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27 juin 2010

POSITION DU MoDem SUR LA RÉFORME DES RETRAITES

RÉSOLUTION du CONSEIL NATIONAL du 26 JUIN 2010

 

Après la consultation nationale qui a été oganisée près de ses adhérents par le Mouvement Démocrate, le Conseil National a adopté une résolution concluant cette consultation.


Voici le texte de cette résolution : RetraitesResolutionCNMoDEM261010.pdf

24 juin 2010

RETRAITES : "Si on ne redonne pas du travail...."

François Bayrou : "Si on ne redonne pas du travail aux plus de 55 ans et aux moins de 30 ans, on n'aura aucune chance de rééquilibrer les retraites"

 

François Bayrou

François Bayrou était l'invité ce jeudi de la matinale de Sud Radio. Il a notamment répondu aux questions relatives au projet gouvernemental de réforme des retraites et sur la place du Centre dans la vie politique française.

Sud Radio : Bonjour François Bayrou, merci d'être avec nous. Mobilisations intersyndicales aujourd'hui contre le projet du gouvernement, le 16 juin vous avez pris vos distances avec cette réforme que vous ne trouvez pas équitable : si le seuil des 62 ans est acceptable, la décision concerne la modification du seuil de 65 ans porté à 67 ans ne l'est pas selon vous ?


François Bayrou : Vous avez dit ma position, je pense qu'une réforme est indispensable. Il y a deux courants : il y a ceux qui pensent qu'on peut éviter une réforme et je pense qu'on ne peux pas l'éviter quels que soient ceux qui gouvernent. Il y a deux décisions majeures : La première c'est de passer progressivement de 60 à 62 ans, ce n'est pas agréable mais acceptable.


En revanche, je trouve inacceptable qu'on touche à la retraite, à cet âge dont on parle peu de 65 ans, que l'on pouvait prendre non pas à taux plein mais bénéficiant de ses droits sans pénalité. Cela s'adresse aux Français les plus fragiles qui ont eu des carrières chaotiques et aux femmes qui ont élevé leurs enfants. Et c'est un leurre, car ils ne sont pas au travail ceux-là, il sont au chômage, ce qui veut dire que c'est un transfert de la caisse retraite à la caisse chômage.

Vous en avez parlé avec Nicolas Sarkozy ?

J’en ai parlé avec lui, je n'ai pas pu le convaincre, mais j'ai vu le président mais aussi François Fillon, ainsi que le ministre des retraites et celui qui a en charge le dossier des retraites, qui porte la réforme. Je pensais qu’ils allaient bouger. C’est un sujet dont on parle peu. Mais la CFDT en a fait son plan de bataille, il reste trois mois pour que ça change.

Vous tendez la main à tous les républicains, vous vous retrouvez dans le terme de "République solidaire" lancé par Villepin ?

On a besoin de valeurs républicaines, celles que l’on a écrites comme un peuple idéaliste au fronton de nos bâtiments. On ne peut pas dire que ce soit respecté et on a besoin d’une démocratie où les décisions se prennent auprès des citoyens. Démocrates et républicains sont les réformistes ; tous ceux qui y appartiennent ont quelque chose à faire et ils faut qu’ils réfléchissent ensemble.

Azouz Begag est pour un rapprochement avec Dominique de Villepin…

Je vois bien que les Français veulent des responsables politiques qui ne se font pas la tête, et il y a un sujet absent des retraites : comment on redonne du travail et de la production en France ? Si vous n’arrivez pas à relocaliser en France nos productions qui sont parties, vous n’avez aucune chance de rééquilibrer les retraites.

Le président est venu vous rencontrer, cette rencontre colle-t-elle avec ce que vous avez écrit sur Nicolas Sarkozy ?

Est-ce que vous connaissez l’usine de Bordes ? Je vous y invite. On ne se rend pas compte, mais c’est la plus grande usine de France et de moteurs d’hélicoptère au monde. Est-ce que cela aurait été dans son rôle de refuser de venir, parce que c’est ma circonscription ? Est ce que j’aurais été dans mon rôle en refusant de le voir par ce que je suis en confrontation ferme et parfois même virulente avec lui ? Ma certitude est que les responsables politiques doivent faire leur devoir, même s’ils sont en désaccord.


J’ai été surpris d’une chose : Les ouvriers et les cadres étaient fiers de montrer leur cathédrale industrielle. On doit s’effacer quand il y a des fiertés nationales comme celle-là. Comme vous le savez, cela fait des années que je plaide pour que les responsables politiques acceptent de parler ensemble. La crise elle est devant nous, personne ni Sarkozy, ni Aubry, ni moi n’avons la solution toute faite ! Alors, on a le devoir d’essayer ensemble de trouver les solutions novatrices et justes pour le pays.

La crise des Bleus et le président qui s’en occupe, qu’est-ce que cela vous inspire ?

Dans un pays normal, le devoir politique ne s’occupe pas du foot ; le rôle de la République, ce n’est pas de se mêler de la sélection de l’équipe de football. Vous n’imaginez pas Obama se mêler de la sélection de l’équipe de basket, même si là-bas c’est un sport très populaire... Il y a cette tendance française à vouloir que ce soit le pouvoir parisien centralisé qui décide. J’espère qu’il vont trouver des responsables du foot pour gérer les réponses qui s’imposent. Cette crise-là, c’est un reflet du problème de la société française.

Eric Woerth doit-il démissionner ?

En tout cas il y a eu un problème, car le pouvoir politique doit être séparé du monde de l’argent, des grands intérêts financiers par une muraille de verre infranchissable. Ce n’est pas le cas en France. Depuis le début, je me suis inquiété de ces dérives-là, et c’est inquiétant pour la République française.

