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18 février 2014

À BELLEGARDE : Bernard BON (MoDem) JETTE L'ÉPONGE

mouvement démocrate,bayrou,politiqueMr Bernard BON, ancien Maire-Adjoint de Bellegarde qui avait rendu ses délégations l’été dernier pour son désaccord avec le mode de gouvernance du Maire sortant, investi ensuite officiellement par le MoDem pour être présent sur une liste en formation avec des personnalités de la société civile et d’autres membres de l’UMP et de l’UDI sur cette commune, vient d’annoncer qu’il se retirait de la compétition en raison du climat délétère qui se développe au sein de cette liste pour des motifs essentiellement d’intérêt politique.

Voici le communiqué de presse qu’il nous a remis pour nous faire part de sa décision :


Bernard BON, ancien Adjoint au Maire, Délégué Départemental du Mouvement Démocrate (MoDem), sollicité, à l'occasion des prochaines élections municipales, pour se joindre à une liste en voie de constitution dénommée “Bellegarde 2014” soutenue notamment par l'UMP et l'UDI, désireux lui-même de rester au service de ses concitoyens, a décidé de se joindre à cette équipe dans le but d'apporter aux bellegardaises et aux bellegardais le renouveau auquel ils aspirent pour donner une dynamique nouvelle à leur cité.

Hélas, il doit constater, depuis peu, le comportement regrettable de certains membres de cette future équipe qui, au lieu de se concentrer sur les objectifs à proposer à nos concitoyens, semblent donner priorité à des débats partisans et manœuvriers contraires à l'esprit d'entreprendre au service de tous.

Par voie de conséquence, Bernard BON a estimé devoir se retirer de cette équipe.

Il le regrette sincèrement et remercie celles et ceux qui lui avaient témoigné leur amitié et soutenu sa candidature. Il fonde cependant ses espoirs dans la construction d'un centre rassembleur, dans le cadre de L'Alternative UDI-MODEM, qui pourra réunir à l'avenir celles et ceux des citoyens soucieux prioritairement de l'intérêt général au service de tous.

 

COMMUNIQUÉ du MoDem du GARD : Sachant les compétences reconnues et le dévouement sans faille dont avait su faire preuve Mr Bernard BON pendant les 5 années où il avait été chargé de délicates et lourdes délégations au sein de la municipalité sortante (jusqu'à sa courageuse décision de les remettre l'été dernier à la disposition de son Maire), le MoDem du GARD regrette que des ambitions internes au sein de la liste en formation aient détourné celle-ci des missions qu'elle doit remplir prioritairement au seul service de leurs concitoyens et non d'intérêts partisans dictés de l'extérieur. Le MoDem du GARD félicite son Délégué départemental d'avoir su prendre de nouveau la courageuse décision qui s'imposait devant ces dérives inacceptables. Il comprend et partage ses sincères regrets. Il déplore que les habitants de Bellegarde soient ainsi privés de compétences dont leur commune avaient pourtant grand besoin comme de tant d'autres. Il renouvelle toute sa confiance à Mr Bernard BON et l'assure de son entier soutien en ces circonstances.

16 février 2014

LE MODEM du GARD DÉNONCE LA POLITIQUE DU REPLI SUR SOI

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Midi Libre du 16 Février 2014

09 février 2014

MUNICIPALES à NÎMES : POSITION du MoDem du GARD

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MUNICIPALES NÎMOISES :

Position du Mouvement Démocrate "MoDem" du Gard

 

Le Mouvement Démocrate "MoDem" du GARD, fidèle à sa vocation, souhaitait porter aux élections municipales de Nîmes une démarche innovante et claire dans laquelle seule aurait prévalue la qualité des femmes et des hommes et celle des projets inscrits dans une réelle liberté d’esprit.

Notre Mouvement, pour atteindre cet objectif, s’imposait une réelle volonté d’ouverture pour apporter des idées concrètes issues du terrain, faire apparaître des visages nouveaux que les vieux partis traditionnels ne permettent plus de faire surgir. Il souhaitait aussi sortir d’une offre politique composée majoritairement d’individus pour lesquels l’intérêt personnel prime, pour la majorité d’entr'eux, comme un moyen de subsistance au mépris du courage et des idées.

