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11 avril 2009

René MONORY s'en est allé....

BAYROU : René MONORY, "la liberté de penser" et "la force de l'action"

monory.jpgLe Président du Mouvement Démocrate - François BAYROU - a rendu hommage samedi à René MONORY, en soulignant que chez l'ancien Président centriste du Sénat "la liberté de penser se mariait avec la force de l'action".

 

"Il n'était pas prisonnier des moules habituels. Il s'était forgé lui-même une vision du monde et avait le courage et l'audace de la mettre en oeuvre contre bien des réticences", a déclaré Mr BAYROU à l'AFP.

 

Rappelant que Mr MONORY avait "imposé la liberté des prix en France", Mr BAYROU a souligné qu'"il a été de ce fait un grand ministre de l'Economie, qu'il avait appris dans la réalité et non dans les livres".

 

"C'était un élu local d'une trempe exceptionnelle, osant des innovations qui, sans lui, n'auraient jamais été imaginées, en premier lieu le Futuroscope, mais aussi l'insertion des Rmistes", a poursuivi le Président du Mouvement Démocrate.

 

Pour lui, René MONORY était aussi "un homme de fidélité" ainsi qu'il l'avait "manifesté au Sénat et dans sa famille". C'était "un homme qui allait et ne se laissait détourner par rien de superficiel".

 

Faisant part de "son affectation" pour ce membre éminent de la famille centriste, François BAYROU a également exprimé son "respect" et son "admiration" pour l'épouse de René MONORY.

09 avril 2009

À PROPOS DE LA FRANCE ET L'OTAN

L'OTAN vient de célèbrer (douloureusement) à Strasbourg - et en grandes pompes - le 60° anniversaire de sa création.

L'OTAN en 2009, çà sert à quoi ? Pourquoi  ce revirement de la France qui a décidé d'en réintégrer solennellement le commandement alors que De Gaulle, en 1969, en avait claqué la porte.

François VAN DE VILLE essaie de répondre à ces questions dans son dernier billet.

(Billet publié aussi sur AGORAVOX)

07 avril 2009

DEUX RENDEZ-VOUS IMPORTANTS

MERCREDI 15 AVRIL

 

Dans le cadre des élections européennes,

le Mouvement Démocrate du GARD vous invite à rencontrer


Robert ROCHEFORT

Tête de Liste du MoDem sur le Grand Sud-Ouest

Directeur du CREDOC


Anne LAPERROUZE

Députée Européen sortant - Candidat du MoDem sur le Grand Sud-Ouest


Caroline CHEVASSON

Chargée de Mission au CEA

Ancielle Conseillère auprès du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche

 

Stéphane COSSÉ

Directeur adjoint de la Communication de RTE

 

Philippe BERTA

Candidat du MoDem sur le Grand Sud-Ouest

Présient du Mouvement Démocrate du GARD

 

2 LIEUX DE RENCONTRE :

 

LAUDUN L'ARDOISE

à 16h30 - Salle Communale

sur l'invitation des Jeunes Démocrates du GARD, on discutera sur

 

L'EUROPE DE L'ÉNERGIE, facteur de compétitivité et d'indépendance

 

NÎMES

à 19h30 - Café de la Grande Bourse (face aux arènes)

autour d'un apéritif "européen", on discutera sur

 

L'EUROPE ET LA CRISE

03 avril 2009

LISTE COMPLÈTE des CANDIDATS aux EUROPÉENNES

LISTE des CANDIDATS du Mouvement Démocrate de la Région "Sud-Ouest"

1 - Robert Rochefort - département 33
Directeur d’un centre de recherche, spécialiste des modes de vie des Français
53 ans
2
- Anne Laperrouze - 81
Députée européenne, Maire de Puylaurens
52 ans

3– Marc Dufour - 34
Dirigeant d’une structure de consultant, Adjoint au Maire de Montpellier, Président Départemental du Mouvement Démocrate de l'Hérault
54 ans

4- Geneviève Darrieussecq - 40
Maire de Mont de Marsan, Médecin
Conseillère Régionale d’Aquitaine
53 ans

