultés en recherche d'emploi. Il accorde aussi le droit à la retraite à 60 ans pour les travailleurs aux emplois pénibles.

Il accorde l'indépendance éditoriale à l'ORTF vis-à-vis du gouvernement, alors que se profile le développement des moyens de communication, notamment la télévision.

Il permet la création de lignes de TGV pour rapprocher les français et leurs régions les unes des autres, la construction de centrales électriques à énergie nucléaire pour faire de la France un pays à l'énergie non polluante.

Il autorise aussi l'ouverture de la France vers l'espace en créant la fusée Ariane.

Sur le plan international, il expose que la grandeur et l'indépendance de la France ne peuvent s'assurer dsormais que par et dans la construction de l'Europe et le rapprochement avec l'Allemagne : il lie des rapports étroits avec le Chancelier Helmut Schmidt et crée avec lui ce qu'on appellera désormais le "couple franco-allemand". Il crée les fondements d'une monnaie commune à toute l'Europe (projet "Écu" qui deviendra ensuite "Euro"). Il impose que le Parlement européen soit élu désormais au suffrage universel direct. Il crée le G5, il amorce des rencontres régulières entre dirigeants d'état pour coordonner leurs actions à l'échelle internationale, et ce G5 initial s'agrandira comme on sait.

Cette énumération pourrait prolonger plus loin encore....

Toutes ces réformes ont cependant contribué, par leur ampleur quasi révolutionnaires, à créer un déséquilibre politique difficile à maîtriser. Cependant ils les a conduites malgré les oppositions de droite comme de gauche qui se sentaient bousculées, même si souvent tentées de les applaudir, les unes comme les autres, pour des raisons opposées. Et ces dernières d'inventer ensuite de toutes pièces, comme pour bousculer ce nouvel ordre  en organisant - l'on s'en souvient - des rumeurs souvent grotesques, comme celle des "diamants de Bokassa" qui lui furent offerts (alors qu'il était encore ministre) par un dirigeant africain de passage et dont aucun ne pouvait intéresser les joaillers puisqu'ils étaient surtout destinés à un usage industriel. Mais cette "affaire" un peu rocambolesque a beaucoup assombri la fin de son quinquennat.

Pour couronner cependant son œuvre avant de la laisser à son successeur (Mitterrand), le Président Giscard d'Estaing aura été le dernier Président à quitter ses fonctions en laissant une France au budget parfaitement équilibré malgré les crises pétrolières successives traversées si longuement. Aucun dirigeant qui lui a succédé n'a eu le courage de renouveler ensuite cet exploit, tout au contraire. On sait aujourd'hui les conséquences de leurs gabegies.

Beaucoup plus tard enfin, sa passion de construite une Europe à la fois plus solidaire et indépendante l'a conduit à être choisi par les gouvernements européens pour écrire longuement une proposition de constitution européenne. Hélas, les français ont rejeté son projet au travers d'un référendum dont lui-même disait qu'il était inadapté pour ce genre de consultation et dont il pressentait l'échec. Ce fut certainement pour le Président Giscard d'Estaing une très grande déception.

Nul ne doute que l'Histoire lui rendra cependant, et longuement, l'hommage qu'il mérite pour l'œuvre accomplie.

Merci Monsieur le Président.

François VAN DE VILLE

Secrétaire Général du MoDem du Gard

20 novembre 2020

BARBARA DE VOS, Nouvelle Présidente du MoDem 30

De Vos.jpg

Barbara DE VOS

élue PRÉSIDENTE

de la Fédération du GARD

du Mouvement Démocrate (MoDem)

Elle succède au Président Patrick CHANAUD qui demeure proche d'elle au sein du nouveau Conseil Départemental, celui-ci entièrement renouvelé avec l'arrivée en son sein de nouveaux membres.

Nouvelle Présidente, nouveau Conseil Départemental, nouveaux projets, nouvelles perspectives sous la houlette de cette jeune Présidente nîmoise de 35 ans déjà très engagée au sein de notre Mouvement, tant au niveau local qu'à celui national.

Nous lui souhaitons pleine réussite dans ce nouveau mandat.

11 novembre 2020

ÉLECTIONS au MoDem du GARD

Ci-après, quelques idées forces du programme présenté par l'équipe qui se soumet à l'élection dès le 13 Novembre sous la houlette de Barbara DE VOS, candidate à notre Présidence Départementale.

Proposition 1.png

Proposition 2.png

Proposition 3.png

Proposition 4.png

Proposition 5.png

L'équipe qui se présente autour de Barbara DE VOS :

Liste.png

30 septembre 2020

LES SÉNATORIALES.... et après ?

politique,mouvement démocrateSeulement 9 voix séparent la liste de droite et du centre réunis à l'occasion des sénatoriales dans le Gard du 27 Septembre dernier, face à celle socialo-communiste et consorts.

La marge d'écart est très étroite et force à la réflexion.

Certes le tandem Lopez/Burgoa avait des atouts grâce à la forte personnalité de ces 2 candidats bien établis et ce fût tant mieux pour eux. Mais est-ce bien une explication suffisante ?

Oui, on peut s'interroger sur ce qu'aurait été le résultat si cette liste droite/centre n'avait pas reçu l'appui d'une grande part de l'électorat centriste, même si ce dernier a figuré aussi - et de façon honorable - sur l'autre liste centriste indépendante de Mr Cardènes (ex-Président du MoDem du Gard).

Au travers de cette élection, la preuve est établie que la droite ne peut toujours pas gagner seule une élection si elle n'a pas l'appui de l'électorat centriste. Ceci est incontestable.

Cependant, curieusement et sur un tout autre plan, la Ville de Nîmes a une spécificité particulière : sa municipalité s'évertue toujours à chasser les centristes de ses rangs et ce avec une ténacité constante. Le duel Fournier/Lachaud n'était qu'un épisode entre deux fortes personnalités que l'espace de générations séparait durablement. On aurait pu croire que cet épisode allait se refermer de lui-même après le résultat des municipales de Juillet. Mais il n'en est rien : le duel entre les élus municipaux LR, réunis autour de Mr Fournier, se poursuit aujourd'hui âprement de la même façon entre ce groupe et les représentants des différents courants centristes. Nul ne peut le nier. Oubliée déjà l'élection sénatoriale à peine le résultat proclamé : on menace, on brandit et on élabore déjà des stratégies d'élimination des élus centristes en place pour les élections des mois à suivre.

C'est étonnant de consternation.

Il faudra pourtant bien qu'un jour raison revienne face à ces combats d'un autre âge qui, s'ils devaient perdurer, mènerait fatalement à la chute de la droite nîmoise au profit des extrêmismes de tous bords, toujours aux aguets.

Évidemment, cela demandera à certains de ces combattants d'arrière-garde - peut-être atteints aussi de cécité - d'avaler péniblement leurs orgueilleux manches à balai. Mais ce sera pour eux la seule condition s'ils ne veulent pas être balayés eux-mêmes par les courants qui tourbillonnent dans les travées du pouvoir, ici à Nîmes comme partout ailleurs. Cette élection tendue en est la démonstration indiscutable. Malheur à ceux qui n'en prendraient pas rapidement conscience.

À quand ceux-là raisonneront-ils un peu au-delà de leurs étroites certitudes et feront, enfin, face aux réalités ?

François VAN DE VILLE