Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

04 novembre 2009

DROIT DE RÉPONSE

Se référant à une déclaration dilatoire et mensongère, sans aucun fondement, d'un des adhérents du Mouvement Démocrate du GARD en mal de candidature - lequel, selon nos informations, flirterait actuellement avec un groupe de l'UMP régionale pour obtenir une place "éligible" sur sa prochaine liste aux élections de Mars prochain - Mr Richard TIBÉRINO, de son côté, ex-Conseiller Général, Adjoint UMP au Maire de NÎMES, s'est autorisé à relayer cette déclaration dans un hebdomadaire nîmois daté du 29 Octobre 2009 pour vilipender notre Mouvement.

 

Mettant en cause nommément le Président Philippe BERTA et Mr Régis VEZON, Délégué Départemental, un communique de presse, signé par ce dernier, a été diffusé sous forme de "droit de réponse".

 

En voici la teneur :

 

"Mr Richard TIBÉRINO, formé à l’école de son maître, l’actuel occupant de l’Élysée - son mentor du moment après tant d'autres - s’imagine que tous les responsables politiques sont, comme lui, rompus aux combinaisons tordues et hasardeuses, comme aux sombres calculs d’intérêt électoral à courte vue.

Il se trompe une fois de plus.

Le Mouvement Démocrate, fidèle à sa ligne, a su, au prix fort, se libérer des alliances stériles pour gagner sa liberté d’action et de proposition dans la défense des valeurs de la République aujourd’hui bafouées à l’outrance. Ce n’est pas pour retomber, maintenant ni demain, dans le piège d’autres combinaisons douteuses.

Des choix ont été faits. Le Mouvement Démocrate y reste fidèle, quelqu’en soit le prix. Il sait qu’à terme les français reconnaîtront la valeur de sa démarche. Toute autre supposition, née dans l’esprit de Mr TIBÉRINO et de ses collatéraux, relève de la politique-fiction."

Régis VEZON
Délégué Départemental du Mouvement Démocrate du GARD

03 novembre 2009

À PROPOS DE L'IDENTITÉ NATIONALE

"À PROPOS DE L'IDENTITÉ NATIONALE". Ce sujet fait actuellement (faussement) débat. La ficelle est un peu grosse.... Ce n'est pas le rôle des politiques....


Sujet d'actualité abordé dans un récent billet par François VAN DE VILLE. Pour nourrir un peu ce débat tronqué.

NOTRE COMBAT POLITIQUE, NOTRE COMBAT DE DÉMOCRATES

TRIBUNE LIBRE

de Ivan GABRIÈLE

(Conseiller National des Jeunes Démocrates)


Y.Gabriele.jpgNous vous recommandons particulièrement la lecture de cet (excellent) article d'un Jeune Démocrate "Notre combat politique, notre combat de démocrates" écrit par Ivan GABRIÈLE, Conseiller National des Jeunes Démocrates, Président des JDem (42), et chef d'entreprise à AGEN.

 

Concis et percutant de vérité et de sincérité.

 

À méditer....

02 novembre 2009

CANDIDATURES AUX RÉGIONALES

En vue des élections régionales de Mars prochain, un "appel à candidature" a été adressé à tous nos adhérents par le Président BERTA.


Il insistait notamment sur la nécessité de la parité hommes-femmes pour les 20 sièges à pourvoir dans le GARD.


Son appel a été entendu au-delà de toute espérance : nous avons enregistré 9 candidatures masculines et.... 9 candidatures féminines ! (Une seule féminine est en cours de confirmation officielle, non reçue ce jour). 18 candidats pour 20 sièges à pourvoir : c'est un taux de réussite de 90% de notre mouvement gardois !


Les noms de ces candidat(e)s seront publiés ici dès confirmation de leur recevabilité. Il s'agit, évidemment, de "candidatures à la candidature" adressées directement au siège parisien de notre Mouvement, comme cela avait bien été précisé dans le message du Président BERTA.