5- Philippe Meynard - 33
Gérant associé d’un groupe immobilier, Maire de Barsac
38 ans

6- Malika Aradj - 31
Conseillère Municipale de Toulouse
49 ans

7- Philippe Berta - 30
Professeur des Universités, Président Départemental du Mouvement Démocrate du Gard
49 ans

8- Maïté Laur - 12
Dirigeante de socété et Vice Présidente MoDem Aveyron. Conseillère municipale de Rodez
51 ans

9- Michel Veunac - 64
Psychosociologue, Adjoint au Maire de Biarritz, Délégué Départemental du Mouvement Démocrate des Pyrénées-Atlantiques
62 ans

10- Marie-Christine Guittard - 48
Médecin conseil auprès de l’Inspecteur d’Académie de Lozère. Présidente Départementale du Mouvement Démocrate de Lozère

11- Serge Bruno - 24
Directeur d’enseignes
38 ans

12- Hedvige d’Orfeuil - 32
Professeur documentaliste, Déléguée Départementale du Mouvement Démocrate du Gers
42 ans

13- Thierry Reverbel - 66
Technicien forestier
46 ans

14- Nathalie Tourné - 47
Agricultrice, Présidente du Conseil de Développement du Pays d’Albret
43 ans

15- Thierry Faget - 82
Vétérinaire, Président Départemental du Mouvement Démocrate du Tarn-et-Garonne
41 ans

16- Agnès Sindou-Faurie - 46
Avocate
34 ans

17- Brahim El Batbouti - 65
Educateur, Président de l’Association « Tarbes Ensemble »
42 ans

18- Emily Tesseydre-Jullian - 12
Conseillère Municipale au Monastère, Vice-Présidente du Mouvement Démocrate de l'Aveyron
39 ans

19- Philippe Feral - 11
Attaché principal d’administration du Ministère de l’Intérieur
42 ans

20- Christèle Collet - 09
Agent immobilier, Administrateur de biens, Présidente Départementale du Mouvement Démocrate de l'Ariège
43 ans

30 mars 2009

LES 12 ENGAGEMENTS EUROPÉENS DU MOUVEMENT DÉMOCRATE

Convention Thématique Européenne du 29 Mars :

les 12 engagements européens du Mouvement Démocrate.


1 - L’union de l’Europe, maintenant, plus de doutes possibles.

Dans l’histoire de l’humanité, jamais de peuples libres n’ont choisi de se rapprocher pour relever ensemble les défis de leur temps. C’est l’entreprise historique la plus pacifique et la plus novatrice de tous les temps. Mais comme toutes les constructions humaines, après des succès impressionnants, il est arrivé à l’idéal européen de s’émousser et d’être un sujet de désillusion. Parfois, les peuples ont douté, beaucoup, ou un peu. Aujourd’hui, le doute n’est plus permis. La crise prouve que le chacun pour soi rend impuissant. En revanche, ensemble, on peut agir. L’euro a résisté à la crise et nous a évité les catastrophiques dévaluations d’autrefois. Où en serions-nous si l’euro n’avait pas existé ?
Nous proposons une réponse coordonnée de l’Union européenne à la crise, avec un grand emprunt européen de 3 pour cent du PIB, destiné, en particulier, à aider les PME à préparer l’avenir. Nous proposons que les grandes politiques de lutte contre la crise, par exemple, le plan automobile, fassent l’objet d’une démarche concertée et coopérative des Etats de l’Union, en tous cas de la zone euro.


2 - L’Europe, ce n’est pas seulement une économie, c’est un projet de société, des valeurs humanistes.

Ceux qui ont voulu limiter l’union de l’Europe à un marché ont trahi l’idéal européen. L’Europe ne peut pas se résumer à la défense de la concurrence en tous domaines et sur tous sujets. Pour nous, démocrates français et européens, l’exigence sociale, civique et écologique doit servir de point de repère. Ce sont les valeurs de l’humanisme européen qui doivent maintenant être défendues, notamment dans nos relations avec les autres puissances mondiales.
Nous proposons que l’exigence sociale, démocratique et écologique soit placée au même niveau que la concurrence.


