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02 février 2009

UN NOUVEAU SITE GARDOIS

vezon.jpgDans la rubrique ci-contre des "Sites amis à visiter" - tous membres gardois de notre mouvement, , nous avions déjà (par ordre alphabétique) : François (VAN DE VILLE), Guillaume (CASTILLE), Ludovic (BOUIX), Maxime (COUSTON), Michel (ESCATAFAL), Saïd (MOUMEN).

À cette liste vient de se rajouter le nouveau site de Régis VEZON, notre Délégué Départemental.

Quand on connait sa plume acérée, au service du fin politique qu'il est, gageons que ce site sera désormais parmi ceux les plus intéressants à visiter.

Bonne route, Régis.

01 février 2009

"LA" MOTION DE CENSURE VUE PAR....

Dessin politique MoDem Bayrou motion de censure

31 janvier 2009

RÉUNION DU GROUPE "EUROPE"

Le groupe "Politique sociale", présidé par Bernard Lehideux, Député européen, et animé par Stéphane le Bouler se réunira à NÎMES le

Vendredi 6 février à partir de 18h00

pour un débat-public autour du thème "L'Europe face aux quartiers difficiles. La reconversion traité par l'exemple : le quartier de Valdegour (ZUP nord) à NÎMES".

Cette réunion se fera à l'Association AJRONAA, 26 promenade Newton à Nîmes. Entrée libre. Venez nombreux discuter sur un sujet sensible au cœur même de ce quartier.

29 janvier 2009

100.000

100.000 !

Vous êtes, depuis cette semaine de Janvier, désormais plus de 100.000 à avoir ouvert ce site....

Quand, le 10 Mai 2007, lors de sa réunion à La Mutualité à Paris qui réunissait plus de 3.000 adhérents, le Conseil National de l'UDF a décidé que désormais l'UDF s'appelait le Mouvement Démocrate, sitôt rentré sur Nîmes, le site de l'UDF du GARD était supprimé et un nouveau site naissait : celui du "Mouvement Démocrate du GARD".

D'abord "site officiel" du Mouvement dans le GARD, mais pour laisser place à une totale liberté d'expression et accueillir qui voulait faire passer un message ou son propre point de vue sans passer par les contraintes de quelque censeur "officiel" que ce soit (site "officiel" oblige), ce site est devenu un site "libre", couvrant ensuite tous les évènements - notamment électoraux - qui se sont déroulés en France et auquel notre Mouvement participait, tant localement que nationalement.

Son succès, la fidélité de ses lecteurs ne se sont jamais démentis depuis. Et vous avez franchi, cette semaine de Janvier, le cap des 100.000 visiteurs, avec 241 articles en ligne et 172 commentaires libres d'expression.

Bravo et merci de votre confiance. Nous nous efforcerons de continuer de faire de ce site un lieu d'échanges entre citoyens que réunit leur volonté de créer et soutenir en France un Mouvement puissant de démocratie et de liberté.

François BAYROU COMPREND mais NE PARTICIPE PAS

"François BAYROU comprend la journée de manifestations et partage l'inquiétude des grévistes. Mais il ne souhaite pas défiler car il n'aime pas la récupération politique".

Lire l'article du Nouvel Observateur de ce 29 Janvier.

28 janvier 2009

MARIELLE DE SARNEZ : SARKOZY PORTE ATTEINTE AUX LIBERTÉS PUBLIQUES

sarnez.jpg

Sarkozy porte atteinte aux libertés publiques

Lire l'interview de Marielle de Sarnez à propos des atteintes portées par le Président aux libertés publiques.

Ce qui justifie le vote de la motion de censure oar les députés du Mouvement Démocrate, dont François BAYROU.

CONSOMMATEURS EN DANGER

CONSOMMATEURS, VOTRE SÉCURITÉ EST EN DANGER

VOTRE PROTECTION EST EN DANGER

Voir et signer la pétition organisée par les agents de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) dont la mission semble remise en cause.

 

LES ENSEIGNANTS EN GRÈVE

Dessin manifestation enseignants

MOTION DE CENSURE

TRIBUNE LIBRE

Rarement nos libertés publiques se sont trouvées autant menacées. Que ce soit dans le domaine judiciaire (où l’indépendance de l’instruction n’est plus assurée, je l’ai déjà exposé dans un récent billet), celui médiatique (où nous serons le seul pays du monde libre où les directeurs de médias publics seront nommés directement par l’exécutif), ou encore celui législatif (où, prétextant de malhabiles usages d’obstruction au Parlement, on tente de la museler purement et simplement), des libertés essentielles sont aujourd’hui captées par le pouvoir qui en prend la maîtrise sans partage. Cette liberté est saisie de par la Loi et nos institutions : aucun républicain ni aucun démocrate ne peut accepter de tels et si graves manquements.