Bravo, Mesdames ! Et, bien sur, bravo aussi aux valeureux candidats du "sexe fort".


Ceci préfigure une bonne campagne dans notre département pour défendre les couleurs de nos candidats. Et démontre aussi que, dans notre mouvement gardois, il y a une volonté certaine de participer activement à ses actions, autour des dirigeants qu'il s'est choisis pour mener nos futurs combats.

L'IDENTITÉ FRANÇAISE ET SES VALEURS

L'IDENTITÉ FRANÇAISE ET SES VALEURS


par Guillaume CASTILLE

Président des Jeunes Démocrates du GARD

(Tribune Libre)


G.Castille.jpgINTRODUCTION :


Nicolas Sarkozy est un politicien très habile : chaque fois qu’il est en difficulté, et pour détourner l’attention  des français, il trouve un sujet à débattre. Hier c’était la sécurité ; puis ce fut l’immigration. Et aujourd'hui, il nous remet çà : toujours l’immigration, mais présentée sous une autre forme et incluse dans un débat élargi à "l’identité française".

C’est l’art de noyer le poisson avant une échéance électorale qui ne se présente pas au mieux pour lui et son gouvernement. Et demain, pas plus qu’hier, on n’aura pourtant de réponse à la nouvelle question posée. Mais, au moins, pendant quelques mois, on aura occupé l’esprit des français et on ne parlera plus des sujets bien plus préoccupants que celui-là, ni des difficultés à mobiliser une majorité qui devient de plus en plus rebelle face à l'entêtement de son guide suprême.

Puisque, contraints et forcés, il va donc s’ouvrir dans quelques jours le débat annoncé, disons qu’on peut commencer à se poser quelques questions. Ce qui ne veut pas dire qu’on en a les réponses, loin de là !

LES QUESTIONS QU'ON PEUT SE POSER :


  • La définition de l’identité ?

L’identité définit en principe l’origine, l’histoire et l’état de toute chose. Il existe plusieurs identités : celle culturelle, celle sociale, et encore celle historique.


  • Peut-on  vouloir définir l'identité nationale ?

L’identité nationale se construit au cours du temps. Elle  est accepté ou pas. Mais  vouloir définir son identité, c’est comme usurper sa propre identité : c’’est une forme de négationisme, ou de réécriture de l’Histoire.


  • L’identité nationale a t elle des valeurs ?

Non ! L’identité n’a pas de valeurs à proprement parler car cela reviendrait à dire que la Nation n’a pas d’avenir et que l’on fige dans le temps l’histoire et la culture d’un peuple. Le problème essentiel demeure dans le fait qu’historiquement, la France ne s’est jamais constituée autour d’un Peuple : elle s’identifie autour de concepts. Ces concepts ont évolué au cours du temps et elles sont maintenant universelles. Telle la laïcité, la fraternité, l’égalité ou la liberté...


  • Les valeurs françaises ne seraient-elles pas identitaires ?

En effet ! L’identité, au cours du temps a emprunter certaines voie tel la ruralité, la religion catholique, l’humanisme , le colonialisme , le berceau de mouvement culturel divers. Tout ceci a varié au fil des époques. Il serait vraiment indécent de vouloir ramener un esprit "français" à quelque chose de fixe. Ce serait dès lors oublier la diversité de la France, son histoire cosmopolite et sa complexité. De plus, pour moi, si je devais rentrer dans ce débat, on pourrait affirmer qu’on ne nait pas Français. On accepte de l’être du moment que l’on en accepte ses concepts universels et que l’on en parle la langue.


  • Est-ce que l’identité se résumerait à la langue ?

Oui, en partie ! Apprendre la langue française, c’est vouloir partager et s’imprégner de la culture française, donc c’est déjà être un peu français. C’est la seule condition identitaire invariable à mon sens, même si celle-ci peut se mêler à d’autres racines régionales.


  • Les vrais raisons de ce débat ?