18 juin 2010

RÉUNION du BUREAU DÉPARTEMENTAL du GARD

Reunion.jpg

Le Bureau Départemental du Gard se réunira le MARDI 29 JUIN.


À son ordre du jour, notamment, sa réorganisation, celle de la "Présidence", cooptation de 8 nouveaux membres en remplacement de 8 démissionaires (sur les 38 sièges du Bureau), rapports et compte-rendus divers.


Les convocations et l'ordre du jour détaillé ont été envoyées à chacun des membres élus.


Un repas amical suivra cette réunion.

17 juin 2010

À PROPOS DE L'HOMME DU 18 JUIN

Dans un récent billet "À PROPOS DE L'HOMME DU 18 JUIN", François VAN DE VILLE, après avoir rappelé les valeurs qu'incarnait "l'homme du 18 Juin", dénonce avec force la "honteuse récupération" qui en est faite aujoud'hui par certains qui sont "tout, sauf gaullistes". Et pose la question de savoir si, aujourd'jui, De Gaulle aurait pris certaines décisions....

15 juin 2010

BAYROU sur "MOTS CROISÉS" le 14 Juin

François BAYROU était ce lundi 14 Juin sur "Mots Croisés" de Yves CALVI, face à des journalistes, dont Éric ZEMMOUR (RTL) et Christian BARBIER (L'Express).

 

Un débat vif mais précis où on a retrouvé un BAYROU en pleine forme et dans la clarté de ses convictions.

 

Un moment fort de télévision, et de politique française où tous les sujets du moment ont été abordés.

 

À voir et à revoir.

14 juin 2010

À PROPOS DE LA VIOLENCE

François VAN DE VILLE a mis en ligne ce 4 Juin sur son site un nouveau billet intitulé : "À PROPOS DE LA VIOLENCE".

 

Face à un phénomène inquiétant qui envahit notre quotidien, c'est une approche de ce qu'il appelle une "contre-culture".

 

Sa naissance. Le culte de l'argent. Les territoires. Le laxisme français. Quand la peur change de camp. etc....

 

Un document intéressant sur ce qui est devenu un véritable défi face à nos sociétés.

12 juin 2010

LES TRANSPORTS à NÎMES : le MODEM GARD DÉNONCE

Dans un article paru sur l'édition gardoise du Midi Libre le 12 JUIN, le Mouvement Démocrate du Gard dénonce la politique des transports actuellement suivie par NÎMES -MÉTROPOLE.

 

Une prise de position utile dans l'actuel débat sur le TCSP dont l'enquête publique est en cours.

09 juin 2010

À PROPOS DES RETRAITES ET FINANCEMENTS

TRIBUNE LIBRE

 

François VAN DE VILLE a mis en ligne un nouveau billet "À PROPOS DES RETRAITES ET FINANCEMENTS".

 

Un débat mal engagé. Les déséquilibres. Le volet politique. L'intérêt de la gauche. Un patrimoine commun. Les dérives de "l'âge légal". Le consensus social. Les ressources. Le sentiment d'injustice. Une révolution des mentalités.

 

Une contribution personnelle à l'heure où un grand débat national est ouvert sur ce sujet brûlant.

07 juin 2010

RUMEURS : MIDI LIBRE du 6 JUIN 2010

Un article paru dans le MIDI LIBRE du 6 JUIN (édition de Montpellier) semble laisser paraître une certaine disgrâce qui s'établirait entre la Maire de MONTPELLIER et son adjoint (ex-Président du MoDem de l'Hérault) Marc DUFOUR.

 

Même s'il ne s'agit que d'une rumeur (peut-être "journalistique" ?), l'adage veut qu'il n'y ait "pas de fumée sans feu".

 

Le torchon brûlerait-t-il donc entre la Maire PS - Mme MANDROUX - (et rivale au sein du PS de Mr Georges FRÊCHE) et l'ex-leader du MoDem local qui avait soutenu ce dernier lors des récentes régionales ?

 

Seul l'avenir nous le dira.

 

L'ANTI-BAYROUISME PRIMAIRE du NOUVEAU CENTRE

Le MoDem raille l'anti-bayrouisme du NC

Le Secrétaire Général du Mouvement Démocrate (MoDem)Marc FESNEAUa dénoncé lundi "l'anti-bayrouisme primaire" du porte-parole du Nouveau Centre, Philippe Vigier, selon qui le patron du MoDem aurait opéré "un virage à 180 degrés" vis-à-vis de Nicolas Sarkozy. Le député NC avait en effet dénoncé samedi "le spectacle pathétique auquel se livre François Bayrou" en rappelant que ce dernier "n'avait pas de mots assez durs il y a quelques semaines encore" à l'égard du chef de l'Etat.

"Avec le zèle des convertis, avec le zèle de celui qui ne peut accepter de voir certains résister là où il a succombé, Monsieur Vigier et nombre de responsables du Nouveau Centre se livrent au seul jeu dont ils sont capables : l'auto-justification, l'auto-satisfaction et l'anti-bayrouisme primaire", a rétorqué Marc Fesneau dans un communiqué. "On comprend bien leur désarroi de constater que, après trois années seulement, leur stratégie d'inféodation à l'UMP a échoué au point qu'à quelques jours d'un congrès Monsieur Vigier et ses amis aient besoin et soient en peine de justifier de leur utilité dans le paysage politique français", poursuit le responsable démocrate.

Dénonçant le vote par le NC de textes "en rupture totale avec la pensée humaniste : bouclier fiscal, budgets en déséquilibre et injustes, travail dominical, loi sur les jeux d'argent...", le secrétaire général du MoDem estime que "c'est sur les actes qu'il faut juger".

 

LE FIGARO du 6 JUIN 2010