 L’urgence des situations locales que nous avons à affronter, et très particulièrement à Nîmes, conforte notre exigence.

 Hélas, nous devons constater avec regret l'absence de tout accord départemental avec nos partenaires locaux de "l'UDI" dont l'actuel responsable a imposé ses choix personnels, en contradiction avec l'accord national conclu entre "l'UDI" et le "MoDem" avec la création de "L'Alternative UDI*MoDem", qui réunit désormais les deux familles du centre et leurs partenaires associés.

 Au regard du bilan de la politique municipale menée par Mr Jean Paul Fournier depuis 13 ans, le "MoDem" ne pouvait envisager un seul instant soutenir ou accompagner la politique actuellement suivie avec le bilan constaté à la clef. Nous croyons qu’une ville n’appartient ni un parti politique en particulier, et encore moins à un homme quel qu’il soit. Nous n’aurons vécu que l’émergence de nouvelles sources de dépenses à faire supporter par les générations futures, sans apport de ressources compensatoires nouvelles pour Nîmes et ses habitants. Les quelques opérations immobilières entreprises ici ou là, l’ont été, de leur côté, sans réelle vision globale : elles ne s’inscrivent dans aucun but, telle cette étrange politique de transport qui relève de concepts moyenâgeux et qui nécessitera une refonte complète car ignorant entre autres les priorités de base (accès aux services de santé, au pôle d’échange de la gare, etc…). Tous les voyants économiques de Nîmes sont aujourd’hui au rouge : la pire des images pour soutenir un redressement durable. Pour exemples récents, ce sont encore deux entreprises qui annonceront leur départ dans les jours à venir…

 Face à la position de "l'UDI" locale, le "MoDem" a donc eu des contacts avec des divers responsables de l’opposition municipale actuelle qui souhaitaient nous associer à leur projet. Nous devons reconnaître la qualité de leur accueil et une certaine volonté d’écoute, même si nos conclusions sur leurs projets ne pouvaient concorder sur bien des points.

 Ces différents contacts, à ce jour, n’ont pas abouti :

 1°/ Nous observons que la composition de la liste constituée tout récemment par le P.S. nîmois a très clairement affiché une volonté de repli sur des idéologies issues des siècles passés, une sorte de retour au programme commun des années 1970. Nous constatons aussi un manque d’ambition, un soudain retour en arrière face à une ouverture initialement affichée : ceci ne permet pas d’espérer un changement du fonctionnement clanique habituel comme on le connaît que trop au P.S.. Il ne laisse aucune place à une nouvelle façon de pratiquer la politique, ce qui est en totale contradiction avec les valeurs du Mouvement Démocrate.

 2°/ Nous ne pouvions envisager non plus d’accepter la liste citoyenne portée par Mr Jean-Paul Boré qui n’a pas su, ou voulu, aller réellement vers un rassemblement élargi, seul apte à donner l’élan nécessaire pour sauver ce qui peut l’être encore pour élaborer ensemble un programme d’une réelle ambition que mérite notre ville pour sortir de l’actuelle situation désastreuse.

 Nous regrettons donc que ces candidats n’aient pas suffisamment mesuré la situation dans laquelle se trouve notre ville, situation où la guerre des égos, les viles tractations et les ambitions personnelles prennent le pas sur l’intérêt général. Les Nîmois que nous sommes vont donc devoir continuer à en payer le prix, et ce prix en devient plus élevé de mois en mois.

 Nous précisons que la décision du "MoDem" du GARD a été prise en plein accord avec nos instances nationales et que, par voie de conséquence, aucune investiture du Mouvement Démocrate n’a été délivrée pour les prochaines municipales à Nîmes. Les éventuelles candidatures - que nous ne pouvons interdire - ne le seraient qu’à titre strictement personnel, mais sans utilisation autorisée du sigle "MoDem".