Comme je le disais en introduction, ces raisons sont donc juste électoralistes. Sinon elles ouvriraient la boîte des heures les plus sombres. Le problème de l’UMP est clair : pour les régionales, s’il veut gagner des régions, il faut que le FN ne soit pas au dessus de 10 % ! Donc Mr Sarkozy chasse sur ces terres d'un électorat certes affaibli mais cependant bien vivace.


  • Ne peut-on pas débattre de ce que l’on souhaite comme valeur pour la Patrie ?

Si, bien sur ! Mais le débat ne peut se faire sur une définition du passé : le chemin politique à suivre ne peut se proposer aux Français qu'au travers des élections et il ne peut être affirmé au travers d’un vulgaire ministère politique. Je n’oublie pas que la dernière fois que l’on a emprunté cette voie-là, ces valeurs s’écrivaient "Travail, Famille, Patrie".

L’on sait ce qu’il en est advenu.

30 octobre 2009

LA DROITE FRANÇAISE EN DÉLIQUESCENCE

TRIBUNE LIBRE

de François VAN DE VILLE

 

prison.jpgSous le règne de Nicolas SARKOZY, la droite française, aujourd’hui, se délite.

Un ancien Président de la République envoyé en justice, un ancien Premier Ministre impliqué (faussement ?) dans une affaire de délation, un ancien Ministre de l’Intérieur condamné à la prison, l’actuel Président (qui a toute autorité sur le parquet) se portant partie civile dans un procès et désignant, avant tout jugement, le “coupable”, ce même Président tentant de “pistonner” son fils pour lui faire confier les plus hautes responsabilités (comme d’ailleurs aussi ses amis et autres relations personnelles), toujours ce même Président nommant à la tête d’EDF un dirigeant de groupe privé, lequel gardera parallèlement ses anciennes fonctions dans ce groupe, l’Élysée devenu une réunion de courtisans idolâtres jusqu’au ridicule : la droite française est aujourd’hui en très mauvaise passe.

Faut-il s’étonner, que le désir d’alternance au règne de Mr SARKOZY et de son système de gouvernance, ne cesse de croître, même chez ceux qui, hier, étaient ses plus fidèles partisans ?

Toutes ces affaires, consternantes pour l’image même de la France et de ses institutions, se retournent aujourd’hui contre leur auteur. Trop, c’est trop. Le règne de Mr SARKOZY est compromis. Son avenir aussi.

François VAN DE VILLE

27 octobre 2009

LA DOUCHE À 245.000 € de Mr SARKOZY

douche.JPGLe journal "Le Monde" fait état d'un rapport officiel de la Cour des Comptes qui dénonce la folie des grandeurs de Mr Sarkozy et de l'argent qu'il fait dépenser (inutilement) pour son prestige personnel. Dont, entr'autres, 245.000 euros pour une douche "high-tech" personnelle qu'il s'est fait installer.... et qui n'aurait jamais servi !

 

Faramineux et édifiant !

25 octobre 2009

DES LISTES AUTONOMES AU 1er TOUR

Le Conseil National du Mouvement Démocrate s'est réuni à PARIS ce samedi 24 Octobre.

 

À l'issue d'un - bon et long - débat, le Conseil National a décidé que le Mouvement Démocrate présenterait partout, à l'occasion des prochaines élections régionales, des listes autonomes au 1er tour sans aucune alliance avec quelque mouvement (ou qui) que ce soit.

 

Enfin une ligne claire qui met fin aux spéculations les plus diverses qui naissaient ici ou là !

 

Mme Lepage ("Cap21") qui, elle, préconisait une alliance dès le 1er tour avec "Europe Écologie" ("les Verts") a dit regretter cette décision qui, désormais, s'impose cependant à tous.

 

Des alliances seront évidemment envisageables pour le 2ème tour selon les résultats recueillis au 1er. Mais, en aucun cas, il ne pourra s'agir de "ralliements" ou d'abandon de notre propre projet au profit d'autres portés par d'autres groupes politiques. Nous devons afficher nos valeurs et une ligne parfaitement claire.