Je partage sur ce point le combat de tous les démocrates et, particulièrement, celui de François Bayrou qui, dès le début de sa campagne présidentielle, avait si bien perçu ce danger. Les faits se vérifient désormais journellement.

Ce mardi 27 Janvier, le groupe socialiste, sous la houlette d’une revenante de temps révolus - Mme Martine Aubry - et pour marquer son retour sur la scène politique, a présenté et défendu un contre-projet à l’actuel plan de relance gouvernemental sous forme de motion de censure. J’ai déjà dit (voir mon billet à ce sujet) l’insuffisance de ce plan, ou du moins son caractère fallacieux puisque, pour l’essentiel, il consiste à faire payer par l’état les énormes dettes qu’il devait aux collectivités. C’est, en fait, avaliser qu’il est normal que l’état puisse ne pas payer ses dettes, ce qui est inadmissible dans son principe. Et ces sommes ne peuvent constituer un plan de relance, hormis redonner une trésorerie confisquée à des collectivités qui en étaient durement et coûteusement dépourvue.

Le plan de Mme Aubry reprend, lui, la plupart des recettes du passé qui, toutes, ont échoué. Vouloir notamment relancer la consommation quand, déjà, notre appareil de production ne suffit pas à la demande, c’est vraiment mettre la charrue devant les bœufs. C’est du Mitterrand/Mauroy premier cru 1981 : on connaît la suite. En fait c’est revivifier nos importations et stimuler l’emploi dans les pays fournisseurs étrangers, pour l’essentiel ceux d’Asie et à faible coût de main-d’œuvre. Mme Aubry démontre qu’elle n’a décidément rien compris à rien, ni rien retenu des leçons d’un passé pourtant récent. C’est relancer aussi le chômage, les décentralisations vers les pays émergeants et l’inflation dans nos murs. Désastreux. Tout au plus pouvait-on se joindre à cette idée qu’en contrepartie des milliards prêtés aux banques et aux grandes entreprises, l’état exerce un droit de regard sur l’usage qui en est fait, notamment en participant, jusqu’au remboursement de ces prêts, aux conseils d’administration avec voix délibérative et en incitant, pour les banques, un véritable soutien du crédit.

Personne ne se faisait donc d’illusions sur le sort final de cette motion de censure dans un Parlement très largement acquis au Président de la République : il y a tellement de députés qui lui doivent leur propre siège....

La prise de position de François Bayrou au cours de ce débat parlementaire m’a pourtant surpris. Par des déclarations largement répandues où il marquait sa volonté de défendre les libertés fondamentales (que j’évoque plus haut), le voici se glissant soudain dans le contre-plan de relance socialiste. Quel rapport y avait-il entre ces libertés et ce contre-plan ? Je n’ai pas trouvé la réponse.

Cette prise de position crée une nouvelle et inutile confusion. Sa voix apportant son soutien à un plan socialiste indéfendable n’apporte rien sur le fond des idées qu’il défend. Aujourd’hui, face à l’opinion publique, François Bayrou se marque encore une fois allié d’une désuète idéologie socialiste - revue et corrigée à la mode Aubry - avec laquelle nous ne partageons désormais plus grand-chose.

Quel était l’objectif réel de François Bayrou ? J’ai quelque mal à le saisir. À moins de faire une O.P.A. médiatique à bon compte sur le P.S. qui se trouve, bien malgré lui, flanqué d’un allié qu’il n’attendait pas. Qu’il ne souhaitait peut-être pas du tout d’ailleurs à ses côtés ? Cela valait-il la peine de brouiller l’image de notre Mouvement par une nouvelle compromission d’opportunisme dont je cherche la réelle utilité.

La politique a parfois de ces méandres dont on a quelque peine à suivre le cours. Celui-là, j’ai aujourd’hui quelque difficulté à le suivre. Mais je connais trop le diable d’homme qu’est notre ami Bayrou : quel tour nouveau à sa manière nous cache-t-il aujourd’hui ? Demain nous le dira.

François VAN DE VILLE

22 janvier 2009

SÉGOLÈNE ROYAL : UN CONTRE-EXEMPLE POUR OBAMA

"Oui, j'ai inspiré Obama et ses équipes nous ont copiés".

Voilà l'étonnante déclaration de Ségolène Royal à Washington, présente, mais non comme invitée, à l'investiture du nouveau Président américain (alors que de nombreuses personnalités françaises avaient, eux, leur carton).

À lire cette déclaration (à moins qu'il s'agisse d'une note d'humour), les bras nous en tombent : quelle mouche a donc piqué la candidate à la présidence française ? Soudaine folie des grandeurs ? Il est vrai que depuis son show à grand spectacle au Zénith, les interrogations s'additionnent à son sujet.

L'hebdomadaire "L'EXPRESS" publie cette semaine un intéressant point de vue qui rétablit la vérité sur ce sujet : on est loin du mythe.