3 - En Europe, la compétition doit être rendue équitable.

Nous ne pouvons pas continuer à imposer à nos entreprises, à nos agriculteurs, des normes légitimes et justes, par exemple en matière d’environnement, et accepter qu’entrent chez nous des produits qui ne les respectent pas.
Nous demandons l’équité : les produits qui entrent en Europe doivent être soumis aux mêmes règles que ceux que nous fabriquons chez nous et l’Europe doit les aider à y parvenir.


4 - L’Europe, affaire de citoyens.

Les gouvernants de nos paus et les dirigeants européens préparent toutes les décisions entre eux, dans le secret, sans que nul en soit informé. Des choix très importants, qui nous concernent tous, sont ainsi décidés. Cela ne doit plus être accepté par les peuples. Pour nous, toutes les décisions qui concernent l’avenir des citoyens européens doivent être prises en pleine lumière : c’est aussi notre affaire de citoyens.
Nous proposons que les délibérations des gouvernements, au sein du conseil, soient publiques, télévisées, ou diffusées sur internet. Nous proposons que toute préparation de décision de l’Union soit annoncée aux citoyens, sauf urgence, trois mois avant d’être prises, par voie de presse, de manière qu’ils puissent donner leur avis et saisir leurs députés européens.


5 - L’Europe ne peut pas organiser la concurrence sauvage des Etats européens entre eux.

Elle doit, au contraire, les conduire à la coopération. Depuis des années, chaque pays essaie de marquer des points contre les autres. C’est une démarche vouée à l’échec et qui conduit à une impasse.
Nous proposons que soit mis en place une harmonisation fiscale qui permette une coopération et non pas des politiques de dumping qui visent à voler les entreprises des uns pour les installer chez les autres.


6 - Le savoir et la connaissance priorités de l’Europe.

Nos pays développés savent désormais que la mondialisation donnera la victoire aux mieux formés, à ceux qui maîtriseront le mieux les découvertes scientifiques et les nouvelles technologies.
Nous proposons un doublement progressif du budget européen pour la recherche et, en liaison avec les Etats membres de l’Union, une aide efficace au dépôt de brevets.


7 - Pour que l’Europe agisse dans des domaines aussi importants que la recherche, il lui faut des moyens réels.

Un budget limité à 1 pour cent de la production annuelle, c’est infiniment trop bas. D’autant que ce budget est utilisé pour la moitié par la politique agricole (essentielle).
Nous proposons un budget européen dont le volume serait décidé par le parlement européen et alimenté par un impôt unique sur l’ensemble des pays de l’Union, par exemple un prélèvement sur les transactions bancaires et boursières.


8 - L’Europe, zone de sécurité.

En Europe, il n’y a pas de frontières pour les réseaux de criminels ou pour les mafias, mais policiers et juges sont eux, arrêtés par les frontières. La partie n’est pas égale et tous les trafics, y compris de drogue et d’êtres humains, en profitent de jour en jour davantage.
Nous proposons un procureur européen avec autorité sur les polices et les autorités de poursuite de chacun de nos pays.


9 - La responsabilité de l’Europe en matière de politique agricole est plus importante que jamais.

En cette matière si sensible, qui touche à notre alimentation, à notre environnement, à notre paysage, à l’avenir de l’espèce humaine, notre approche ne peut pas être seulement de marché.
Nous défendrons une politique européenne d’agriculture de qualité qui visera à la fois la sécurité alimentaire de l’Europe, l’exigence environnementale, et le maintien d’un vrai tissu d’exploitations agricoles de taille humaine.


10 - Aucun des progrès nécessaires de l’Europe ne pourra se faire sans volonté politique.

L’organisation à 27 est souvent paralysante, les discussions sont interminables, il n’en sort rien. Plus la crise avancera, plus le monde deviendra incertain, plus il nous faudra coopérer pour avancer.
Nous défendrons l’idée d’une avant-garde européenne, qui sera capable de faire bouger les choses. Pour nous, c’est la zone euro, les seize pays qui ont une monnaie unique en partage qui doivent former cette avant-garde. Libre aux autres pays de les rejoindre pour renforcer l’ensemble.