          Nous resterons néanmoins attentifs au déroulement de cette campagne ainsi qu’aux résultats au soir du 1er tour. Nous restons à la disposition des Nîmoises et des Nîmois pour ne rien lâcher face à la situation actuelle et préparer ensemble l’électrochoc nécessaire pour donner à nos enfants l’avenir qu’ils sont en droit d’exiger

Philippe BERTA

Président Départemental du

Mouvement Démocrate du GARD

 

05 février 2014

CONSEIL DÉPARTEMENTAL DU GARD - LES INVESTITURES AUX MUNICIPALES

 

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Le Mouvement Démocrate "MoDem" du GARD, membre de "L’Alternative UDI*MoDem", a réuni son Conseil Départemental le Mardi 4 Février à NÎMES sous la Présidence du Professeur Philippe BERTA.

Celui-ci, dans son message d’accueil des participants, s’est réjoui du taux de présence exceptionnellement élevé du nombre des présents puisque près de 77% des Membres de Droit et/ou des Membres Élus de ce Conseil, venus de tout le Département, avaient émargé la feuille de présence, outre ceux qui, empêchés, s’étaient fait représenter par procuration.

L’ordre du jour du Conseil étant chargé, les débats et délibérations ont pris rapidement le pas sur le protocole d'accueil.

COOPTATION d’un nouveau Membre du Conseil

Notre ami, Mr Guillaume CASTILLE, Membre du Bureau Départemental, ayant accepté de remplir une mission d’enseignant dans un institut français en Bolivie pour une durée indéterminée, le siège où il avait été élu au sein de notre Conseil se trouve être devenu vacant.

Il est proposé que celui-ci soit attribué par cooptation à Mr Christophe KRUPPA demeurant au Vigan.

Après que celui-ci se fut présenté, le Conseil a adopté cette proposition à l’unanimité des voix. Nous souhaitons à Mr KRUPPA la bienvenue dans notre instance départementale.

ÉLECTIONS MUNICIPALES dans le GARD

SITUATION GÉNÉRALE

La présence à ce Conseil de participants venus de tous les horizons du GARD, parfois même des plus éloignés, a permis à chaque participant du Conseil, qu’ils soient candidats ou non eux-mêmes aux prochaines municipales, de faire un tour d’horizon complet de la situation, commune par commune.

Il ne peut être question de faire ici le rapport de tout ce qui fut dit mais d’en tirer l’essentiel qui s’en dégage :


1°/ les situations dans chaque commune, à la veille de ces prochaines élections municipales, sont majoritairement différentes les unes des autres : nulle n’est totalement comparable à une autre. Démonstration est faite ensuite que ces élections sont bien le reflet, le plus souvent, de rencontres de femmes et d’hommes surtout passionnés par le devenir de leur commune et soucieux de répondre aux besoins de leurs compatriotes. Les étiquettes ou les sensibilités politiques des uns ou des autres sont rarement dominantes dans les débats en cours. Ce qui contredit formellement celles et ceux qui veulent, pour des raisons politiques purement stratégiques, faire de ces élections un enjeu lié à la situation nationale, fut-elle préoccupante.

2°/ les membres de notre Conseil ont été aussi particulièrement frappés par celles et ceux de leurs collègues qui concourent à cette élection. Leur trait commun est une grande exigence de clarté dans les projets qu’ils bâtissent, mais surtout une volonté de respect d’une certaine éthique dans les rapports entre les différents colistiers qui se présentent à leurs côtés. Certains n’hésitent même pas à affirmer que s’ils constataient des égarements éventuels qui pourraient contrarier l’esprit d’équipe qu’ils souhaitent devoir conserver entre colistiers, ils se retireraient sans tarder, purement et simplement, de la compétition. Ce qui nous éloigne singulièrement de l’esprit de lucre trop souvent observé ici ou là dans nombre de situations un peu partout.


INVESTITURES aux MUNICIPALES dans le GARD

Nos adhérents qui se présentent lors de ces élections de Mars prochain ont souhaité, comme cela est prévu dans nos statuts, recevoir du Conseil Départemental une investiture formelle dont, ensuite et en accord avec leurs colistiers, ils pourront, suivant leur souhait, faire état ou non dans la campagne électorale et les documents de propagande diffusés. Chaque candidat est entièrement libre de la stratégie adoptée avec ses colistiers.