 

Voir ci-après, en pièce jointe, le "relevé officiel" des décisions prises lors de ce Conseil National.


CN_241009-Releve-decisions.pdf

23 octobre 2009

"L'AFFAIRE" Jean SARKOZY

TRIBUNE LIBRE

de François VAN DE VILLE

 

Dans cette “affaire”, il y a un gagnant et un perdant.

Le gagnant : il convient de saluer la clairvoyance de ce jeune homme qui a vite perçu l’ambiguïté de sa candidature et a eu la sagesse de la retirer afin d’éteindre le feu qui gagnait de tous bords, et risquait même d’enflammer le vaisseau familial. Après avoir moi-même combattu, comme beaucoup, cette candidature hors toutes formes établies, je reconnais là une maturité qui l’honore. Je gage que ce jeune homme, dès lors qu’il aura fait ses premières armes et gagné quelque compétence que seule l’expérience et le travail sur le terrain pourront lui donner, je gage qu’il ira loin...., si un autre chausse-trappe ne lui est de nouveau tendu par les circonstances et un entourage dont il devrait se méfier, y compris celui du clan paternel.

Le perdant : c’est le papa président. S’imaginant que, parce qu’il a été élu par le suffrage universel, il pouvait tout se permettre, tel un monarque de l’ancien régime, dans cette aventure où il avait lancé fort imprudemment son fils cadet sur le devant de la scène, il a pu mesurer les limites de son pouvoir et celle des effets de cour. Pour lui, la leçon est sévère : il n’est plus le monarque qui peut tout se permettre. Et son fils a été plus sage que lui et lui a administré une magistrale leçon de modestie. C’est un mauvais coup pour le papa qui se croyait devenu omnipotent.

On peut être orgueilleux par nature, mais on doit rester modeste par nécessité.

22 octobre 2009

LES TICKET-RESTAURANTS EN MAIRIE DE NÎMES

ticket.jpgLe Midi Libre de ce 21 Octobre évoque de nouveau, en page 2 de son édition de Nîmes, la question des ticket-restaurants au personnel municipal.

Quoique n’étant plus élu municipal ni en charge du personnel - et que je veuille exercer un droit de réserve absolu sur les décisions prises par la nouvelle équipe et ceux qui ont en charge cette lourde délégation  - je dois rappeler que cette question des ticket-restaurants est une très vieille revendication que j’avais déjà en mains pendant les années où j’en avais la délégation (2001-2003).

Les études que j’avais fait alors entreprendre sur ce sujet m’avaient conduit à être favorable à l’instauration de ces tickets et j’avais alors présenté un projet de mise en place de ce système de rémunération ; lequel, s’il est bien assorti de certains avantages en matière de charges pour l’employeur, a aussi un certain coût financier qui, on le conçoit, peut faire reculer les décideurs financiers dans le cadre d’une gestion purement comptable.

Ma proposition d’instauration avait donc été rejetée pour ce motif.

Mais, au-delà de toute polémique, je maintiens que je reste favorable à cette instauration : si, dans un cadre comptable étroit on peut en effet être porté à rejeter ce système en raison de son coût relatif, j’avais alors considéré qu’il fallait aussi élargir le champ de vision et voir les retombées économiques que ce système aurait sur l’économie nîmoise, et particulièrement sur les métiers de bouche (*). Ce serait pour eux un booster non négligeable : et, comme beaucoup, ils en ont besoin. C’est pourquoi, vu sous cet angle, j’étais favorable à l’instauration de cet avantage salarial.

C’est donc une question de culture et de stratégie économique globale. Mais c’est surtout un choix politique.

Même si je respecte celui en vigueur actuellement, je n’en partage pas pour autant sa vision.


François VAN DE VILLE

Ex-élu municipal de Nîmes en charge du personnel

Ex-Conseiller d'Orientation au Centre National de la Fonction Publique Territoriale

 

(*) : le personnel municipal de Nîmes représente plus de 2.000 agents titulaires.