11 - Il faut convaincre les Européens que l’Europe n’écrase pas leur identité, au contraire qu’elle la garantit.

Pour nous, Français, la Nation est un bien commun. La langue française, la création culturelle sont protégées : elles doivent l’être encore plus efficacement. Les régions sont une richesse de l’Europe, elles doivent être mises en valeur, avec leur langue et leur culture. L’Europe est un vivier d’identités et de cultures.
Nous défendrons l’Europe qui garantit les identités, les modes de vie, les langues et les cultures sur son sol et dans le monde.


12 - L’immigration est la partie visible du plus grand drame de l’humanité : le sous-développement et la pauvreté.

Comme ils ne peuvent plus vivre chez eux, les immigrés prennent tous les risques pour passer nos frontières. Seule une politique d’ensemble, associant tous les pays européens, pourra répondre à ce drame. Mais la vraie réponse, la seule qui compte, c’est le développement.
Pour nous, il faut mettre un terme aux politiques de pillage et de corruption du tiers-monde que nous appelons le monde abandonné. Il faut protéger leurs marchés, leur permettre de produire ce qu’ils mangent et de fabriquer ce qu’ils consomment, et cesser de piller leurs matières premières. Pour cela, la lutte contre les paradis fiscaux qui abritent l’argent de la corruption est un impératif. Nous proposons qu’on ne reconnaisse plus en Europe, les contrats signés avec les paradis fiscaux.

29 mars 2009

Marc DUFOUR en 3ème position sur les européennes

dufour.jpgOn se souvient qu’à la suite du vote des adhérents en Février dernier, les têtes de liste pour les élections européennes avaient été aussitôt proclamées. Pour notre “région européenne” - qui va de l’Atlantique landaise à la Méditerranée languedocienne, en couvrant au passage toutes les Pyrénées - les têtes de liste du Mouvement Démocrate choisies sont Robert ROCHEFORT et Anne LAPERROUZE (députée sortante).

 

Il restait cependant à nommer les candidats suivants pour compléter la liste de cette région.

 

Nous avons appris qu’en troisième position sur cette liste, François BAYROU a désigné, pour représenter le Languedoc-Roussillon, Marc DUFOUR, Président du Mouvement Démocrate de l’Hérault, Adjoint au Maire de MONTPELLIER.

 

Toutes nos félicitations à cet excellent ami, proche de Corinne PONCE-CASANOVA et François VAN DE VILLE qui étaient près de lui, on s’en souvient, ses colistiers gardois lors des dernières élections régionales.

 

Un regret cependant : notre Président gardois - Philippe BERTA - qui occupait cette même 3ème position lors des précédentes élections européennes - n’a pas été retenu par François BAYROU pour représenter de nouveau notre région sur cette liste. Mais il ne faut voir dans ce “jeu de chaises” aucune intention particulière mais la reconnaissance de la montée en puissance de la Fédération de l’Hérault depuis sa reprise en mains énergique par Marc DUFOUR.

 

Bravo donc à notre ami et bonne chance à toute cette équipe qui peut compter sur l’entier soutien de notre Fédération gardoise.

19 mars 2009

Régis VEZON, Délégué Départemental

vezon.jpgRégis VEZON vient de recevoir de François BAYROU la notification officielle de sa nomination comme Délégué Départemental du Mouvement Démocrate du GARD.

 

Il devient ainsi le "bras droit" du Président Philippe BERTA et de son équipe collégiale.

 

Régis VEZON n'est pas nouveau dans ce type de fonction : il avait déjà été nommé aux mêmes fonctions voici plusieurs années par François BAYROU à la période où le Mouvement Démocrate s'appelait alors.... l'UDF. C'est à  ce titre que, selon les statuts de l'UDF, il a rempli les fonctions de Président Départemental pendant la période intérimaire où son ancien Président - Mr Yvan LACHAUD - avait démissionné (Mai 2007) et l'élection du nouveau Président - Philippe BERTA - en Septembre 2008, période de transition difficile où il a su conduire notre Mouvement (naissant) avec tact et rigueur.