Après audition de chacun des candidats, le Conseil a procédé par vote individuel à bulletins secrets à l’investiture des candidats pressentis, les uns participants à des listes de sensibilité  plutôt “centre droit”, d’autres plutôt “centre gauche", et enfin certains à des listes “d’intérêt communal”. Tout ceci en parfait accord avec les règles statutaires tant du "MoDem" que celles de la Charte de “L’Alternative UDI*MoDem”.

(Certains de ces candidats se présentent comme “têtes de listes”, d’autres comme simples colistiers)

Ont reçu l’investiture officielle de notre Mouvement conformément à nos statuts :


AIMARGUES : Mickaël MANEN
AIMARGUES : Béatrice PRATS
BEAUVOISIN : Arthur EDWARDS
BELLEGARDE : Bernard BON
LE VIGAN : Christophe KRUPPA
LIRAC : Stéphane CARDÈNES
ROUSSON : Ludovic DUMAS
St CHRISTOL lès ALÈS : Dr Henri FRANCÈS
UZÈS : Simon SUBTIL
VILLENEUVE lès AVIGNON : Gérard VALLADIER


Tous ont été élus à l’unanimité des voix, moins une abstention pour deux d’entr’eux.

D’autre part, certains membres de l’UDI du GARD ont sollicité de notre Mouvement une investiture dans le cadre de “L’Alternative UDI*MoDem”.

A reçu, dans ce cadre précis, l’investiture officielle de notre Mouvement :


LE GRAU DU ROI : Bernard SENDRA


Un autre membre de l’UDI du GARD qui avait aussi sollicité cette même investiture sur une autre commune où il compte se présenter lui aussi, l'investiture lui a été refusée par le Conseil Départemental par 53,85% des suffrages exprimés. Il sera avisé personnellement de ce refus qui, cependant, n’était pas souhaité par notre Bureau Départemental. Mais le Conseil en a décidé autrement par son vote. Dont acte.

Une autre demande émanant enfin d’une personnalité non membre ni du MoDem, ni de l’UDI mais voulant se présenter sur une importante commune du GARD - et souhaitant cependant recevoir lui aussi l’investiture de notre Mouvement - étant établi que les investitures pour les communes de plus de 10.000 habitants (ce qui était le cas pour ce candidat) ne relèvent pas de la compétence des instances départementales mais de celles nationales, cette demande a été envoyée sans avis à ces dernièresAprès examen de son dossier, ce candidat ne respectant pas notamment les termes de la Charte de "L'Alternative UDI*MoDem" (qui interdit certaines alliances), nous avons appris que les instances nationales lui ont refusé l'investiture sollicitée. Il n'est donc pas autorisé à faire mention de cette dernière dans ses documents de campagne.

ÉLECTIONS MUNICIPALES à NÎMES

La situation à NÎMES est tout-à-fait particulière.

Alors qu’un accord a été signé par les instances dirigeantes nationales, approuvé ensuite par les adhérents tant de l’UDI (présidée par Jean-Louis BORLOO) que du MoDem (par François BAYROU) le 5 Novembre dernier, accord scellé parallèlement par la fondation de “L’Alternative UDI*MoDem” qui rapproche ces deux familles du centre et leurs composantes et prenait effet immédiat pour toutes les élections à suivre (y compris les municipales), le Président Départemental du MoDem du GARD - le Pr Philippe BERTA - a tenté immédiatement de se rapprocher à plusieurs reprises de son homologue responsable gardois de l’UDI (par ailleurs Président du "Nouveau Centre", l’une des composantes de l’UDI).

Ces tentatives successives n’ont recueilli aucun écho en retour de ce dernier.

Ceci est regrettable tant pour la Ville de NÎMES où la création de "L'’Alternative UDI*MoDem" pouvait ouvrir des perspectives innovantes et autres que celles choisies, que pour l’ensemble du département du GARD où il se trouve qu’aucune coordination n’a permis d’éviter la confrontation qu’il y aura, ici ou là, dans certaines communes entre nos candidats respectifs investis par nos deux mouvements et qui s’opposeront l’un à l’autre. Alors que chacun s’accorde que cela aurait pu être évité dans l’intérêt commun de la famille centriste.