 

Félicitations au "nouveau" Délégué et pleine réussite à sa mission.

COMMUNIQUÉ OFFICIEL

COMMUNIQUÉ OFFICIEL

du MOUVEMENT DÉMOCRATE du GARD

 

Il est faux de prétendre que la France est moins touchée par la crise que les autres pays.


Pour le Mouvement Démocrate du GARD, des décisions urgentes s’imposent :

 

  • Créations d’emplois : afin de ne pas les décourager en une période où le chômage est redevenu un fléau national, il faut annuler immédiatement l’exonération des charges sociales sur les heures supplémentaires
  • Formation des futurs enseignants : le gouvernement veut faire croire qu'il veut améliorer le niveau de professionnalisation en mettant le niveau de recrutement à BAC + 5. La réalité, c'est que la stagiairisation disparaît grâce à ce tour de passe-passe (économie de 12.000 euros pas professeur reçu au concours). Le plus grave est que les futurs Professeurs des Ecoles sortiront pour certains sans avoir testé des pratiques pédagogiques comme c'était le cas dans les IUFM et les anciennes Ecoles Normales
  • Enseignement supérieur : il faut éviter que l’autonomie soit synonyme de privatisation confiée à des barons locaux. Les projets actuels de décrets doivent être annulés. La fonction d’enseignant doit être réhabilitée par la création d’une prime pédagogique accordée sous le contrôle du Conseil National des Universités, et non pas laissée à la seule discrétion des Présidents d’Universités. En plus, si l’on veut que nos Universités soient à la hauteur des enjeux face aux grandes écoles, l’encadrement doit être renforcé dans de nombreuses disciplines. Les chercheurs doivent cesser d’être pénalisés selon des critères purement subjectifs.


L’attitude actuelle du Président de la République ne cesse de créer de nouvelles polémiques pour diviser les français entre eux. Les exemples se multiplient :

 

  • Information : nomination des Présidents de chaîne à la discrétion du Président
  • Finances : nomination, en dépit de toutes règles déontologiques, des responsables de groupes par le pouvoir
  • Justice : mainmise accrue sur les nominations des juges
  • Institutions : réformes à la va-vite pour accentuer la mainmise de ce même pouvoir
  • Etc...

 

L’heure présente et la gravité de la situation imposent, tout au contraire, un rassemblement urgent de tous les français unis dans une plus grande solidarité et plus de justice sociale pour gagner ce combat. C’est ce que réclame le Mouvement Démocrate du GARD.


C’est pour affirmer cette volonté que le Mouvement Démocrate du GARD est solidaire des manifestations du 19 Mars.


Philippe BERTA

Président du Mouvement Démocrate du Gard


Régis VEZON
Délégué Départemental du Mouvement Démocrate

14 mars 2009

BAYROU ACCUSE ELKABBACH

Débat très vif sur l'antenne d'Europe 1 entre François BAYROU et  Jean-Pierre ELKABBACH sur l'intégration de la France dans le commandement de l'OTAN. Beau morceau de bravoure.

13 mars 2009

UN EMPRUNT EUROPÉEN FACE À LA CRISE ?

drapeau.jpgBernard LEHIDEUX, Député européen du Mouvement Démocrate, n'est pas peu fier : le Parlement européen a adopté ce mercredi 11 Mars un amendement au rapport Ferreira sur le plan de relance, qu'il a déposé au nom des eurodéputés bayrouistes.

 

Cet amendement, qui reprend une proposition de François BAYROU, «invite les États-membres, notamment ceux faisant partie de la zone euro, à étudier la possibilité d'un grand emprunt européen, garanti solidairement par les États-membres».

 

Quelques élus de l'UMP, comme Jacques TOUBON, Alain LAMASSOURE ou Margie SUDRE, ont voté l'amendement LEHIDEUX.

 

Le Président SARKOZY saura-t-il répondre positiverment à cette invitation pour donner, enfin, une dimension européenne aux aides nécessaires pour traverser cette crise ?