Il ne nous appartient pas de commenter ici les motifs ou autres raisons qui ont abouti à cette situation d’impasse. (Nous avons été informés entre temps qu’elle interpelle aussi certains des responsables départementaux de plusieurs des composantes locales de l’UDI). Mais il ne nous appartient pas non plus de nous immiscer dans l’organisation interne de nos partenaires du GARD. Il est à espérer que cette situation trouvera au plus tôt une issue conforme à l’attente de nos familles respectives.

Parallèlement, et face à cette absence d’accord avec l’UDI gardoise, il s’est trouvé que plusieurs responsables de listes en voie de création sur NÎMES ont contacté nos propres responsables en vue d’examiner avec nous une possibilité de rapprochement sur la base d’objectifs communs que nous pourrions bâtir ensemble. Nous les avons rencontrés chacun.

Parmi ces responsables, il s’est trouvé une députée socialiste du GARD, Mme Françoise DUMAS, qui nous a déclaré vouloir former une liste “ouverte” et conforme à la nouvelle orientation du Président de la République apparemment tournée désormais vers la “sociale démocratie”, c’est-à-dire se rapprochant sensiblement des directives constantes de la famille centriste depuis nombre d’années, et s’éloignant parallèlement des théories archaïques du P.S. dont on constate la nocivité.

Les contacts avec Mme DUMAS se sont donc poursuivis et des approches sérieuses se faisaient jour en vue de la participation, au sein de sa liste, de plus d’une dizaine de membres ou d’amis de notre famille politique, sous le couvert d’un accord avec nos propres instances nationales tenues constamment informées des contacts en cours.

Mais, alors que nous nous approchions d'un accord, nous avons soudain appris l’arrivée dans cette liste, et en position éligible, d’une responsable locale du Parti Communiste, lequel parti adhère majoritairement au "Front de Gauche" si l’on en juge aux décisions de ses instances dirigeantes. Ce rapprochement de Mme DUMAS avec "la gauche de la gauche" rendait désormais incompatible notre participation au sein de sa liste. Nous avons aussitôt pris l’initiative de rompre immédiatement nos contacts avec Mme DUMAS dès que nous avons appris que sa décision était devenue définitive.

D’autres contacts se poursuivent toujours par ailleurs. Mais nous ne renonçons en rien à notre éthique et à nos propres valeurs, contrairement à certains qui semblent ne convoiter surtout que quelques intérêts partisans ou particuliers. Nous ne pouvons présager de l’issue de ces contacts toujours en cours.

Mais si la situation perdure, notamment au sein de l’UDI locale, notre Mouvement reste serein face à la perspective de n’être pas participant à la compétition électorale des municipales sur NÎMES, même si cela est regrettable dans l'intérêt de la démocratie et des nécessaires échanges d'idées entre partenaires attachés aux valeurs républicaines.

Le Mouvement Démocrate du GARD ne sera pas, pour autant, ni absent, ni silencieux dans les débats qui s’ouvrent et nous continuerons de vouloir éclairer les nîmoises et les nîmois sur la situation réelle de cette cité dont le déclin progressif se révèle de jour en jour plus inquiétant.

ÉLECTIONS EUROPÉENNES

Ces élections se dérouleront en Mai et dans le seul cadre, pour tous les centristes, de “L’Alternative UDI*MoDem”.

Nous nous félicitons que le candidat pour notre région européenne soit notre ami Robert ROCHEFORT, Vice-Président du MoDem, Député européen sortant et investi par nos deux familles.

Nous nous félicitons aussi que notre Mouvement soit désormais en “pôle-position” dans le GARD au sein de "L’Alternative UDI*MoDem" pour jouer un rôle majeur dans cette campagne des européennes.

Nous espérons parallèlement que notre partenaire local de l'UDI sera enfin, d'ici cette échéance, en mesure de prendre toute la dimension de cette alliance entre nos deux mouvements pour faire triompher, à nos côtés, notre candidat commun et bâtir cette Europe différente que nous appelons tous de nos vœux.

Nos prochaines réunions se feront autour de cet objectif.

(Information : Dans le cadre de nos 3èmes Mardis mensuels, notre prochaine réunion aura lieu comme de coutume  à NÎMES le 18 Février à 18h30)